Serpent Tigre

Le serpent qui danse de Charles Baudelaire Lorsqu’il publie les fleurs du Mal en 1857, il compte aussi célébrer une de ses maitresse Jeanne Duval qu’il a rencontré suite à un voyage aux iles bourbons en 1841. Le serpent qui danse, tiré de ce recueil est un des 43 poèmes du chapitre Spleen & Idéal consacré à l’amour ou plus particulièrement sa muse, qui était donc, Jeanne Duval, inspiratrice d’un bon nombre de ses poèmes qui célèbre l’amour sensuel. Ce poème décrit une scène érotique entre Duval,

mais aussi des possibilités de métamorphoses. "Parfum exotique" "La chevelure" : expérience sensuelle qui apporte pansement au poète. Les poèmes "24" " 25" " Sed non satiata" "27" font apparaître la face sombre de cette femme froide et cruelle. " Le serpent qui danse" : tentative de conciliation entre sensualité et apaisement "Une charogne" poème macabre fixe le statut de cet amour passionnel car la chair est promise au pourrissement mais le poète conservera par le poème la "forme" et l"essence divine"

Charles Baudelaire Homme : En 1842, Charles Baudelaire dépense sans compter l’héritage paternel dans l’alcool, l’amour, et l’art, il fait la connaissance de la « vénus noire » Jeanne Duval qui lui inspireras de nombreux poème, dont  la Chevelure et le serpent qui danse En 1848, Charles Baudelaire participe aux journées révolutionnaires de février et va même jusqu'à monter sur les barricades. Il participe a la création d’un journal révolutionnaire :le Salut Public En 1851 il dénonce le coup d’état de

(donc la révolution industrielle qui demandait beaucoup de travaille). SES MUSES Entre l'alcool l'amour et l'art il rencontra la surnomée "La Vénus Noir", Mme Duval qui inspira elle aussi plusieurs poèmes lié à "l'idéal" ( "La chevelure", "Le Serpent qui danse". Une femme qui profita de son argent mais qui était indifférente face à Baudelaire, qui était réellement ingrate avec lui Presque les poches vides il vivra de ses critiques d'art Plus tard il rencontra un nouvelle maîtresse; l'actrice

une charogne est un poème tiré du recueil les fleurs du mal écrit par baudelaire. Il s’agit du poème XXIX qui suit "le serpent qui danse","sed non satiata" ou encore le poème XXV qui commence par "Tu mettais l'univers entier dans ta ruelle /Femme impure !" C’est donc un poème qui se situe dans un environnement que l’on pourrait dire décomposé. Ainsi, même si ce poème pourrait trouver des liens de parenté avec le Carpe Diem d’Horace ou encore Mignonne allons voir si la rose de Ronsard, c’est un poème

propose dans « Parfum exotique » par exemple. Et dans ce poème, la femme est le déclencheur du rêve, c’est elle qui donne accès à un autre monde, à un monde idéal. La chevelure est une partie du corps-clé chez Baudelaire, les vers suivants de « Le serpent qui danse » le rappellent : « Sur ta chevelure profonde/Aux âcres parfums/Mer odorante et vagabonde/Aux flots bleus et bruns/ comme un navire qui s’éveille/Au vent du matin/Mon âme rêveuse appareille » et le voyage est un thème que l’on retrouve dans

Le serpent qui danse Versification : Il s’agit de 9 quatrains. Il y a une alternance entre des octosyllabes et des pentasyllabes. Cette versification donne l’image de l’ondulation du serpent. Rimes : Les rimes sont croisées dans cette disposition : ABAB / CDCD / EDED / FGFG / HIHI / JKJK / LBLB / MKMK / NONO Les rimes sont donc variées et sont parfois suffisantes, parfois pauvres dans une alternance irrégulière. Parties : 1ère partie : vers1-4 : Le corps dans son ensemble 2ème partie :

embarquer de force sur un paquebot en direction des Indes Plusieurs poèmes comme L'Albatros ou Parfum exotique ont certainement été inspirés par ce voyage. En 1842 il rencontre Jeanne Duval qui lui inspirera de nombreux poèmes dont la chevelure et le serpent qui danse, elle sera l’une de ses muse ainsi que. Marie Daubrun et Apollonie Sabatier En 1845 Baudelaire se consacre à la critique d'art et à la traduction des œuvres d'Edgar Poe. En 1857 paraissent 'Les Fleurs du mal', recueil de vers exaltant

Le serpent qui danse Le serpent qui danse est un poème qui décrit l’amour et le désir que Beaudelaire éprouve pour cette femme si inaccessible, cette femme qui peut représenter à la fois le bien et le mal. Celle-ci enivre et hypnotise Beaudelaire par sa beauté, sa démarche, ses poses. Il en est fasciné, il la désir mais elle est intouchable. Son regard est sans émotions. Elle se donne et se refuse, elle est ambivalente. Beaudelaire la décrit en rapprochant des oppositions telles que doux/amer

corbeau Le cygne La fourmi Les hiboux Le loup Le serpent La termite. 2. Description des animaux et valeur symbolique Le Serpent : La danse envoute le poète. Une femme est décrit grâce à la métaphore d'un serpent qui danse, cette animalisation est très symbolique : le serpent est associé dans la religion à l'animal tentateur et maléfique. Il symbolise le mal, elle incite aux péchés. On retrouve ici le plaisir associé au danger. Le Serpent qui danse est poème lyrique et érotique, Charles