Silésie

en trois parties vers la fin du XVIIIe siècle : la Prusse, L’Autriche et l’Empire russe. Puis, durant le XIXe siècle, la majorité de la partie Autrichienne passe sous contrôle russe. En 1918, la Pologne retrouve son indépendance. Malgré cela, la Silésie et la Poméranie (régions de Pologne) restent encore sous l’emprise allemande ; à la fois peuplées d’Allemands et de Polonais. De 1919 à 1921, la guerre soviéto-polonaise est provoquée par les soviétiques et les polonais. Cette guerre prit fin suite

(6 mois au moment de la conférence Postdam). Concernant la Pologne, ses frontières sont déplacées vers l’Ouest. On prévoit de lui donner des territoires qui appartenaient à l'Allemagne. Il s’agit de la Prusse Orientale, de la Poméranie et de la Silésie qui sont confisqué à l’Allemagne : 25% du territoire Allemand et tous Allemands qui vivaient dans ces territoires sont expulsés. En échange, la Pologne cède sur sa frontière est des territoires à l’URSS. Concernant l’URSS, elle gagne des territoires

l’immigration vers le Brésil ne peut se comprendre sans la diaspora polonaise qui s’est produite entre la fin du XVIIIe et le début du XXe siècle, la période d’occupation, et dont les États-Unis furent la principale destination. Les Polonais arrivaient de Silésie (l’une des régions occupées par la Prusse), au coût de 400 francs par personne. La Prusse ne posait pas de problèmes à l’émigration. Mais au Brésil, malgré les injonctions faites à ce propos, le gouvernement impérial refusa de payer les frais du voyage

Royaume Hongrois, la Slovaquie demeure sous sa totale domination jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale et des traités de Saint-Germain-en-Laye en 1919 et de Trianon en 1920.Par la suite, elle a été rattachée aux pays tchèques (Bohême, Moravie, Silésie tchèque), et jusqu'en 1939 à la Ruthénie pour former jusqu’au 31 décembre 1992, la Tchécoslovaquie, avec une pause durant la Seconde Guerre mondiale durant laquelle la République Slovaque deviendra un état indépendant suite aux pressions d’Hitler

sous le contrôle de la Société des Nations (SDN), mais en union douanière avec la France qui voit dans le charbon sarrois une compensation pour les pertes subies dans le Nord - Pas-de-Calais. À l'est, le « corridor » de Dantzig et le sud de la Haute-Silésie passent à la Pologne qui partage le territoire de Teschen avec la Tchécoslovaquie. Au nord, le Schlesvig est rattaché au Danemark après plébiscite. Ces territoires, peuplés de fortes minorités allemandes, constitueront un facteur déterminant dans

siècle Doc. 1 Les étapes de la croissance, selon Rostow. Doc. 2 Complétez la carte ci-dessous : en coloriant en violet les grandes régions industrielles en plaçant le nom des grandes villes ou régions industrielles suivantes : Ruhr, Sarre, Saxe, Silésie, Bohème, Nord Pas de Calais (NPDC), Lorraine, Pays de Galles, Le Creusot, Lyon, Londres, Paris Principaux bassins houillers 2. L’évolution du bassin houiller du Nord - Pas-de-Calais entre 1801 et 1901. Etude de documents Doc. 1 L’attrait

Doc. 1 Les étapes de la croissance, selon Rostow. Doc. 2 Complétez la carte ci-dessous : - en coloriant en violet les grandes régions industrielles - en plaçant le nom des grandes villes ou régions industrielles suivantes : Ruhr, Sarre, Saxe, Silésie, Bohème, Nord Pas de Calais (NPDC), Lorraine, Pays de Galles, Le Creusot, Lyon, Londres, Paris Principaux bassins houillers 2. L’évolution du bassin houiller du Nord - Pas-de-Calais entre 1801 et 1901. Etude de documents Doc. 1 L’attrait d'une

caractérisa l’influence qu’eurent les experts des mines sur l’administration française et prussienne. Prusse La Prusse est sans doute l’État qui a le plus clairement suivi le modèle saxon. Après la guerre de Sept Ans, les régions minières de Silésie revinrent à la Prusse et dès 1777, Frédéric II nomma ministre d’État l’un des fondateurs de l’Académie de Freiberg, Friedrich Anton von Heynitz. Heynitz introduisit le modèle de Freiberg dans la formation des fonctionnaires des Mines de Prusse, entraînant

trouvé la cause de ce qui n'est point. Ce malheur arriva si plaisamment sur la fin du siècle passé à quelques savants d'Allemagne, que je ne puis m'empêcher d'en parler ici. En 1593, le bruit courut que, les dents étant tombées à un enfant de Silésie, agé de sept ans, il lui en était venue une d'or à la place d'une de ses grosses dents. Horstius, professeur en médecine dans l'université de Helmstad, écrivit en 1595 l'histoire de cette dent, et prétendit qu'elle était en partie naturelle, en partie

détacher de son territoire les régions qui comprennent le pourcentage le plus élevé de ses richesses industrielles. » En effet, la frontière orientale est ramenée à Potsdam sur la ligne Oder-Neisse, et l’Allemagne perd les provinces de Poméranie, la Silésie ainsi que la Prusse Orientale. A la conférence de Potsdam, les intérêts divergent déjà : alors que l’URSS cherche à ruiner un peu plus l’Allemagne en exigeant d’elle le paiement de sommes astronomiques, les USA s’évertuent au contraire à la renforcer