Sex and the City

Freedom in Denmark Is Denmark really a free country ? |[pic] |THE FREEDOOM OF OPINION IS DANISH, | | |CENSORSHIP ISN’T | | | | |

INTERET DE LA PROBLEMATIQUE page 3 BIBLIOGRAPHIE page 3 ANALYSE ENTRETIENS D’EXPERTS page 8 ANALYSE ENTRETIENS D’ACTEURS page 10 * Le jeu, l’amusement page 10 * La différence d’image entre le sex shop traditionnel et le nouveau sex shop page 11 * L’influence sur la sexualité page 12 * Le tabou et la différence générationnelle page 14 * Libération de la femme et libertinage page 14 Intérêt de la problématique et son évolution L’industrie

American History X I. A study of the root of racism 1) The movie: quick summary The film tells the story of two brothers, Derek Vinyard (Edward Norton) and Daniel "Danny" Vinyard (Edward Furlong) of Venice Beach in Los Angeles, California. Both are intelligent and charismatic students. Their father, a firefighter, is murdered by black drug dealers while trying to extinguish a fire in South Central neighborhood of Los Angeles, and Derek is drawn into the neo-Nazi movement. Derek brutally kills

New York est surnommé  : « Big Apple » (La grosse pomme) ou« The city that never sleeps » (la ville qui ne dort jamais),c’est une ville du Nord-Est des États-Unis, située sur la côte atlantique, à l'extrémité sud-est de l'État de New York. La ville de New York se compose de cinq arrondissements appelés « boroughs » : Manhattan, Brooklyn, Queens, le Bronx et Staten Island. Entre 1785 et 1790, la ville de New York fut la capitale des États-Unis. Elle est la plus grande ville du pays depuis 1790 et

Bringing Nothing to the Party True Confessions of a New Media Whore PAUL CARR This edition is licensed under the Creative Commons AttributionNoncommercial-No Derivative Works 3.0 United States License. You are free to distribute any or all of the (unmodified) text for non-commercial use, providing you credit http://www.paulcarr.com Full license: http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/us First published by Weidenfeld & Nicolson london ‘I have a theory that the truth is never told

qui pourtant séduit toutes les couches de la société, cultivées ou pas. – Deux titres de films sur le dévoilement de l’intime en public : « The Truman Show » (1998) et « En direct sur Ed TV » (1999). – La télé-réalité fait des émules auprès des auteurs de séries américaines : on retrouve des confidences privées entre jeunes dans « Friends », « Sex and the city », « Ally McBeal ». – Formule frappante d’Ignacio Ramonet : « la généralisation d’un conformisme de l’abjection ». Cela signifie que l’horreur

I CELEBRATE myself; And what I assume you shall assume; For every atom belonging to me, as good belongs to you. I loafe and invite my Soul; I lean and loafe at my ease, observing a spear of summer grass. Houses and rooms are full of perfumes—the shelves are crowded with perfumes; I breathe the fragrance myself, and know it and like it; The distillation would intoxicate me also, but I shall not let it. The atmosphere is not a perfume—it has no taste of the distillation—it is odorless;

Revolutions (2003). -X-Men (2000). -X-Men 2 (2003). -Le 13ème Guerrier (1999). -XXL (1997). -Augustin, Roi du Kung-Fu (1999). -3 Zéros (2002). -Rush Hour 2 (2002). -Wasabi (2001). -Fast and Furious (2001). -2 Fast 2 Furious (2003). -Driven (2001). -La Nouvelle Fureur de vaincre (1976). -In the Mood for Love (2000). -Men in Black (1997). -Men in Black 2 (2002). -Le Dîner de Cons (1998). -Spiderman (2002). -Spiderman 2 (2004). -Jumanji (1996). -Code Mercury (1998). -Alien 4, La

blancs, où les gens sont sympathiques, amicaux, … mais en fait Wisteria Lane n’est qu’une image pour faire disparaître tout ce qui ne va pas. C’est une critique du bonheur et de la société. On peut situer cette série entre Six Feet Under et Sex and the city. Succès : Cette série connait un grand succès, elle a même été nommée aux Emmy Awards et deux actrices particulièrement ont reçus de nombreux prix (Marcia Cross et Felicity Huffman). Elle a connu ce succès mondial car elle traite d’un sujet

sociologique de notre époque», résume Tony Cartano, éditeur français du « Journal de Bridget Jones ». Ecrit par des femmes à destination d’un lectorat féminin, ce genre littéraire a depuis fait bien des émules (« Le diable s’habille en Prada », « Sex and the city », « Gossip girl »…), mettant systématiquement en scène des héroïnes féminines blanches, citadines, actives hétérosexuelles, et à la recherche du grand amour. Mais plus que la quête du prince charmant, ce qui relie tout les personnages féminins