Sganarelle Un Personnage Comique

cour du quel Sganarelle se dissimule sous l’habit d’un médecin. L’acte trois s’ouvre sur une discussion sur la médecine dans laquelle Molière règle ses comptes. Ce qui semble être une digression est enfaite une habille façon d’introduire une discussion sur la religion, qui sera une des plus subversive de la pièces. Cet extrait ce découpe en trois parties : * Le dialogue sur la croyance * La tirade grotesque de S * La chute (double sens) I) Une scène de comédie. 1. Le comique de cette scène

controversé compte tenu des thèmes abordés et de la polémique qu’elle a suscité entre libertin et dévots. En effet la scène d’exposition progresse à partir de l’opposition des discours et des caractères des deux valets avec celui qui sait tout : Sganarelle qui s’élève en faux savant en tenant un propos burlesque et celui qui ignore, qui s’étonne : Gusman incarnat sa maîtresse Done Elevire . Il sera donc intéressant de voir comment le valet de Dom Juan se place comme un double de son maître qui incarne

d’exposition de la pièce, dialogue entre le valet d’Elvire et Sganarelle. Tirade de S -> Décrit son maître. Dialogue entre Gusman et Sganarelle, on apprend la situation L.16 Série de questions de Gusman qui essaye de comprendre le comportement de D.J. - Problématique : Comment la tirade de S nous informe à la fois sur D.J et sur le valet lui même ? Axe 1 : Le portrait du maître par son valet Axe 2 : Personnage du valet, Sganarelle Axe 1 : Le portrait du maître par son valet a) Don juan

• L’athéisme : Consistant en la négation de l’existence de Dieu, on doit s’interroger sur l’attitude du héros qui passe son temps à défier et à provoquer le ciel (Don Juan : « Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit » Sganarelle : « Votre religion, à ce que je vois, est donc l'arithmétique ? ».), ce qui lui réservera une mort atroce, et sa damnation éternelle. • L’honneur : L’honneur est un principe moral qui régit la conduite des nobles

le sarcasme, l'impertinence et l'offense, l'irrévérence et l'irrespect. Il personnifie une lutte impitoyable entre le classicisme et le baroque. Tel Prométhée, il se libère par la mort, c’est-à-dire il entre dans la (dé)mesure triomphante. Un personnage transgressif Dom Juan, c'est la transgression des mœurs parce qu'il est séducteur il ne respecte pas le mariage. Il séduit les femmes, y compris celles qui sont promises (voir la scène avec Charlotte et Pierrot). Dom juan est le maître du jeu

s’agit pour Molière de faire vivre sa troupe. La pièce Le Misanthrope est encore en chantier. Molière décide donc de créer rapidement une pièce en prose sur un sujet à la mode : entre 1658 et 1661, on trouve pas moins de trois pièces traitant d’un personnage libertin, séducteur et impie précipité dans la mort par une statue de pierre - une farce italienne montée à Paris en 16583 - la tragi-comédie Le Festin de Pierre ou le fils criminel de Dorimon (Lyon, 1658-Paris, 1661) et Le Festin de Pierrenote

tonalité comique, elle reprend la traditionnelle discussion entre personnages qui se doivent de présenter la situation et Sganarelle fait le portrait de son maître, en cela il présente le héros. 1) Un éloge paradoxal La scène s’ouvre donc sur une tirade de Sganarelle, valet du héros, qui va faire l’éloge du tabac. Il reprend ainsi un jeu inventé par les humanistes qui s’amusaient à faire un éloge ironique d’objets qui n’en étaient pas dignes. Cet éloge place la scène dans un registre comique, et est

tonalité comique, elle reprend la traditionnelle discussion entre personnages qui se doivent de présenter la situation et Sganarelle fait le portrait de son maître, en cela il présente le héros. 1) Un éloge paradoxal La scène s’ouvre donc sur une tirade de Sganarelle, valet du héros, qui va faire l’éloge du tabac. Il reprend ainsi un jeu inventé par les humanistes qui s’amusaient à faire un éloge ironique d’objets qui n’en étaient pas dignes. Cet éloge place la scène dans un registre comique, et est

inconstance et sa conduite. - La scène 1 de l’acte I constitue un dialogue entre deux valets, où sont présentés, classiquement, l’intrigue et les personnages. Pour autant, elle présente de nombreux caractères originaux et inattendus, à commencer par une ouverture incongrue sur le tabac, avant de présenter un portrait étonnamment critique du personnage principal : Dom Juan. - Nous allons voir tout d’abord en quoi cette première scène est bien une scène d’exposition, mais aussi en quoi elle constitue

hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs, etc. - Sganarelle se donne de l’importance en utilisation quelques termes -> pédant è Molière se moque de l’intolérance de l’époque(ex : ‘turc’-> quelqu’un pense Ø) è Dom Juan -> héros peu sympa -> séducteur / débauché / impie II - Rapports maître – valet : - plein d’exagérations - Sganarelle Se prend pour un artiste -> métaphore filée grossière/comique - Souhaits de Sganarelle Rapport avec fin du texte - Sganarelle se plaint