Ses La Coordination Par Le Marché

pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches Henry Mintzberg (Le pouvoir des organisations ;. Paris, Editions d'Organisation, 1986) 2 Eléments de base d’une structure (Daft, 1992) • Spécialisation – Division du travail en tâches élémentaires – Regroupement des activités de l’entreprise – Spécialisation verticale – Spécialisation horizontale – Source de productivité 3 Eléments de base d’une structure (Daft, 1992) • Coordination – Mode de collaboration

Le marché vu par quelques grands économistes[modifier] Augustin Cournot écrit « On sait que les économistes entendent par marché, non pas un lieu déterminé où se consomment les achats et les ventes, mais tout un territoire dont les parties sont unies par des rapports de libre commerce, en sorte que les prix s'y nivellent avec facilité et promptitude »2. Pour Paul Samuelson et William D. Nordhaus « un marché est un mécanisme par lequel des acheteurs et des vendeurs interagissent pour déterminer

formation universitaire ou technique. ce stage est la forme pratique des connaissances théorique acquis pendant plusieurs années au cours de la formation universitaire ou technique, C'est aussi une étape préliminaire pour faire face à la vie réelle du marché du travail. Pour orienter l'étudiant dans son stage, des objectifs doivent être fixés par le décanat de sa faculté. C'est ainsi que l'objectif fixé par le stage est pour l'étudiant est de découvrir une organisation à travers son environnement

responsables à « organiser » les choses d’une manière « rationnelle ». Une organisation est donc un centre de décisions internes sur la répartition, la coordination et le contrôle des tâches à accomplir pour obtenir des résultats. Stephens Robbins définit l'organisation d'une entreprise comme « l'ensemble de moyens structurés, constituant une unité de coordination, ayant des frontières identifiables, fonctionnant en continu, en vue d'atteindre un ensemble d'objectifs partagés par l'ensemble de ses membres

institutionnelle désigne un ensemble de courant de pensées qui a contribué au renouvellement de la pensé économique des institutions dans les années 1970. Les auteurs de la NEI s’interrogent sur le rôle joué par les institutions dans la coordination économique. Dans cette optique, une institution peut être définie comme l’ensemble des règles et des normes qui encadrent et régulent les comportements. Pendant très longtemps, l'économie politique a consisté en l'analyse de l'activité

de ces voies". Ces deux aspects étant considérés comme essentiels car "ils assurent une coordination, un arbitrage et une planification efficaces". Mintzberg (1982), quant à lui, définit la structure comme "la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre les tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination entre ces tâches". L'auteur distingue également 5 mécanismes de coordination qui expliquent les moyens par lesquels les organisations coordonnent leurs activités: l'ajustement

l’union du personnel (Intérêt des bonnes relations avec les syndicats). Pour Fayol, gouverner c’est conduire l’entreprise vers son but en tirant le meilleur parti des ressources : le gouvernement est distinct de l’administration, il doit assurer la marche des 6 fonctions. Fayol s’oppose à Taylor (commandement unique), à Weber (personnalisation de l’autorité). Il est en avance sur son temps et reste encore de nos jours une référence : - pour lui aucune règle n’est absolue, il reconnaît la motivation

l’organisation : Selon H. Mintzberg ( 1982): la structure de l’organisation est “  la somme totale des moyens utilisés pour diviser le travail entre tâches distinctes et pour assurer la coordination nécessaire entre ces tâches ”. Dans cette définition sont explicitement distingués les temps de la division du travail et de coordination. C’est un Double mouvement typiquement organisationnel que les structures formelles ou informelles visent à réaliser avec ou sans l’engagement intentionnel des acteurs invités

progressivement aux théories libérales. Dès 1937, il publie un article célèbre intitulé The nature of the firm soit en français La nature de la firme, dans lequel  il s’interroge sur la définition de la firme et sur son existence dans une économie de marché tout en se basant sur le modèle micro-économique issu de l’approche néoclassique. Les économistes classiques laissent ce sujet de côté et cette interrogation amènera Coase aux coûts de transactions. Aujourd’hui il est considéré comme étant le père

  de   la   plus   stratégique   à   la   plus   opérationnelle  :   la   définition   des   finalités   (la   stratégie),   l’organisation   associée   (les   mécanismes   de   gouvernance,   de   coordination),   l’animation   des   hommes,  et  le  contrôle  (la  cohérence  entre  les  objectifs  et  les  résultats,  l’élaboration  des  plans  d’amélioration).     C  –  PRINCIPAUX  APPORTS  DE  L’OUVRAGE