Sganarelle

particulièrement dans quatre pièces chez Molière : Sganarelle ou Le Cocu imaginaire (1660), L’Ecole des maris (1661), L’Ecole des femmes (1662) et George Dandin (1668). Sganarelle de L’Ecole des maris est une ébauche d’Arnolphe, sa phobie d’être trompé et son principe de précaution envers Isabelle portent en eux-mêmes l’issue du mariage à venir. Dans L’Ecole des femmes, Agnès n’a ni la sœur, ni la servante, ni l’éducation d’Isabelle et Arnolphe n’est plus le benêt Sganarelle mais le personnage masculin est toujours

personnages lui permet d'apprécier toute la saveur de ce jeu de dupes et d'anticiper avec plaisir le moment de la révélation. De même, Sganarelle ou le Cocu imaginaire joue sur une suite de quiproquos dont le spectateur est le témoin : Sganarelle croit que sa femme le trompe avec Lélie, qui lui-même croit que Célie, sa promise, s'est mariée avec Sganarelle. Sous l'œil amusé du spectateur, les personnages s'enferrent dans cette chaîne de malentendus qui fonde l'essentiel de l'intrigue, jusqu'à

quatre scène tel que : l’acte III scènes 1 et 2 ainsi que l’acte V scènes 5 et 6 extrait de Dom Juan de l’œuvre de Molière datant de 1665. Nous allons nous intéresser au personnage de Sganarelle qui est le valet de Dom Juan en établissant des différences et ressemblances de ce personnage dans ces scènes. Sganarelle ne se s’épare jamais de son maitre Dom Juan, il le suit où qu’il aille, c’est un couple inséparable. Il lui sert même de porte parole et de témoin oculaire en lui affirmant que « c’est

Le couple Don Juan/ Sganarelle est inséparable et c'est bien là que réside le paradoxe de leurs relations : en la présence de son maître, le valet oublie qu'il n'est qu'un "pauvre type". Il a besoin de le voir pour l'imiter, de le suivre pour avoir l'impression de lui ressembler. Sganarelle vit à travers de Don Juan : il est très rare qu'il utilise la première personne du singulier et il se définit à travers lui et ce dés la scène 1 de l'acte I. Il est fasciné par son maître et ne pourrait plus

Don Juan et la croyance -Sganarelle parlant de son maître «Qui ne croit ni Ciel ni Enfer» Défi par rapport à la religion. -Don Juan (incroyant) tandis que Sganarelle son valet est «croyant» Acte III, scène 1 (p.43) Dans cette scène DJ et Sganarelle d'opposent au niveau de la croyance de la médecine. Don Juan croit uniquement en arithmétique tandis que son valet tante de le convaincre du mieux qu'il puisse de croire aux effets bénéfique de la médecine de l'époque, mais sans y réussir pour

Le couple Don Juan/ Sganarelle est inséparable et c'est bien là que réside le paradoxe de leurs relations : en la présence de son maître, le valet oublie qu'il n'est qu'un "pauvre type". Il a besoin de le voir pour l'imiter, de le suivre pour avoir l'impression de lui ressembler. Sganarelle vit à travers de Don Juan : il est très rare qu'il utilise la première personne du singulier et il se définit à travers lui et ce dés la scène 1 de l'acte I. Il est fasciné par son maître et ne pourrait plus se

observer le comiques de gestes, tout d'abord avec le texte de Molière, nous remarquons que Sganarelle a la joue enflée : « Il me semble que tu as la joue enflée » (l.13) Sganarelle a le visage déformé ce qui le rend ridicule. Ensuite Les serviteurs ne tiennent absolument pas compte de la volonté de Sganarelle, ils agissent comme des machines, ce qui est comique : « Un laquais ôte les assiettes de Sganarelle d'abord qu'il y a dessus à manger » (L.26-27) ; « l'autre laquais ôte encore son assiette »

amoureux". En 1658, il joue devant Louis XIV la pièce "Le docteur amoureux". Grâce à cette pièce, le roi accorde à sa troupe l'accès à la salle du Petit Bourbon. En 1659, grand succès avec la pièce "Les précieuses ridicules". En 1660, grand succès avec "Sganarelle ou le cocu imaginaire". En 1662, il épouse la fille de sa maitresse, Armande Béjart. Pris de convulsions au cours de la quatrième représentation du Malade imaginaire, Molière expire quelques heures plus tard d'une congestion pulmonaire, le 17 février

(la) 8 mai 1664 Psyché 17 janvier 1671 Sganarelle ou le Cocu imaginaire 28 mai 1660 Sicilien (le) 14 février 1667 Tartuffe (le) 5 février 1669  Résumé de l’œuvre. Acte I : Dom Juan est à la fois en fuite et en chasse. Il vient d’abandonner la dernière de ses épouses, Elvire, qu’il avait pourtant eu du mal à enlever de son couvent. C’est que la conquête (difficile) seule l’intéresse, comme il l’explique à son valet Sganarelle. Le voici libre de poursuivre une nouvelle proie

Plusieurs personnages de marque, tels des ministres et même Monsieur le Prince, invitent Molière à faire jouer sa pièce chez eux. Louis XIV voit les Précieuses le 29 juillet 1660, puis le 31 sa nouvelle pièce, Sganarelle ou le cocu imaginaire (4e pièce de Molière, qui joue Sganarelle), petite comédie en un acte reposant sur une suite de quiproquos. Les recettes de celle-ci n’atteignent pas les sommets de la précédente, toute la Cour étant à Saint-Jean-de-Luz pour le mariage du roi, au moment de