Shinzō Abe

mondiale Le PM japonais jusqu’en 2005 était Koizumi. Sous sa mandature, le Japon est sorti d’une décennie de crise appelée la « décennie perdue ». Le Japon a affiché de nouvelles ambitions IN : ambition de jouer un rôle IN. Le nouveau PM est Shinzo Abe issu du Parti libéral démocrate. Le Japon a certaines revendications : contentieux avec les Russes concernant les îles Kouriles ( au nord du Japon ), contentieux avec la Corée du Nord et contentieux concernant quelques îles dans le Pacifique.

PRESIDENT DU CONSEIL GIUSEPPE CONTE 1ER JUIN 2018 JAMAÏQUE REINE ÉLISABETH II 6 AOUT 1962 GOUVERNEUR GENERAL PATRICK ALLEN 26 FEVRIER 2009 PREMIER MINISTRE ANDREW HOLNESS 3 MARS 2016 JAPON EMPEREUR NARUHITO 1ER MAI 2019 PREMIER MINISTRE SHINZO ABE 26 DECEMBRE 2012 JORDANIE ROI ABDALLAH II 7 FEVRIER 1999 PREMIER MINISTRE OMAR RAZZAZ 20 JUIN 2018 KAZAKHSTAN PRESIDENT KASSYM-JOMART TOKAÏEV 20 MARS 2019 PREMIER MINISTRE ASKAR MAMIN 21 FEVRIER 2019 KENYA PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE UHURU

aux soldats japonais morts pour l’empereur, les tablettes représentant leurs âmes ainsi que celles de généraux nippons condamnés pour crimes de guerre y sont révérées. Cette déification suscite donc grandes polémiques et le successeur de Koizumi, Shinzo Abe, a également ravivé le ressentiment chinois en déclarant des propos controversés à tendances nationalistes. De plus, la parution de manuels d’histoire japonais minimisant les crimes de leur pays n’ont fait qu’envenimer la situation. La guerre des

possibilité. Lors de son discours du 12 février sur l’état de l’Union, le président Obama a réitéré son engagement à offrir le “parapluie nucléaire” américain aux pays alliés. Le Premier ministre Shinzo Abe [Parti libéral-démocrate, conservateur] va prochainement rencontrer le président Obama. Il est essentiel que M. Abe profite de cette occasion pour obtenir de la part de M. Obama des assurances allant dans ce sens. —Hiroyuki Akita 16. ASIE Courrier international — no 1164 du 21 au 27 février 2013

l’histoire–, une vitrine pour son pays. Parmi les hôtes les plus en vue figuraient le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, le président chinois Xi Jinping, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre japonais Shinzo Abe et le chef de l’Etat ukrainien Viktor Ianoukovitch, qui a fait le déplacement en dépit de la grave crise politique qui sévit dans son pays. A cause de tensions diplomatiques et de controverses sur les droits de l’homme (notamment à propos de la

anti-sécession. Celle-ci vise « à légaliser » et légitimer la menace de recours à la force brandie par Pékin comme arme dissuasive. C’est pourquoi Pékin a dénoncé l’irresponsabilité de Tokyo. Refusant à nouveau de céder aux pressions de Pékin, Abe Shinzo _ alors porte-parole du gouvernement_ déclarait au printemps2005 qu’il était impossible de laisser croire à la Chine que le Japon et les Etats-Unis resteraient les bras croisés en cas d’attaque de Taiwan. Au-delà de cette déclaration, ce qui