Sidon

10:14 les Patrusim, les Casluhim, d'où sont sortis les Philistins, et les Caphtorim. 10:15 Canaan engendra Sidon, son premier-né, et Heth; 10:16 et les Jébusiens, les Amoréens, les Guirgasiens, 10:17 les Héviens, les Arkiens, les Siniens, 10:18 les Arvadiens, les Tsemariens, les Hamathiens. Ensuite, les familles des Cananéens se dispersèrent. 10:19 Les limites des Cananéens allèrent depuis Sidon, du côté de Guérar, jusqu'à Gaza, et du côté de Sodome, de Gomorrhe, d'Adma et de Tseboïm, jusqu'à Léscha

Montchrestien (c.1575–1621) Sophonisbe, ou La Cathaginoise, ou La Liberté (tragédie, 1596) La Reine d'Écosse, ou L'Ecossaise (tragédie, 1601) Aman (tragédie, 1601) La Bergerie (pastorale, 1601) Hector (tragédie, 1604) Jean de Schelandre (c.1585–1635) Tyr et Sidon, ou les funestes amours de Belcar et Méliane (1608) Alexandre Hardy (1572–c.1632) Scédase, ou l'hospitalité violée (tragédie, 1624) La Force du sang (tragicomédie, 1625, d'après Cervantès) Lucrèce, ou l'Adultère puni (tragédie, 1628) Honorat de Bueil

soins aux chevaux p. 123) ; l’hospitalité (p. 195). « Hécube descendit alors dans la chambre aux parfums. C’est là qu’elle conservait les voiles tout brodés, travail des ouvrières de Phénicie que Pâris à l’allure divine avait ramenées de Sidon, quand il courait la vaste mer, sur son chemin de retour avec Hélène à la noble famille. Hécube en prit un, aux broderies les plus belles, le plus grand, avec des reflets d’étoile, le dernier de la pile. Mais quand les Anciennes eurent prié

que l'on teint dans la masse grâce à l'adjonction de certains oxydes métalliques. On attribue l’apparition du verre soufflé au Ier siècle PCN à la Syrie grâce à l’invention de la canne à souffler. Au même moment, on inventa le verre transparent à Sidon (Phénicie). Grâce à la canne a soufflé il y a la naissance d’une forte industrie de verre creux. L’artisan étant à bonne distance de la source de chaleur et il peut donner forme à des pièces de plusieurs dizaines de centimètres. Le verre incolore apparut

238, 1). (6) Vers la même époque avait été promulguée (pour parler comme les Décemvirs) la loi sur LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE dont les dispositions péremptoires annulaient tout procès qui s'était prolongé jusqu'au sixième lustre, limite extrême (Sidon. Apoll., Ep., 8, 6, 7). - Il s'agit de la Novelle 27 de Valentinien III (de triginta annorum praescriptione, du 17 juin 449) qui avait été appliquée d'abord à Constantinople par Théodose II, sous le consulat de Victor -. (8b) DUICENSUS, recensé avec

propre exemple ». L’exemple qu’il allègue et celui de Virgile, qui a surpassé Homère, qu’il avait commencé par imiter : cet argument est un « lieu » central de la topique attaché à la querelle des Anciens et es Modernes. Augier, pour défendre Tyr et Sidon, entreprit de relever les fautes et les insuffisances du modèle classique et de la tragédie : c’est au inconvénients induit par m’obéissance aux règles des unités de temps et d’action, chez les plus illustres auteurs tragique de l’antiquité, qu’il

traditionnelle. Les saris des moines hindous, les laines utilisées dans les tapis, même certains cuirs sont teintés au safran, et le safran était dans l’Antiquité une teinture presque aussi précieuse que la pourpre. Il colorait les robes des mariées de Tyr et Sidon, On le retrouve dans les peintures d’intérieur, et les luxueux plafonds de cèdres des kasbahs du sud du Maroc. Les décors géométriques étaient réalisés à base de teintures naturelles, indigo pour le bleu, menthe pour le vert, et bien sûr safran pour

liste qui nous intéresse ne put être définitivement établie avant l’élévation du Colosse de Rhodes, Merveille régulièrement citée, et on ne saurait donc situer l’ancienneté de la liste avant les années 290 avant J.C. D’un autre côté, Antipater de Sidon, poète grec du IIe siècle av. J.-C., écrivit une épigramme qui contient la mention la plus ancienne d’une liste complète. On en déduit alors que la liste date du premier siècle avant notre ère. La liste d’Antipater : « J'ai contemplé le rempart

Les signes deviennent plus schématiques. Mais, surtout, l’alphabet prend son essor. 2.4. Quatrième étape Les Phéniciens vont être les principaux agents de diffusion. Vers 900 ACN, l’alphabet de 22 lettres utilisés par les royaumes phéniciens de Tyr, Sidon, Byblos, se diffuse sur les côtes de la Méditerranée orientale. Dès le IXe siècle, on le retrouve à Chypre, en Crète, en Sardaigne et en Asie Mineure. Le phénicien va être relayé et adopté par de petits royaumes émergents, notamment les Hébreux et

1575–1621) • Sophonisbe, ou La Cathaginoise, ou La Liberté (tragédie, 1596) • La Reine d'Écosse, ou L'Ecossaise (tragédie, 1601) • Aman (tragédie, 1601) • La Bergerie (pastorale, 1601) • Hector (tragédie, 1604) • Jean de Schelandre (c.1585–1635) • Tyr et Sidon, ou les funestes amours de Belcar et Méliane (1608) • Alexandre Hardy (1572–c.1632) • Scédase, ou l'hospitalité violée (tragédie, 1624) • La Force du sang (tragicomédie, 1625, d'après Cervantès) • Lucrèce, ou l'Adultère puni (tragédie, 1628) • Honorat