Si C Est Un Homme Description

pièce? Dès cette scène d'exposition, nous constatons que la pièce est du registre comique. en effet, dans la phrase où Molière fait dire à Sganarelle "si tu connaissait le pèlerin" et "un enragé, un chien", nous constatons sans mal que le langage est familier. Ceci donne un coté grotesque et amusant à Sganarelle qui apparaît comme un homme peu cultivé, connaissant peu de vocabulaire. Le fait que les seuls personnages présents sont deux valet, Gusman et Sganarelle, montre aussi que la pièce est

et plus particulièrement des romans héroïques présentant des aventures épiques. Scarron dans ces 2 textes utilise un comique de situation et de physique, dans le texte 2 le comique exprimé est un comique de situation mais il utilise aussi la description de « Madame Bouvillion » qui n’a pas un physique facile : « -Son gros visage enflammé et ses petits yeux ». Le comique de situation qui est mis en avant dans cette scène est le fait que « Destin » se fait charmer par cette dévergonder qui n’a aucune

traditionnels du roman. - « L’asile est à deux kilomètres du village. J’ai fait le chemin à pied. J’ai voulu voir maman tout de suite ». Nous n'avons pas de descriptions. Nous savons que la mère vient de mourir et pourtant nous n'en n'avons aucune description, les actions se succèdent purement et simplement. Cette absence de description renforce l'absence de subjectivité de Meursault. « J’ai dit « oui » pour ne plus avoir à parler ». On ne sait donc pas pourquoi il ne veut pas parler. La focalisation

entrer dans leur roman. Le texte Germinal, qui appartient au naturalisme, commence par la description d'un endroit, "Dans la pleine rase...". L'auteur nous fait suivre le personnage à travers "la grande route des Marchiennes à Montsou" à la manière d'un travelling. La description du lieu laisse imaginer un lieu désertique, dépourvu d'âme : "l'immense horizon plat", "le

épié par Rastignac (« Une pension bourgeoise », extrait) — L’exposition du roman (« Une pension bourgeoise ») — Rastignac chez le Père Goriot (« L’entrée dans le monde », extrait) Ensemble du roman II. Le personnage, image du réel — La description — Description de la pension — Le portrait Vauquer — Portrait de Mme Vauquer (« Une pension bourgeoise », extraits) Le roman psychologique et l’analyse des sentiments Balzac sociologue et historien Les amours ambiguës de Rastignac et Delphine (« L’entrée

Etude du portrait de M. Poiret 1. Quelle est la visée de cette description ? C’est une description dévalorisante. 2. Comment ce portrait s’organise-t-il ? En trois parties : - la description physique (l. 1-14) - la recherche des raisons expliquant cette apparence :( réponse son travail (l. 14-24) - conclusion : sa place sociale nécessaire (l. 24-fin) 3. Par quel procédé le narrateur passe-t-il d’une partie à l’autre ? Trouvez-vous judicieux le procédé utilisé ?

qui recourt souvent au lyrisme, au registre pathétique et donc aux grands sentiments. Le réalisme s’ancre dans la réalité, part d’elle et tente de l’imiter. De manière générale, le réalisme se caractérise par la recherche de l’objectivité dans la description, par la vérité des caractères et par la prise en compte de certains phénomènes socioculturels. Le travail du romancier réaliste est donc spécifique puisqu’il implique une prise en compte du réel : l’exactitude des détails participe du caractère

environnement, car Jean Giono ne s’arrête pas à une simple description sommaire. Il « avait les épaules couvertes de poils et le dos musculeux des bêtes. Ses flancs sonnaient creux, durs comme de la corne », « il marchait avec un effort de ses reins, plus par le milieu de son corps que par ses jambes. C’était bien un homme de la forêt ; tous les hommes de la forêt marchent comme ça. C’est la forêt qui apprend cette habitude ». On a l’impression d’un homme dont les muscles des jambes sont enracinés dans son

Américaine et dotée par son oncle, Isabel Archer dénote des autres dames de son âge. Elle n'est pas ouverte au mariage et décide plutôt de voyager. Cependant, au fil de son histoire, certaines de ses convictions changeront et elle finira par épouser un homme. Publié en 1881, ce roman contenant des caractéristiques autobiographiques est une des plus grandes oeuvres de James. Dans cet extrait, l'écrivain introduit certains personnages du roman et présente le manoir de Garden Court. Qu'est-ce qui fait de

l’horreur de ce fait et la beauté de la femme qui assiste tous les jours à cette mise à mort. Nous verrons donc dans un premier temps comment le récit met en évidence la condition inhumaine des prisonniers, puis nous étudierons la manière dont la description de cette femme ajoute encore à l’horreur de la scène. I - Un rite inhumain a) la mise en scène d’un spectacle insoutenable Le texte met progressivement en scène ce spectacle : - les premières lignes insistent sur l’aspect agréable de l’endroit :