Sganarelle Existence De Dieu

adopte un comportement prétentieux et ridicule « com-plaisance affectée », « délicatesse ridicule ». Pour cet auteur lettré, cela révèle surtout une ignorance insupportable «parlent hardiment de toutes choses sans s'y connaître », « taisez-vous, quand Dieu ne vous a pas donné la connaissance d'une chose ». La hiérarchie sociale se dessine selon des critères de naissance "Messieurs du bel air, Marquis de Mascarille" et d'argent , ce qui est novateur à cette époque où c'était un sujet tabou : « la différence

un homme d’affaires, qui a une famille, un cheval, un compte en banque, une barbe blanche. Il crie et semble brutal : il bat le frère du jeune garçon qui apparaît à la fin des deux actes. On a souvent associé Godot à Dieu. Le nom même serait une dérivation de l’anglais God. Comme Dieu, Godot est mystérieux, caché, inaccessible. De plus, dans le texte, on fait souvent allusion à la religion. Selon l’interprétation théologique, la pièce serait à lire comme la tragédie d’une humanité déchue qui attend

faudra perdre contre elle. Charles Baudelaire l’a bien compris, puisque dans son poème « l’horloge », il nous décrit la mort comme un mécanisme immuable et toujours gagnant, rappelant terriblement à chaque instant l’homme à la triste réalité de son existence. Ce poème, fataliste, nous montre à quelle point la mort nous obsède car elle est une éternelle patiente. Dans le poème « remords posthume », le poète reprend aussi le thème du Carpe Diem, et nous démontre une fois encore que la vie est bien courte

des différences de ton, et c'est elles qui sont capitales. Il ne suffirait pas, par exemple, de remarquer que l'amour est couronné dans la comédie tandis qu'il est châtié dans la tragédie; il faudrait en plus constater que les conditions de son existence sont très différentes selon le genre. L'amour des Léandre et des Isabelle ne ressemble en rien à celui des Andromaque et des Oreste, et il faudra dire pourquoi. L'idée qu'il s'agit du même «sujet» prête à méprise si on ne voit pas qu'il faut partir

mais à une sorte de mur vivant – Willie – dont le mutisme souligne tragiquement la solitude ; ce sont les silences qui figurent les réponses – inexistantes – de Willie. • Par ailleurs, Lorenzo et le Jardinier se trouvent à un moment crucial de leur existence et même de la nuit (« Te voilà, face livide », document A ; « Moi, je ne suis plus dans le jeu », document B), qui marque un tournant pour eux. Pour Winnie, cette situation d’énonciation fait partie de son quotidien et les silences signalés dans

auteur croyant, il veut convaincre les libertins (= libre penseur) de la nécessité de croire en dieu. Pensées=> 1665 Les deux premiers fragment sont intégraux, le dernier est juste un fragment. Ce livre est un essai philosophique posthume (après sa mort). -Les contestations : le « fini »= on connaît les bornes. « l’infini »= on connaît pas les bornes. Il définit dieu comme un cercle, le centre est partout, la circonférence nul part. - Un roseau pensant= il se plie

humaines. C'est une nation, dirais-je à Platon, dans laquelle il n'y a aucune espèce de commerce ; aucune connaissance des lettres ; aucune science des nombres ; aucun nom de magistrat ni de supériorité politique ; aucun emploi de serviteurs, aucune existence de la richesse et de la pauvreté ; pas de contrats, pas de successions, pas de partages ; pas d'occupations désagréables ; pas de considération de parenté, sinon tout le respect que tous les hommes se portent les uns aux autres ; pas de vêtement

(Sartre, Merleau-Ponty, Camus, Cioran) la vie repose sur un non-sens, l’existence humaine est absurde, le bonheur est une illusion. (Déjà Pascal, au 17e siècle avait parlé de la misère de l’homme mais pour lui il y avait une issue : Dieu) or depuis Nietzsche, « Dieu est mort ». Cette réactivation est liée aux facteurs historiques attestant de la tragédie humaine : • Après, la der des der a eu lieu l’holocauste et la guerre de 39-45, et Hiroshima, Nagasaki. • Les espoirs soulevés par le marxisme

amplification est au service d’un idéal. II) Nouvelle vision de l’homme, nouvelle vision de l’éducation 1) La lecture critique de la Bible Le matin est consacré à la « lecture », une lecture qui montre la « majesté » ou le « jugement merveilleux » de dieu. La lecture, c’est-à-dire l’interprétation, a par conséquent une place importante dans la compréhension des textes. En cela, Rabelais fait référence aux Évangélistes. 2) Une éducation ludique fondée sur l’échange L’éducation religieuse passe aussi

pas moi », « vous ne l’aimez plus ». Seul le spectateur sait que le « tu » avec lequel Roxane croit s’adresser à Christian s’adresse en fait aussi à Cyrano. • Et c’est un plaisir propre au théâtre que de pouvoir « voir » tout comme si l’on était un dieu omniscient. ©HATIER ■ Commentaire PRÉPARATION m Trouver les idées directrices Faites, pour vous aider, la « définition » du texte (voir sujet n° 1, p. 24) qui peut vous ouvrir des pistes. Analysez avec précision les termes de cette « définition