Servitude

moquer de soit même prouve une forte ouverture d'esprit, chose que vous n'avez apparemment pas... Charlotte, en colère.- Ça suffit, je ne vous permet pas de me juger sur ma façon de pensée. D'ailleurs, selon moi, un texte comme Discours de la servitude volontaire de La Boétie est bien plsu direct et plus compréhensif. D'autre part, il ne se cache pas derrière des animaux et ne se déresponsabilise pas face à la situation. Je le trouve plus courageux et même plus honnête car il n'utilise pas de chemins

Nicomaque, La Politique ; Bergson, Les données immédiates de la conscience ; Descartes, Lettre au père Mesland du 9 février 1645 ; Hegel, Phénoménologie de l’esprit ; Hobbes, Léviathan; Kant, Critique de la raison pratique ; La Boétie, Discours de la servitude volontaire ; Popper, La leçon de ce siècle ; Platon, Gorgias, Rousseau, Du contrat social ; Sartre, L’être et le néant. 

rencontre Étienne de La Boétie qui sera son ami jusqu'à la mort de celui-ci en 1763 à l'âge de 33 ans. Ce dernier est un Juriste érudit avec une solide culture humaniste, il écrit des traités politiques (son ouvrage le plus connu est le Discours de la servitude volontaire que Montaigne voulait insérer dans les Essais, mais y renonça quand les protestants tentèrent d’en faire un pamphlet contre le roi) mais aussi des poésies en latin et en français. Il épousa en 1565, à 32 ans, Françoise de la Chassaigne

penser. « Le lit des tyrans se nourrit de la démission de l’homme libre ; le tyran n’a de pouvoir que si nous lui abandonnons le notre c’est-à-dire si nous lui abandonnons notre dignité d’homme libre ».   Etienne de La BOETIE, Discours de la servitude volontaire (Cour de cassation, chambre sociale, 3 février 2010, n° 08-44019 et 08-40144 : l’employeur manque à son obligation de sécurité dès qu’un salarié est victime de harcèlement ou de violences sur son lieu de travail, même s’il a pris des

afin de les rendre connaissances. Alain mentionne de nouveau le tyran afin de nous faire prendre conscience d’autre chose : en effet, si le tyran me domine c’est que je respecte au lieu d’examiner, comme le dit la Boétie dans son discours de la servitude volontaire « Pour être esclave, il faut que quelqu'un désire dominer et... qu'un autre accepte de servir ! » Par là Alain veut nous faire prendre conscience que c’est de notre simple et unique faute si nous sommes dominés par d’autres personnes.

Napoléon III ; a savoir les inégalités qu'il creuse entre les partisans et la population, et la luxure, la corruption et les vices dans lesquels il plonge ces mêmes partisans. Une telle critique peut se rapprocher d'un passage du Discours de la servitude volontaire, ou La Boetie critique les courtisans du tyran tout en mettant en évidence la misère que subit le peuple face a ces courtisans.

et donc de pouvoir raisonner clairement sur le sujet de l'Homme et de ses valeurs. Toutes formes d'apologue sont utilisés jusqu'à l'autobiographie. Beaucoup de textes pose explicitement des réflexions sur l'Homme. C'est le cas du Discours de la servitude volontaire d’Étienne de la Boètie. Dans cette essai l'auteur nous interroge sur l 'autorité que peut exercer un être humain sur un autre. Aussi comment nous nous privons nous même de liberté pour être soumis un homme comme tout le monde car tout

dominant. Il s’ensuit que le pouvoir du maître, est d’une autre nature que le pouvoir brut de la force. Il y a là matière à étonnement infini. Dans le même esprit, Bertrand de Jouvenel pointe le mystère de l’obéissance civile dans le Discours de la Servitude volontaire 1546-1548. Pour Rousseau, le Pouvoir évoque : « Archimède assit tranquillement sur le rivage et tirant sans peine à flots un grand vaisseau » du même auteur dans Du Pouvoir. Alors puisque la force est paradoxalement faible, comment le

François Rabelais, auteur des romans des géants, Pantagruel et Gargantua, put éviter le bûcher grâce à l’intervention de Joachim du Bellay. Plusieurs écrits furent publiés en tant que critique de la société de l’époque, comme le Discours de la servitude volontaire de la Boétie, qui critique alors le pouvoir autoritaire en appelant à la liberté. Avec le développement de l’esprit critique au XVIème siècle, on assiste aussi à l’apparition d’un nouveau genre littéraire : l’utopie, qui a pour but principal

l'indiscipline peut être vu comme courageux, c'est pourquoi dans ces cas on peut considérer l’obéissance comme un signe de stupidité ou de lâcheté. On trouve des cas où des auteurs prône l’indiscipline. Dans Discours de la servitude volontaire de La Boetie, celui ci blâme la servitude volontaire et encourage les peuples à se révoltés contre les règles jugées injustes. « Soyez donc résolus à ne plus servir et vous serez libre libre. » S. Laugier a écrit un article « liberté, égalité, bastonnés... » où