Sexualité féminine

2) La sexualité II- QUELLES SONT LES DIFFERENTES CONCEPTIONS DE LA SEXUALITE 1) Selon les hommes 2) Selon la bible III- LES RAISONS DE LA DEPRAVATION SEXUELLE 1) Les medias 2) La mode 3) Les mauvaises compagnies et fréquentations 4) Le langage IV- LES CONSEQUENCES DE LA SEXUALITE CHEZ LE JEUNE CHRETIEN 1) Aspect physique 2) Aspect morale 3) Aspect spirituel 4) Le langage V- COMMENT LE JEUNE CHRETIEN DOIT-IL GERER SA SEXUALITE?

et les recherches de RV Kraft Ebing (1840-1902) dont il dit que l’œuvre est « un désastre total pour la sexologie ». A l’inverse d’Ellis , RV Krafft Ebing, pourtant issu de la même société victorienne, décrit la plupart des manifestations de la sexualité humaine comme des maladies honteuses. Il étudie le fétichisme, l’homosexualité, le sadisme, le masochisme et postule que la masturbation est la cause principale de toutes ces « maladies ». Van Krafft Ebing, neurologue et psychiatre, étudie les crimes

chromosomes sont identique à ceux de l’homme. Ce qui suggère un lointain ancêtre commun. Mais ce qui a vraiment de quoi nous faire dilater... la pupille et dresser... l’oreille, c’est que le comportement social des bonobos est entièrement ordonné par la sexualité. La société des bonobos est égalitaire et paisible, et plutôt matriarcale. Le lien le plus fort est celui qui unit les mères à leurs petits, et cela toute leur vie. On a d’ailleurs également observé que l’infanticide, qui est très fréquent chez

groupe, etc. Et lorsque nous rencontrons l’élu(e) de notre coeur, mieux vaut lui parler assez rapidement de notre maladie : s’il/elle est prêt(e) à s’engager, il/elle le vivra comme une marque de confiance. Comment retrouver une sexualité satisfaisante ? La sexualité avec une maladie cardiovasculaire est un sujet tabou. Il est difficile d’aborder ce problème avec nos médecins. Nous avons souvent l’angoisse de reprendre des relations sexuelles après une opération cardiaque. Pourtant, il faut

Comment voit on qu'un enfant est attaché a ses parents? L'enfant se sent en securité avec ses parents: il sourit, les regarde, s agrippe a eux, pleure quant ils s en vont...  SEXUALITE CHEZ L ENFANT: Freud a determiné les instances de la personnalité: Le ça, siege de la libido, reservoir des pulsions et la satisfaction est sans delai (inconscient) Le moi, dirige la personnalité. Plus l'enfant grandit, plus il comprend le principe de realité. Le Surmoi, centre de la moralité c est

pouvoir étant tentant, les femmes vont se manifester par des abus notoires. La contradiction : Pendant ce temps, les réalités évidentes demeurent plus évidentes ; la sexualité n’a pas changé d’orientation ni d’attraction. Les « femmes mères » sont méprisées par ces nouvelles « cheftaines des foyers ». On veut créer un nouveau modèle de sexualité domestique dite démocratique faite de consentement de contrat et de totale transparence. On va même penser à éduquer les garçons comme les filles. La régression

dernière pour imposer un tabou qui n'a rien à voir avec les projets de Dieu pour le sexe. Une lecture un peu attentive des textes montre tout de suite que les mots « chair » et « charnel » de la Bible - employés à tort dans le passé pour condamner la sexualité - désignent en réalité un principe de mal (opposé à l'Esprit) (Épître de St Paul aux Galates ch.5 v. 19-22 : « les oeuvres de la chair sont évidentes : ce sont la débauche, l'impureté, le libertinage, l'idolâtrie, la magie, les rivalités, les querelles

société, de sorte que nul n'envie une caste autre que la sienne. Cette société rend tabou le sujet de la viviparité : l'allusion à la maternité, à la famille ou encore au mariage font rougir de honte aussi bien les jeunes que les adultes. La sexualité y apparaît comme un simple loisir : chaque individu possède simultanément plusieurs partenaires sexuels (entre deux et six par semaine), et la durée de chaque relation est extrêmement limitée (quelques semaines seulement). Les femmes utilisent de

notamment en raison du secret qui les entoure » (p.29). C’est pourquoi, en tout premier lieu, nous allons définir ce qu’est l’inceste et nous serons en mesure de comprendre un peu plus le traumatisme provoqué par le contact non désiré avec la sexualité que lui impose un adulte. Par la suite nous analyserons les facteurs qui influencent le dévoilement du secret et nous tenterons d’expliquer sur quelles bases se maintient la loi du silence par les victimes incestées. Finalement, nous terminerons

société, de sorte que nul n'envie une caste autre que la sienne. Cette société rend tabou le sujet de la viviparité : l'allusion à la maternité, à la famille ou encore au mariage font rougir de honte aussi bien les jeunes que les adultes. La sexualité y apparaît comme un simple loisir : chaque individu possède simultanément plusieurs partenaires sexuels (entre deux et six par semaine), et la durée de chaque relation est extrêmement limitée (quelques semaines seulement). Les femmes utilisent de