Sérotonine

taux de sérotonine est inégalement réparti dans la population. La sérotonine est un neuromédiateur naturellement produit par l’organisme, qui agit comme un euphorisant. Plus on en produit, plus on se sent bien, actif, plus on s’ouvre au monde. Un déficit de sérotonine est associé au contraire à des tendances dépressives. La production de sérotonine dépend des expériences de la vie, mais aussi de facteurs génétiques. Il existe des personnes qui sont donc de gros producteurs de sérotonine, d’autres

et les ligands concernés Les récepteurs-canaux cationiques (permettent le passage de cations) : – Exemple : Les récepteurs sérotoninergiques (ou récepteurs 5-HT3) Ion concerné : canaux sodiques (permettent le passage du Na+) Ligand endogène : la sérotonine Localisation : SNC, nombreux organes, appareil cardio-vasculaire Effets : excitation du centre du vomissement (trigger zone), modifi cation de la pression artérielle, rôle important dans la thermorégulation Emploi en pharmacologie : blocage des

des neurones à sérotonine (doc 3A). La sérotonine est un neurotransmetteur qui transmet les messages nerveux indispensables à la perception sensorielle (doc 3B). La comparaison d’une molécule de LSD avec une molécule de sérotonine (doc 4) montre que la molécule de LSD possède une structure moléculaire dont une partie est très proche de celle de la molécule de sérotonine, celle qui se lie au récepteur. On peut donc penser que le LSD est capable de prendre la place de la sérotonine sur son récepteur

à chacun, mais tout aussi plausiblement dans des différences génétiques. Cette hypothèse a été récemment confirmée par toute une série d’études portant sur l’influence des variations de plusieurs gènes, en particulier celui du transporteur de la sérotonine (5HTT). Plus spécifiquement, l’influence d’une variation dans la partie régulatrice de ce gène (allèle court ou long d’une séquence de répétitions) a été étudiée. Notons qu’il ne s’agit pas d’une mutation rare, mais bien d’allèles ayant une fréquence

locomoteurs. - Les effets de la première prise « bad-trip » : phobies, sensations d'angoisse, tentative de suicide - Les effets de la prise a long terme « flash-back » : état dépressif, troubles psychiques. Le LSD remplace la sérotonine, c'est à dire que la sérotonine n'agit plus sur le fonctionnement des neurones, mais ceux si sont contrôlés par le LSD. Témoignages : -Effets recherchés : « Je trouve que tu as l'impression de renaître et de tout redécouvrir .. tout ce qui t'entoure est nouveau

modifications cérébrales telles que la baisse de libido ou même la dépression. Cela est expliqué par le fait que les pilules progestatives augmentent l’activité de l’enzyme monoamine oxydase (MAO). Cet enzyme est connu pour inactiver la sérotonine et l’adrénaline. La sérotonine est un neurotransmetteur dans le système nerveux central.9 Selon le site santémédecine.net, « Le ralentissement psychomoteur des déprimés pourrait être dû à des défauts de fonctionnement de leurs circuits HYPERLINK "http://sante-medecine

décide de s'administrer la molécule pour en étudier les effets. On sait maintenant que la structure spatiale du LSD présente une forte similitude avec la sérotonine, un neurotransmetteur présent au niveau des synapses des réseaux de neurones qui relaient l'information visuelle entre la rétine et le cortex visuel. Le LSD inonde les synapses à sérotonine très rapidement après son ingestion, ce qui explique l'apparition de perceptions visuelles sans lien avec la réalité. Exercice n°5 3. Quelles sont

en synapses faisant le lien entre les neurones ganglionnaires et les neurones conduisant le message nerveux visuel au cortex visuel primaire. La sérotonine est un neuromédiateur qui agit au niveau de ces synapses. (Structure moléculaire du LSD = structure moléculaire de la sérotonine). Le LSD a donc la capacité de se fixer sur les récepteurs à la sérotonine au niveau des synapses de la zone relais générant ainsi un message nerveux. La prise de drogues hallucinogènes telles que le LSD présente un danger immédiat

1.8 Synapse Pour passer d'un neurone à un autre, l'influx nerveux se transforme en messages chimiques qui prennent la forme d'une substance sécrétée par le neurone, le neuromédiateur. Il existe différents neuromédiateurs (la dopamine, la sérotonine, l'acétylcholine...) qui se lient à des récepteurs spécifiques. Le neuromédiateur traverse l'espace situé entre deux neurones, la synapse. C'est sur ces processus qu'agissent les substances psychoactives. 3 modes d'action sur le neuromédiateur

hallucinogènes et des neurotransmetteurs comme la sérotonine ? Les drogues hallucinogènes présentent des similarités de structure avec les neurotransmetteurs des voies visuelles. 42- Quel est le mécanisme d'action de ces drogues ? Ces drogues interagissent avec des molécules impliquées dans les mécanismes normaux de la communication nerveuse au niveau des voies visuelles (ex : fixation aux récepteurs de la sérotonine, inhibition de la recapture de la sérotonine) 43- Quels sont les effets secondaires de