Servitude

Renaissance, XVIe siècle : règne de François 1eret François II. Auteurs représentatifs : Rabelais, Montaigne, Erasme, La Boëtie Oeuvres marquantes : Gargantua, Pantagruel (Rabelais) Les Essais (Montaigne) L'Eloge de la folie (Erasme) Discours de la servitude volontaire (La Boetie) Idées marquantes : vision du monde où l’homme est le centre de tout (et non plus Dieu). Foi dans le potentiel humain, sa capacité à s’améliorer, à développer son intelligence et à élever son espèce au dessus de la simple

12- La Boétie, Discours de la servitude volontaire, 1576Intro : L’humanisme apparait au XVe siècle en Italie sout l’égide du poète Pétrarque. Il se propage en Europe a travers de grand penseur tel qu’Erasme ou Pic de la Mirandole. L’humanisme n’est pas seulement un mouvement de pensé, c’est aussi une fois inaliénable en l’être humain qui le place au centre de tout. Notre extrait tiré du discours de la servitude volontaire questionne la légitimiser des gouvernants. Qu’importe la manière

Lucie DESJARDINS TC19/02/2023Fiche de Lecture :Discours de la servitude volontaire , Etienne de La Boétie Contexte historique et économique :Le XVIème siècle caractérise le début de la Renaissance en France, par référence à un Moyen âge qui serait une période de sommeil. Les grands Rois de cette période accomplissant de nombreux voyages, ont importé en France la finesse italienne dont la peinture et la poésie s’inspirent de l’Antiquité Gréco-Latine et de l’Orient. Ce fut une

jours. L’évolution de la notion de liberté. • • • • Textes et activités complémentaires 2 précurseurs humanistes : Texte 1 : Erasme, Essai sur le libre arbitre, II, trad. P. Mesnard (Manuel p. 21-22) Texte 2 : La Boétie, extrait du Discours de la servitude volontaire (Manuel p. 24-25) Texte 3 : Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), Du Contrat social (1762), Livre I, chapitre 4 : « De l’esclavage » Texte 4 : Montesquieu (1689-1755), L’Esprit des lois (1748), Livre XI, chapitres II et III. Nicolas de Condorcet

agir pour le bon plaisir du Duc, « il ne faut pas seulement qu'il fasse ce qu'il ordonne, mais surtout qu'il pense ce qu'il veut, et souvent même, pour le satisfaire, qu’il prévienne aussi ses propres désirs. » Ceci est un extrait de Discours de la servitude volontaire ou Contr'Un d'Étienne de La Boétie qui illustre assez bien le personnage de Lorenzo, tel qu'il nous apparaît dans cet extrait. - on note donc un certain respect de Lorenzo envers le duc : « Altesse » x2. - Il est l’entremetteur du duc

pathétique de « Melancholia » dans Les Contemplations ou au satirique à l’œuvre dans «Fable ou Histoire» permettant au même Hugo de dénoncer les abus de Napoléon III dans Les Châtiments. Plus tôt dans le temps le jeune La Boétie dans Discours de la servitude volontaire a su haranguer le peuple, passant du pathétique au polémique. Solliciter des émotions et sentiments variés chez le lecteur est gage de réussite pour mener à bien des combats et l’impliquer dans ces luttes. Et c’est enfin par l’usage

tyran seul qui n’a puissance que celle qu’ils lui donnent ; qui n’a pouvoir de leur nuire sinon qu’ils ont pouvoir de l’endurer, qui ne saurait leur faire aucun mal , sinon qu’ils aimaient mieux le souffrir que de lui contredire » Discours de la servitude volontaire . En effet nous jugeons d’avoir un chef que l’on désignera comme étant le plus raisonnable : c’est le principe d’une démocratie, c’est-à-dire que le peuple élit son représentant parmi plusieurs candidats et celui qui obtiendra le plus

Le désir est-il pour l'homme source de liberté ou de servitude? Si on définit le désir comme un effort de réduction d'une tension issue d'un sentiment de manque ou d'une aspiration à l'obtention d'un objet, on en fait alors un mouvement propre aux êtres susceptibles de se fixer des objets ou des états comme but à atteindre. Mais le désir est-il vraiment mis en mouvement par le sujet lui-même, auquel cas les choix de ce dernier en sont l'origine ou semble-t-il se mettre en mouvement de lui-même

gestion de ses propriétés à sa femme. Par contre, très au fait des humanités grecques et par conséquent du Banquet de Platon, il était fidèle ami d'Etienne de La Boétie : à l'origine, il avait écrit les Essais comme écrin pour le Discours de la servitude volontaire de son meilleur ami, qui y faisait l'éloge de l'amitié contre la corruption du pouvoir et des courtisans. Admirateur de Virgile et de Cicéron, il est un humaniste qui prend l'homme, et en particulier lui-même, comme objet d'étude dans

Nous allons vous présenter dans un premier temps les points communs et les différences des trois textes, ensuite en quoi ils constituent un appel à la liberté. Le premier texte, Discours à la servitude volontaire fut écrit par Étienne de la Boétie en 1576. Le deuxième texte est un article appelé « Liberté de penser » du Dictionnaire philosophique écrit par Voltaire en 1764, et le troisième texte est La religieuse écrit par Denis Diderot en 1796. Ces trois textes on un point en commun. Ils défendent