Sganarelle Valet Bouffon

TEXTE 1 ACTE 1 SCENE 1 – Tirade de Sganarelle. La scène commence IN MEDIAS RES = début alors qu’il y a une discussion. Le valet Sganarelle parle au Valet Gusman, la scène se déroule en Sicile (couronne d’Espagne). Gusman est étonné du départ brutal de Don Juan qui vient d’épouser Don Elvire après l’avoir fait sortir d’un couvent, la discussion est assez tendu et devant l’incompréhension de Gusman, Sganarelle va faire le portrait de son maitre. COMMENT LE VALET VA-T-IL FAIRE UN PORTRAIT PROPRE

(page 15) différentes scènes (pages 15-35) Bonne lecture ! «Dom Juan» est l’orthographe du XVIIe siècle qu’on conserve pour le titre de la pièce tandis que le nom du personnage s’écrit «Don Juan». Résumé Acte I : “L'infidèle” Scène 1 : Sganarelle fait à Don Gusman, écuyer d'Elvire, le portrait de Don Juan, son maître, débauché impie. Il prévient Don Gusman de l'échec probable d'Elvire, femme de Don Juan, abandonnée par lui et venue à sa recherche pour le lui reprocher. Scène 2 : Don Juan

- Sganarelle n’a pas évolué, c’est toujours un valet qui essaye de remettre Dom Juan dans le droit chemin (il est raisonnable). De plus il a encore peur de son maître et il est comique. - On peut noter que Dom Juan reste dans l’impiété, il est provoquant, courageux, et il est encore blasphémateur et athée (il prend son épée pour transpercer « le spectre »). Il n’a donc pas évolué. 2) Le sort des personnages est réglé - Les personnages sont absents mais ils sont évoqués par Sganarelle dans

de par son inconstance et ses tromperies, son jeu avec les apparences et sa capacité d’illusionner .Dans l’acte 4 scènes 7 : Dom Juan se met à table avec Sganarelle et le repas prend des allures bouffonnes, lorsqu’on frappe à la porte. Sganarelle va ouvrir. Entre la statue du commandeur. Selon la question posée : En quoi la relation maitre- valet est peu orthodoxe ?En premier temps nous évoquerons

La relation maître/valet Un peu d'histoire : Entre le XVIIe et le XVIIIe le serviteur, d'origine populaire, est presque toujours un migrant sans qualification, venu de la campagne proche pour tenter sa chance à la ville. Une fois placé, il est immergé dans l'univers des privilégiés de la naissance et de l'argent. Il manifeste alors un véritable désir d'identification. Il adopte les manières de son maître, copie ses vices et ses tics. Il suit l'évolution de la mode et s'adonne à de nouvelles

autre qui craque sur une jeunes paysannes qui est déjà promise et n’hésite pas à lui promettre de la chérir et de l’épouser. Incrédule et cynique, il scandalise son pauvre valet Sganarelle de toutes ses actions, qui tente sans succès de ramener son maître libertin dans le chemin de la vertu et de la religion. Accompagné de ce bouffon souffre-douleur, Dom Juan joue les imposteurs en faisant croire a tout le monde qu’il croit finalement en une puissance divine ce qui a pour don de ravir son père mais,

déguisant. Moins rationaliste, plus proche de la superstition qui accrédite les mystères extravagants de l’univers, Sganarelle, lui, croit sans la moindre retenue. Pour lui, cette apparition est la marque de la puissance invisible de Dieu : « Ah ! Monsieur, rendez vous à tant de preuves, et jetez-vous vite dans le repentir. » Il insiste auprès de Dom Juan pour qu’il évite la tragédie. Le valet joue deux fonctions ici : il introduit un décalage comique dans ce moment fantastique et dramatique, qui a pour

Acte I Scène 1 : Dom Gusman, Sganarelle. Après un éloge burlesque du tabac, Sganarelle, valet de Dom Juan reprend sa conversation avec Gusman, écuyer de Done Elvire. Le spectateur apprend que Dom Juan, après avoir séduit, enlevé Done Elvire du couvent et l’avoir épousée, l’a abandonnée. Dom Gusman s’interroge sur le pourquoi de la fuite de celui-ci. Sganarelle esquisse le portrait d’un maître « grand seigneur méchant homme », « épouseur à toutes mains », « libertin » qui ne craint ni « Ciel

libertin, le titre du livre a été également donné au personnage principale qui est donc Dom Juan, il va accumuler les conquête amoureuses jusqu'à tomber sur une jeune fille d'un couvent qui va lui donner bien du fil a retordre... 2] Scène 2 : Sganarelle fait comprendre à DJ que sa vie n'est pas normale et que « les libertins ne font jamais une bonne fin » (p. 19). DJ avoue avoir quitté Elvire après avoir rencontré un couple tout juste marié dont il est jaloux et désireux de la femme. Il prévoit

tragique ou comique et ne se contente pas de suivre les instructions et la pièce de Molière à la lettre. Il y ajoute d'autres interprétations aux scènes ainsi que des éléments dans le jeu. En effet, les costumes utilisés sont contemporains avec Sganarelle en clown sont t-shirt rayé blanc et rouge, un don juan habillé de cuir, un don Luis aux allures mafieuses dans son costume trois pièces, Mathurine et de Charlotte sont les mêmes avec leurs robes bleus, cela peut nous faire pensé aux personnes de