Sex-ratio

Les Principaux ratios prudentiels bancaires   Face à la montée des risques bancaires et aux incertitudes issues de la déréglementation des marchés financiers, les autorités de tutelles françaises et internationales ont mis en place à partir de la fin des années 80 des ratios de contrôle bancaire adaptés. Ainsi, les établissements de crédit français sont incités à renforcer leur structure de bilan afin de pouvoir faire face aux risques susceptibles de se produire. Les crises qui sont apparues au

plus efficient qu’un investissement isolé dans l’un des deux titres, dans le sens où il offre un meilleur rapport « risque/rendement ». On peut en effet considérer que l’on « achète » la possibilité d’une rentabilité élevée par un risque élevé. Le ratio de Sharpe consiste à mettre ces deux mesures en relation. On peut considérer que tous les investissements qui offrent le même rapport entre rentabilité espérée et écart-type se trouvent sur une même « frontière efficiente ». Le tableau ci-dessous montre

= x RR + (1 – x)rf ⇒ µP = x µR + (1 – x)rf  R −r f P D'où :  P =r f  R J-B Desquilbet et σP = x σR 17 Université d'Artois  R −r f s'appelle le « ratio de Sharpe » du titre risqué. R  P −r f s'appelle le « ratio de Sharpe » du portefeuille. P  P −r f  R −r f = On a donc : P R Le portefeuille a le même ratio de Sharpe que l'actif risqué qu'il contient. µP – rf → mesure la rentabilité excédentaire moyenne (rémunération du risque) σP → mesure la « quantité » de risque 

bonne conduite en matière de gestion prudentielle et de prévisions des fonds propres pour couvrir les risques bancaires par la prise en compte du ratio de solvabilité dit « Ratio de Cooke ». Toutefois, même si la réglementation « Bâle I » a contribué au renforcement du système bancaire, elle a montré des lacunes liées au caractère forfaitaire du ratio Cooke qui ne tient pas compte des risques réellement encourus tels que le risque opérationnel. C’est pourquoi, le Comité de Bâle a ouvert un large

Wébographie………………………………………………………………………………64 Table des matières………………………………………………………………………..65 Synthèse Le nouvel accord de Bâle impose une exigence minimale de fonds propres pour toutes les opérations bancaires et financières qui présentent un risque, en fixant un ratio de solvabilité ( MC Donough) qui tient compte en plus de risque de crédit, le risque de marché et le risque opérationnel. Afin d’atténuer ces trois risques, trois méthodes de calcul des exigences en fonds propres sont proposées : une approche indicatrice

Cantonale de Genève our la gestion des risques opérationnels d’une banque, les méthodes purement quantitatives ont vécu. En effet, si de nombreux établissements qui souhaitaient être en méthode avancée au moment de la mise en place de la réforme du ratio de solvabilité ont commencé par collecter leurs pertes, les bases de données qui se sont ainsi constituées et la quantification des fonds propres ne s’avèrent pas des données suffisantes pour le pilotage de ces risques. S’agissant des méthodologies

normes de la réglementation prudentielle internationale  L’accord de Bâle I : Le ratio Cooke Adopté en 1988 par le comité de Bâle, le ratio Cooke, définit le montant des fonds propres minimum que doit posséder une banque en fonction du risque pour se couvrir contre les risques de contrepartie. Dans sa version préliminaire, le calcul de cette norme se base sur un système de pondération. Le succès de ce ratio s’explique, en grande partie par sa simplicité méthodologique et sa mise en œuvre aisée

Comment le rationalisme peut : a) Nous faire réussir nos projets? Le rationalisme est l’action de s’en tenir à la raison. En d’autres mots, le rationalisme permet de se concentrer sur l’objectif (l’objectif est la raison d’être d’un projet) et ainsi d’éloigner les « obstacles » pouvant nuire à la réalisation. Le mot « obstacle » remplace tous les états d’esprit à connotation négative tels que le stress, l’impatience, le manque de motivation et le manque de confiance en soi, etc. Le rationalisme

L’analyse de la rentabilité globale et ses composantes Nom du ratio | Formule | 2009 | 2008 | Industrie | Rendement de l’actif | Résultat net/actif total | 21.35% | 28.59% | 4.23% | Marge bénéficiaire nette | bénéfice net/ventes nettes | 8.19% | 8.16% | 2.63% | Rotation de l’actif | ventes nettes/actif total | 2.61 fois | 3.5 fois | 1.84 | Le rendement de l’actif : exprime la compétence d’une entreprise quant à l’accomplissement de son travail en indiquant le rendement

dernières années. Objectif : Il ne s’agit plus d’agir directement sur les marchés en fixant les prix ou les quantités, mais d’adopter une réglementation prudentielle ayant pour but d’orienter le comportement des institutions financières. Moyen : Les ratios de solvabilité Cooke (mis en place à partir de 1988) et Mc Donough (2007) sont deux exemples de cette évolution. Définition : Ils imposent aux banques la détention d’un certain volume de fonds propres (terme comptable figurant au passif du bilan