Silvio Berlusconi

segretario di partito, 12 generali dei Carabinieri, 5 generali della Guardia di Finanza, 22 generali dell'esercito italiano, 4 dell'aeronautica militare, 8 ammiragli, vari magistrati e funzionari pubblici, ma anche di giornalisti ed imprenditori come Silvio Berlusconi (a quel tempo non ancora in politica), Vittorio Emanuele di Savoia, Maurizio Costanzo e Claudio Villa; in compagnia di Michele Sindona e Roberto Calvi, Umberto Ortolani e Leonardo Di Donna (presidente dell'ENI), Duilio Poggiolini e l'ormai televisivo

espérés »  Politique  Économique Inde « Une Langue inconnue découverte en Inde »  Culturel Espagne « La crise espagnole fait fuir les cerveaux »  Social  Politique  Économique Italie « Silvio Berlusconi au cœur d'un nouveau scandale »  Faits divers Irak « Prise d'otages dans un église à Bagdad : sept morts »  Politique  Militaire Tchad « Le lac Tchad s'assèche dangereusement »  Écologie Indonésie

référendums depuis 1999 et, à chaque fois, la réponse a été négative. En juin 2005, selon le magazine Stern, 56% des Allemands interrogés disaient être favorable à un retour au Mark. Certains hommes politiques italiens, dont le plus connu est Silvio Berlusconi, ont demandé la sortie de l’Italie de la zone euro. Les séparatistes italiens de la « Ligue du Nord » ont proposé un référendum à ce sujet. Enfin, de nombreux partis d’extrême droite à travers l’UE prônent le retour de leur ancienne monnaie nationale

mais leur transformation du rôle d’instruments publiques de participation à celui d’agents privés de direction et de formation de l’opinion. En Italie, le pays qui a fait du vidéo-populisme un défi puissant au système de partis traditionnel, Silvio Berlusconi a été capable de gagner une majorité stable uniquement à partir du moment où il a créé son propre parti, endossé une identité idéologique forte, et donné à ses électeurs la certitude qu’ils appartenaient à un parti, pas seulement à une publicité

Paolo Romani, ministre du développement économique à annoncé que l'Italie mettait en place un «  moratoire d'un an ». Ce retour au nucléaire avait été décidé dans un décret-loi en 2008, qui était un projet phare du chef du gouvernement Silvio 1 Berlusconi qui affirme que ce retour au nucléaire permettra de réduire le prix de l'électricité et d'atténuer la dépense énergétique de l'Italie. Mais depuis l'accident au Japon, les oppositions contre le nucléaire s'est intensifié dans la péninsule

l'on observe des phénomènes similaires dans d'autres pays européens (En Allemagne, les dernières élections législatives se sont jouées comme un duel entre H. KOHL et G. SCHRODER ; en Italie, comme un duel entre RUTELI qui est le maire de Rome et BERLUSCONI). Cette personnification a des causes dans l'importance de la télévision qui conduit par sa nature à privilégier un nombre très restreint de personnalités politiques habitues aux plateaux (ajout de l'idée d'audimat). La télévision, qui favorise

l'on observe des phénomènes similaires dans d'autres pays européens (En Allemagne, les dernières élections législatives se sont jouées comme un duel entre H. KOHL et G. SCHRODER ; en Italie, comme un duel entre RUTELI qui est le maire de Rome et BERLUSCONI). Cette personnification a des causes dans l'importance de la télévision qui conduit par sa nature à privilégier un nombre très restreint de personnalités politiques habitues aux plateaux (ajout de l'idée d'audimat). La télévision

exaggerate the notion of an Islamic threat to maintain a Western sense of superiority and hegemony over the Muslim world » (2003, p.1). This Islamophobia is magnified with declarations such as the description done by the Italian Prime Minister Silvio Berlusconi as he stated that Western civilisation was superior to that of Islam. He also declared that: « the West will continue to conquer Muslim peoples, like it conquered communism ». Surely he retracted these words under the pressure of the International

majeurs du débat politique italien a été la modification du système des collectivités locales dans un sens plus « fédéral ». Ce courant de pensée, qui transcende les majorités successives, se trouve personnalisé dans le gouvernement de M. Silvio Berlusconi par M. Umberto Bossi, Ministre chargé des réformes institutionnelles et de la dévolution. Les réformes intervenues de manière échelonnées dans le temps ont été tant législatives que constitutionnelles, la dernière en date ayant même été approuvée

mais leur transformation du rôle d’instruments publiques de participation à celui d’agents privés de direction et de formation de l’opinion. En Italie, le pays qui a fait du vidéo-populisme un défi puissant au système de partis traditionnel, Silvio Berlusconi a été capable de gagner une majorité stable uniquement à partir du moment où il a créé son propre parti, endossé une identité idéologique forte, et donné à ses électeurs la certitude qu’ils appartenaient à un parti, pas seulement à une publicité