Sexué

Reproduction sexuée, reproduction asexuée, fécondation, fécondation interne, fécondation externe, nidation, naissance (mise bas et éclosion), allaitement, ovule, spermatozoïde, zygote, embryon, fœtus, ovipare, oviparité, ovovivipare, vivipare, viviparité, métamorphoses

l’identité sexuelle n’est pas liée au sexe de la personne. Pour que chacun puisse « découvrir » son propre « genre », on voudrait effacer dès la plus petite enfance, tout repère sexué (ou considéré comme tel). « L’explosion hormonale » surgissant à une période où les enfants ont été auparavant en groupe « homo-sexué » (les filles avec les filles, les gars avec les gars), où l’amitié avec son(sa) meilleur(e) ami(e) est souvent fusionnelle, la possibilité de la découverte des premiers émois amoureux

distinction des sexes est fondamentale en biologie, car l'existence de deux (ou plusieurs) sexes permet de passer de la multiplication asexuée (simple bouturage ou quasi-clonage, fréquent chez les bactéries et les végétaux), à la procréation ou reproduction sexuée : création d'un nouvel individu significativement différent de ses deux parents (grâce notamment au processus de la méiose), tout en gardant l'essentiel (et notamment l'aptitude à vivre effectivement). Ainsi, la sexualité multiplie de façon exponentielle

l'enseignement de l'Histoire soit jugée parfaitement inutile dans ce monde, on apprend néanmoins que les sociétés anciennes ont été détruites par un conflit généralisé connu sous le nom de « Guerre de Neuf Ans ». Dans cette société, la reproduction sexuée a totalement disparu ; les êtres humains sont tous fécondés en laboratoires, les fœtus y évoluent dans des flacons, et sont conditionnés durant leur enfance. Les traitements que subissent les embryons au cours de leur développement déterminent leur

monogénétique haplophasique du Mucor | | | Multiplication végétative (en haut du schéma) et Cycle monogénétique haplophasique du Mucor (en bas du schéma) d'après J.-C. Roland et B.Vian - Atlas de Biologie Végétale, 1985, Ed MASSON La reproduction sexuée se fait par cystogamie : les progamétocystes grandissent et se divisent chacun en deux segments, le suspenceur et la gamétocyste plurinucléé. Les gamétocystes fusionnent pour former un coenozygote contenant plusieurs noyaux diploïdes. La paroi du

vivant perd, de sa part de vivant, à se reproduire par la voie sexuée. » c’est une sorte de « mort individuelle ». Pour illustrer cela il prend l’exemple du mythe d’Aristophane, qui consiste à ce que dans l'amour, le vivant cherche dans l'autre sa moitié sexuelle. L'analyse montre elle que le sujet cherche une partie perdue de lui-même car c'est « un vivant sexué, et qu’il n’est plus immortel. » Avec cet exemple il montre

microenvironnements aux propriétés spécifiques + 2.1.3 Flux organisé de matière et d'énergie o 2.2 Cellule vectrice de gènes + 2.2.1 Transmission des gènes et cycle cellulaire + 2.2.2 Reproduction sexuée et cycle du développement + 2.2.3 Mort cellulaire : la cellule au service de l'organisme et des gènes o 2.3 Interdépendance cellulaire : de la cellule à l'organisme + 2.3.1 Êtres unicellulaires : la cellule

Le rôle de la méiose et de la fécondation dans la conservation du caryotype Objectif : Comment la reproduction sexuée permet-elle de conserver le caryotype de l’espèce ? A. Le rôle et les étapes de la méiose : Consigne : 1. A l’aide du vidéogramme « meiose.mov » et des fonctionnalités du logiciel de traitement de texte Word, placez dans le tableau de la page 3, les différents schémas et photos de la méiose dans l’ordre chronologique. 2. Placer ces étapes sur le graphique montrant

structure de l’information génétique Chez les organismes haploïde (n), toute mutation pourra éventuellement avoir un effet phénotypique (chez les haploïde on ne peut pas compenser avec un autre allèle). Chez les organismes diploïdes à reproduction sexuée, chaque individu possède 2 exemplaires de chaque allèle, l’un provient du père, l’autre de la mère. Allèle récessif → pas d’expression en présence de l’autre allèle. Allèle dominant → s’exprime totalement au niveau du phénotype. Codominance → chaque

Aspergillus Aspergillus est un genre de champignons imparfaits (Deutéromycètes : pas de reproduction sexuée) qui comprend environ 180 espèces. Ce sont des contaminants fréquents de nombreux substrats, tels que les grains et les produits dérivés (farines, aliments composés pour animaux, etc...).  Certains d'entre eux sont pathogènes, et/ou produisent des métabolites toxiques pour les mammifères. Les moisissures du genre Aspergillus produisent quelques unes des mycotoxines les plus importantes parmi