Sérères

Léopold Sédar Senghor Léopold Sédar Senghor est né à Joal (Sénégal) le 9 octobre 1906. Il est d’origine sérère, un peuple très proche de la nature, matriarcal, animiste et chrétien. Son père était un commerçant aisé. Senghor a grandi dans un univers d’histoires : enfant, son oncle lui racontait des contes merveilleux. Son ancrage dans une culture orale, musicale, animiste, dominée par la présence des femmes est profond. On dit souvent qu’il avait une culture double : d’une part la culture qu’il

trois types de religions au Sénégal : l’islam, le christianisme et les croyances traditionnelles. La population est constituée à 80% de musulmans, principalement des Wolofs, des Toucouleurs, des Lébous, des Peuls et des Mandingues. Les diolas et les Sérères pratiquent plutôt le christianisme. Avant l’arrivée des prêcheurs musulmans et chrétiens, les peuples d’Afrique occidentale possédaient tous leur propre religion. Ces religions traditionnelles demeurent très vivaces dans plusieurs régions du pays

à des opérateurs qui y gardaient de la friperie provenant de l’Europe. Ce secteur rapporte aujourd’hui à la Communauté rurale 1 million 200 mille francs par mois. Sur le plan social, «nous avons commencé par le nettoiement des marchés de Bambey serère et Ndangalma. Des dons de sucre aux populations. Beaucoup d’efforts ont été faits». A Ndangalma, Malick Diouf, par ailleurs directeur d’une grande société de la place installée au Port autonome de Dakar a renoncé aux indemnités de 150 000 francs

Dakar10, mais n'ont pas encore trouvé une vraie place dans la construction du savoir à l'occidentale. Préhistoire et protohistoire[modifier | modifier le code] Articles connexes : Préhistoire et protohistoire du Sénégal et Histoire ancienne des Sérères. Paléolithique[modifier | modifier le code] La Falémé (à gauche) et le Sénégal sur une carte de 1747 En l’état actuel de nos connaissances, selon Abdoulaye Camara, on peut considérer que les hommes sont apparus au Sénégal il y a environ 350 000

des procédures administratives, politiques et judiciaires de la Métropole. Par ailleurs, les sujets français (indigènes) n’avaient pas le droit à la libre expression de leurs opinions. Ils étaient soumis aux travaux forces et pouvaient encourir de sérères sanctions pénales, allant jusqu’à l’exile. Ils ne pouvaient pas se faire présenter alors que les citoyens élisaient un député à l’Assemblée Nationale française depuis le début de la 3eme république. Ces derniers choisissaient aussi parmi eux, des

production. Senghor pose des problèmes importants, au nombre desquels ceux de l’inspiration, de la langue, de la prosodie, en tant que tout cela participe du contact de deux cultures en apparence opposées : l’africaine, d’une part- plus précisément la sérère-et ‘autre part l’européenne-la française pour être plus exact. Son œuvre révèle une culture issue d’une symbiose harmonieuse, quoique parfois conflictuelle, entre les deux civilisations auxquelles le poète s’est abreuvé. C’est devenu un lieu commun

catholique aisé appartenant à l'aristocratie sérère du Sénégal. Originaire de Djilor, sa mère, Gnilane Ndiémé Bakhoum (?-1948), que Senghor appelle dans Élégies « Nyilane la douce », appartient à l'ethnie sérère et à la lignée Tabor mais a des origines Peules. C'est la troisième épouse de Basile Diogoye Senghor, dont elle aura six enfants dont deux garçons. Les deux branches de sa famille appartiennent à la noblesse Sérère, les Guelwar. Le prénom sérère Sédar signifie « qu’on ne peut humilier ». Son

de conscience d’une inacceptable injustice. Entré en 1923 au collège séminaire Libermann à Dakar, Senghor ne peut pas accepter l’enseignement « ethnocentrique » des Pères du Saint-E�rit, qui nient toute valeur, sinon toute existence, à sa culture sérère vécue de l’intérieur pendant « les années tran�arentes de l’enfance ». Les souvenirs du « Royaume d’enfance » lui remettent en mémoire les épopées qui célèbrent la geste des Guelowars, les chants gymniques qui proclament le nom et la gloire des «

Du 08 septembre 2011 au 08 Octobre 2012 INFORMATIQUE World, power-point, internet LANGUES * Français: lu, parlé et écrit * Anglais: lu, (moyen) * Wolof: lu et parlé * Sérère: lu et parlé LOISIRS Lecture, jeux d’esprit, sports, nouvelles technologies, actualités Signature du titulaire

fondent le Tekrour, le Royaume du Namandirou, puis le Djolof, avec de lointaines parentés avec l'empire du Ghana. Parmi les différents royaumes, le plus puissant au XIVe siècle était l'empire du Djolof qui regroupait le Cayor, le Baol, les royaumes sérères du Sine et du Saloum, le Waalo, le Fouta-Toro et le Bambouk. Au sud du pays, l'État du Kaabu, puis le Fouladou. Le Djolof était un empire fondé par Ndiadiane Ndiaye, premier bourba (roi) djolof. Il avait été élu comme chef dans ce qui allait devenir