Services Internationaux Banque

gouverneurs des banques centrales et des organismes de réglementation et de surveillance bancaires des principaux pays industrialisés. Il est hébergé par la Banque des règlements internationaux (BRI) basée à Bâle, d’où son nom. Elle a pour but de renforcer le système financier en matière de supervision et de régulation du secteur bancaire. Il agit à cet effet sur cinq leviers : - le niveau de règlementaires, - des normes pour la gestion et la surveillance de la liquidité des banques, - une amélioration

de la finance internationale, puis des solutions pour renforcer la régulation et le contrôle financier et nous terminerons par les possibilités de recourir à une nouvelle gouvernance de la finance mondiale. 1) Nécessité d’une nouvelle régulation de la finance internationale. En économie, la régulation financière désigne les mécanismes et les moyens permettant d’assurer le bon fonctionnement du système. Parmi les institutions qui encadrent et régulent la finance internationale, on trouve le

Bâle2, Bâle 3 » | Introduction : Les règles prudentielles sont des mesures prises par les banques pour éviter de prendre des engagements excessifs et risqués vis-à-vis de sa clientèle lors de l'octroi du crédit. Alors que ces règles viennent pour conforter les fonds propres et limiter davantage les grands risques des banques, les réformes et les réaménagements de la réglementation internationale viennent pour améliorer et suivre l'évolution et le progrès que connaît le monde entier. Les faiblesses

Dans l’exercice de leur fonction les banques sont exposées à un certain nombre de risques en rapport avec la gestion de leurs fonds propres et de leurs liquidités. Ces risques interviennent dans leur activité d’intermédiation, insolvabilité des contreparties, concentration excessive des engagements sur certains clients, inadéquation entre compositions des risques et des dépôts. Pour encadrer les banques et ainsi développer la confiance des clients dans le système bancaire européen et mondial, des

va de 1 jour à 10 ans. Sur le marché monetaire les instruments contractuels ne sont pas des valeurs mobilières car ils n'ont pas de marché organisé équivalent à la bourse. Il n'y a donc pas de cotation. Le caractère négociable est le fait que la banque, en tant que faciliteur, s'efforce de trouver un remplaçant à tout investisseur qui souhaite récupérer ses fonds avant l'échéance contractuelle. Le "prix" peut donc changer selon que les remplaçants sont rares ou nombreux. L'exception est l'émission

Introduction La récente crise financière de 2008-2009 et ses profonds effets sur l'activité économique ont poussé la Banque des règlements internationaux à développer de nouvelles régulations bancaires, connues sous le nom de Bâle III. Les deux principaux objectifs de cette nouvelle régulation sont d'accentuer la résilience du système bancaire et d'augmenter la capacité des banques à absorber les chocs à venir provenant de la sphère financière et de la sphère réelle. L'élaboration de Bâle III se fera

titrisation des dettes est un instrument nettement moins utilisé depuis la crise des subprime. Il est difficile d'avoir une idée précise des volumes négociés globalement sur les marchés de taux d'intérêt. L'étude triennale de la Banque des règlements internationaux a montré qu'en 2004, les volumes quotidiens de produits dérivés de taux d'intérêt, et uniquement eux, étaient de l'ordre de 5 500 milliards de dollars US. Compte tenu des différentes statistiques éparses dont on dispose par ailleurs

 des gens qui vont à la banque avec des valises, qui tapissent leurs murs avec des billets ou qui  commandent deux bières à la fois dans les bars de peur qu'en une heure le prix n'augmente, etc.  8  Sa mise en circulation est légèrement antérieure (octobre 1923). Voir ​ http://fr.wikipedia.org/wiki/Rentenmark  9  Il devait se substituer au Rentenmark, mais les deux monnaies cohabitèrent. Voir ​ http://fr.wikipedia.org/wiki/Reichsmark​ .   10  En plaçant des obligations auprès des banques américaines.  En contrepartie

Mais ce sont surtout les banques qui sont dans le viseur des marchés. Selon une note de Crédit suisse, les établissements européens seraient exposés à hauteur de 13 milliards de dollars (8,7 milliards d'euros) dans cette affaire. La Banque des règlements internationaux évalue pour sa part à 93 milliards de dollars l'exposition des banques européennes aux Emirats arabes unis, dont 51 milliards de dollars pour les établissements britanniques. En tête figurent la banque sino-britannique HSBC, avec

Commentaire du "Consultative Document" de décembre 2009 de la Banque des Règlements Internationaux intitulé "Strengthening the resilence of banking sector" Commentaire portant sur l'ensemble du dispositif. Il est demandé une analyse des propositions du document, les raisons avancées par le Comité à l'appui de ses propositions, les critiques éventuelles formulées par les acteurs du marché. Commenter au moins les réponses des acteurs suivants : American banker Association, Barclays, BNP Paribas