Silence

devenir écrivain. Sa première pièce met en scène trois personnages qui portent justement les noms de son père, de sa mère et de sa sœur, auprès desquels il a puisé son inspiration. www.ccdmd.qc.ca/fr Claude – J’sais c’que tu vas en dire, du silence, maman... Madeleine 1 – Ben écoute-moi pareil ! Comme ça, si tu fais une autre citation ça sera la bonne, pour une fois ! (Elle vient se placer tout près de son fils.) Dans une maison comme ici, c’est la chose la plus importante, tu vois. C’est à

fais qu’exilé loin d’elle, je la vois !” François Coppée, L’Exilée (1877) A Mademoiselle Oui, femmes, quoi qu’on puisse dire, Vous avez le fatal pouvoir De nous jeter par un sourire Dans l’ivresse ou le désespoir. Oui, deux mots, le silence même, Un regard distrait ou moqueur, Peuvent donner à qui vous aime Un coup de poignard dans le cœur. Oui, votre orgueil doit être immense, Car, grâce à notre lâcheté, Rien n’égale votre puissance, Sinon votre fragilité. Mais toute

qu'il existe des situations dans lesquels ne pas dire la vérité est une lâcheté et la dire est une forme de courage. Le devoir de vérité de l'écrivain est qu'il doit dénoncer tout scandale qu'il connaît, sinon ne rien dire, c'est-à-dire garder le silence est une sorte de complicité du crime. Dans beaucoup de circonstances, on reproche aux hommes de n'avoir rien dit alors qu'ils le savaient. Il semble, également, y avoir un devoir de dire la vérité en histoire. Celui ayant vécu les drames historiques

qui écoute le poème C’est notre sang qui chante : explication du premier vers Notre : le lecteur est inclus dans le poème C’est : met en valeur le sang Le sang qui chante : personnification Chantent, absente, chante,… : « ente » … : taisons-nous, silence, la musique est lointaine et discrète En partenariat avec www.bacfrancais.com Musique : chante O : invocation, lyrisme Lointaine, discrète : ne s’impose pas Ecoutez : répétition, anaphore (répétition en début de vers ou phrase) Pleure : évolution

2- Les dix règles d’or du dialogue - savoir écouter avec attention et ne répondre que lorsque le conjoint a fini de parler - être lent à parler ; réfléchir d’abord - dire toujours la vérité, mais dans l’amour (charité) - ne pas utiliser le silence pour frustrer le conjoint - ne pas se quereller : il est possible d’avoir un avis différent sur un sujet sans pour autant se disputer - être aimable dans les réponses ; ne jamais répliquer avec colère - savoir reconnaître ses torts et demander

soutenir l’intensité et la brillance de ces brefs instants où les yeux de deux personnes se rencontrent. Ce moment où se regardant, ils se sentent reconnu pour ce qu’ils sont. A cet instant, aucune parole ne peut exprimer leurs sentiments… Le silence est dans son ouverture la plus propre, capable d’abriter des résonances les plus profondes de sens! Alors, comment la parole pourrait-elle ne pas dévaler d’une telle hauteur? Et, en effet, le plus souvent elle cache, recouvre ces moments éclatants

dans lequel elle s'abandonne à sa jalousie. sc. 6 L'énormité de sa faute accable Phèdre et bouleversée de remords, elle chasse sa nourrice en la maudissant. ACTE V sc. 1 Aricie tente Hippolyte de se disculper. Mais Hippolyte pour justifier son silence avance l'argument de l'innocence reconnue par les dieux. Il obtient qu'elle l'accompagne dans son exil et l'épouse (elle refuse d'abord puis elle accepte). sc. 2 Arrivée de Thésée, troublé. sc. 3 Aricie tente encore de disculper Hippolyte. sc

Avoir confiance c?est également réussir à faire abstraction de ses attentes et accepter d?entendre la réponse de l?autre sans occulter ou annihiler la possibilité de critiquer cette réponse le cas échéant. La confiance requise n?est pas le silence : demander au malade d?avoir confiance ne signifie pas de lui demander de se taire en cas d?incompréhension ou d?écueil. Faire participer le patient à la décision médicale (on pourrait s?interroger sur cette notion de participation effective de

des voix chères qui se sont tues. 3) Alfred de Musset, A mademoiselle A Mademoiselle Oui, femme, quoi qu'on puisse dire Vous avez le fatal pouvoir De nous jeter par un sourire Dans l'ivresse ou le désespoir. Oui, deux mots, le silence même, Un regard distrait ou moqueur, Peuvent donner à qui vous aime Un coup de poignard dans le coeur. Oui, votre orgueil doit être immense, Car, grâce à notre lâcheté, Rien n'égale votre puissance, Sinon, votre fragilité. Mais toute puissance

Bientôt l’insomnie s’en mêla; arraché à ses habitudes, transporté dans une atmosphère d’oisiveté lourde, le corps fonctionnait mal; l’appétit était perdu; les nuits jadis si bonnes sous les couvertures s’agitèrent et s’assombrirent, alors que, dans le silence noir, tombaient, au loin, les heures. Il s’avisa de lire, dans la journée, quand il plut, et alors, fatigué de ses insomnies, il s’endormit; et la nuit qui suivait ces somnolences devenait plus longue, plus éveillée, encore. Il dut, quand le temps