Sganarelle Et Ses Gages

MOLIERE VIE o Jean baptiste poquelin nait dans une famille des artisans de la bourgeoise.il étudie chez les jesuistes et droit a orleans.il est acteur,dramaturge et directeur de la compagnie théâtrale,fondée en 1643:l’illustre théâtre.après un incarcération pour dettes,il va faire une tournée en province.Sa troupe joue aussi devant louis XIV qui lui accorde de jouer dans la salle de petit bourbon.il devient celebre grâce aux précieuses ridicules.Malgré le soutien du roi,la religion

réussi à avoir une vraie motivation dans sa vie ; pas comme auparavant, qu’il était insatiable dans le plaisir. Il devient non seulement plus sincère (il avoue à Angélique qu’il ne sera pas capable de l’aimer), mais aussi bienséant (il donne les gages à Sganarelle). Personnellement, cette version de Don Juan est aussi vraie que la version « traditionnelle » du personnage perfide, égoïste, trompeur de femmes et contrevenant. Même si Éric- Emmanuel Schmitt casse le mythe en présentant Don Juan aimant

................................................. .................................................................................................................................................... b) Analyse Acte I, scène 1  Sganarelle brosse le portrait de Dom Juan. Quels traits met-il en évidence? .............................. ...................................................................................................................................................

espagnole et a donné des noms français aux personnages modestes.Mise en scène du texteLa pièce fut conçue, répétée et montée en quelques semaines. La première eut lieu le 15 Février 1665 et obtint une très bonne recette. Molière jouait le rôle de Sganarelle, le jeune la Grange celui de don juan. Cependant, deux jours plus tard, la scène du pauvre disparaissait. 15 représentations furent données jusqu’à la relâche de pâques, mais la pièce ne fut pas reprise après. En Mai 1665, un pamphlet accusa l’auteur

 théâtre  de  comédie.  Le  valet  est  un  type  qui  regroupe  toutes  les  fonctions  de   tous  les  valets  d’une  maison.  Il  n’est  plus  esclave.  Il  est  rémunéré  :  il  reçoit  des  gages,  même   si  ceux-­‐ci  sont  rarement  perçus.  Il  est  logé,  nourri  et  blanchi.       1.1.1.2 Au  XVIIème   Les   valets   de   Molière   empruntent   beaucoup   de   leurs   traits   aux

...........................................................................................................................................................................................................................b) AnalyseActe I, scène 1 Sganarelle brosse le portrait de Dom Juan. Quels traits met-il en évidence? ...................................................................................................................................................................................

peuvent être fabriqués de riches étoffes, mais ne seront jamais aussi beau que celui des maîtres. A/ Les vêtements et l’attitude : De cette façon, un domestique a dans l’espoir de changer de condition en changeant de vêtements. C’est ainsi que Sganarelle, valet de Don Juan, dans la pièce éponyme de Molière datée de 1665, arrive à se faire passer pour une condition sociale plus élevée : celle de médecin. En effet, lors de la première scène du troisième acte, le valet apporte à son maître des habits

Tandis que dans la tragédie, les valets sont appelés des confidents. # Il regroupe toutes les fonctions de tous les valets de la maison, c'est donc un symbole, une représentation du valet. * # Le valet n'est pas un esclave, il est rémunéré (de gages), mêmes si ceux-ci sont rarement perçus. En effet, le valet est logé, nourri, blanchi, et s'en contente * C'est une relation de familiarité (le valet sert de confident, pour le maître c'est une espèce de double, de miroir, avec qui la discussion

saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. Sganarelle en riant lui réclamait ses gages, Tandis que Don Luis avec un doigt tremblant Montrait à tous les morts errant sur les rivages Le fils audacieux qui railla son front blanc. Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire, Près de l'époux perfide

dans toute sa splendeur » Corpus de la séquence 3 : « Dom Juan ou Le Festin de Pierre de Molière : le portrait du libertin conquérant » 1) « La scène d’exposition : une scène d’exposition conventionnelle ?(I,1) »  SGANARELLE, GUSMAN. « SGANARELLE, tenant une tabatière.- Quoi que puisse dire Aristote, et toute la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac, c'est la passion des honnêtes gens; et qui vit sans tabac, n'est pas digne de vivre; non seulement il réjouit, et purge les