Silence

accepter de comprendre ce qu’il | |ressent, ce qui le pousse à agir. Ecouter, c’est également analyser les échanges entre les individus, accepter d’entendre un point de | |vue divergent mais également observer les non-dits et interpréter les silences. | |L’écoute n’est pas une attitude naturelle de l’individu, qui a plutôt tendance à se centrer sur lui-même ou bien à interpréter le peu | |qu’il écoute à sa manière. La vraie nature de

éthymologie = blanc à mort, V26 narrateur insiste sur les blessures « on pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies » V9 contre-rejet V6 met en avant la paleur de la mort avec le mot « pâle » champ lexical de la mort tout au long du poème « silence » V5, « la mort » V6, « ses bras pendants » V7, « saigner » V10, « crâne » V11, « mort » « mains froides » V22, « étouffant » V40, « deuil » V48 métaphores V10 « Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies » et V11 « son crâne était ouvert comme

alors son amour en en retraçant les différentes étapes ; mêlant ainsi au récit de sa flamme, celui de l’amour grandissant entre Titus et Bérénice dont il a été le témoin. Bérénice se déclare outrée de cet aveu fait le jour de ses noces mais promet le silence sur cette déclaration en vertu de son amitié pour Antiochus, elle accepte ses adieux. Antiochus promet de se taire à jamais et se faire oublier en quittant Rome et en regagnant ses états. Scène 5 : BERENICE, PHENICE Phénice reproche à Bérénice

dépêche-toi de manger ton petit déj ! On doit partir d’ici. Tom -Pourquoi on doit partir de la maison, maman ? C’est à cause Papa ? C’est parce qu’il te fait pleins de bobo ? (Silence) Lisa prend de l’argent dans un tiroir. Tom -Pourquoi tu prends l’argent de papa ? Il en a besoin pour sa « Vodekarrrrreuux » ! Lisa (silence) Tom -Maman ? Lisa (énervé) Tom ! Ca suffit ! Dépêche-toi ! Séquence 3 : Devant la maison, Extérieur. Matin Lisa prépare la voiture. Tom est en larmes, des jouets dans ses bras

ans et ne peut supporter de la voir épouser Titus. Doit il se taire ou parler? (3) Arsace revient et essaie de le convaincre de rester. Antiochus voudrait lui expliquer ses sentiments. (4) Bérénice arrive, radieuse et rassurée. Malgré son long silence après la mort de son père, Titus l’aime toujours et doit l’épouser. Antiochus lui fait ses adieux mais finit par lui avouer les vraies raisons de son départ. Choquée dans sa gloire et déçue dans son amitié, elle le laisse partir, désespéré. (5) Phénice

entremetteuse ! ». Le narrateur donne des indications de tons qui montrent le trouble de Swann : deux fois « s’écria-t-il », et « les intonations menteuses, la sonorité artificielle de sa propre voix […] il continuait à pérorer tout haut dans le silence de la nuit. ». 2) Un emploi immodéré des termes péjoratifs ou hyperboliques Swann est toujours dans l’exagération, il fait plusieurs fois référence à Dieu « dieu m’est témoin », « l’image de Dieu peut-elle trouver matière à rire » et « Dieu

fur et à mesure Sorel perd du ''terrain'' et de l'enthousiasme pour 3 finir avec l'action de se taire, il se tut un instant. Un silence qui marque une sorte de''victoire'' de la part de Julien. Victoire rapidement rattrapée par la méchanceté du charpentier avec l'utilisation du mot délivré, un mot très fort vie à vie du père envers son fils, délivré ;''s'affranchir, se débarrasser

aucune cordialité. Le Professeur est en effet très peu enclin au dialogue : brusque et autoritaire, il multiplie les ordres et les défenses, et son mode favori est l'impératif. Il refuse de donner la parole à l'Élève et la réduit impérieusement au silence : « Taisez-vous », « ne m'interrompez pas ». En dehors des relations pédagogiques, sur le simple plan humain, il est totalement insensible à la douleur de la jeune fille, et même méchant : aux plaintes de l'Élève, il répond sèchement : « Ça

un bruit assourdissant. On pouvait croire que cette dernière commander celui-ci. Les feuilles volaient, tournoyaient et l’ombre semblait prendre une place plus grande. Je me rappelle avoir entendu un cri, un cri effroyable. Quand soudainement le silence avait remplacé le bruit. L’ombre qui m’avait apparu plus humaine les minutes auparavant avait laisser place à une silhouette plus large et plus petite, plus animal. Quand la silhouette m’avait apparue plus nette et j’avais laissé échapper un cri de

à 90 % dans les sondages pour une loi légalisant l'euthanasie ? Tout simplement parce que chacun peut témoigner, dans sa famille ou ses proches, de l'hypocrisie sur l'euthanasie clandestine, pratiquée chaque jour dans le secret des maisons ou le silence des hôpitaux ; des risques et des inégalités des citoyens face à la mort. Pourquoi qualifiée l’euthanasie de meurtre ou d’omission de porter secours à personne en péril, alors que son étymologie vient du grec « eu » et « thanatos » qui signifie