Simon IV de Montfort

plus de place que la raison. Les Pères de l’Église eurent toutes les peines du monde à se débarrasser de ces multiples sectes, dont quelques-unes se développèrent à l’intérieur même des communautés chrétiennes. Les plus connus des gnostiques sont : Simon-le-Magicien, Basilide, Marcion, Carpocrate, Valentin, Bardesane, etc. Manès. – On fait souvent figurer Manès parmi les gnostiques. S’il s’apparente à eux sur plus d’un point, si l’on retrouve chez lui des traces de leur enseignement, il les domine

souvent. L'Eglise catholique du Languedoc s'efforça d'obtenir l'excommunication du Comte de Toulouse pour sa participation à l'assassinat de Pierre de CASTELNAU. Après diverses enquêtes et contre-enquêtes, ce grand féodal dont un des prédécesseurs, Raimon IV, avait pourtant été un personnage central (au moins autant que Godefroid de Bouillon selon certaines sources) de la 1ère Croisade en Palestine, sera excommunié. L'excommunication avait des conséquences religieuses mais aussi politiques et matérielles

compte de Venise et ils seraient quitte du montant qui leur manque. Que Zara soit une ville catholique n'est qu'un infime détail... Les commandant des croisés acceptent. Certains croisés scandalisés préfèrent rentrer chez eux, c'est le cas de Simon de Montfort. 1er octobre 1202 : Les croisés quittent Venise. 24 novembre 1202 : Les croisés prennent la ville catholique de Zara pour le compte de Venise afin de payer leur voyage. Le retentissement est énorme : l'armée croisée, championne de la Chrétienté

souvent. L'Eglise catholique du Languedoc s'efforça d'obtenir l'excommunication du Comte de Toulouse pour sa participation à l'assassinat de Pierre de CASTELNAU. Après diverses enquêtes et contre-enquêtes, ce grand féodal dont un des prédécesseurs, Raimon IV, avait pourtant été un personnage central (au moins autant que Godefroid de Bouillon selon certaines sources) de la 1ère Croisade en Palestine, sera excommunié. L'excommunication avait des conséquences religieuses mais aussi politiques et matérielles

Parlement. Son fils Henri III doit également faire face aux barons conduits par Simon de Montfort et accepter les Provisions d'Oxford (10 juin 1258) : le roi est contrôlé par un conseil de quinze barons, et un parlement doit se réunir trois fois par an. Henri III est délié de ce serment par le pape (1261), mais il est vaincu par les barons révoltés lors de la bataille de Lewes en 1264. Il perd tout pouvoir et Simon de Montfort convoque un parlement composé non seulement des grands nobles et ecclésiastiques

Parlement. Son fils Henri III doit également faire face aux barons conduits par Simon de Montfort et accepter les Provisions d'Oxford (10 juin 1258) : le roi est contrôlé par un conseil de quinze barons, et un parlement doit se réunir trois fois par an. Henri III est délié de ce serment par le pape (1261), mais il est vaincu par les barons révoltés lors de la bataille de Lewes en 1264. Il perd tout pouvoir et Simon de Montfort convoque un parlement composé non seulement des grands nobles et ecclésiastiques

| | | | | | |Simon IV | | | |comte De Montfort | | | |1150-1218

Carcassonne et puis il se livre pour sauver la ville et son peuple. Aucun des seigneurs participants à la croisade ne veut pas le territoire, et Simon Montfort est élu comme nouveau vicomte, mais l’auteur ne se montre pas étonné devant le refus des seigneurs. Trencavel meurt mais il laisse un fils de deux ans au charge du comte de Foix, et Montfort avec tout le pouvoir sous sa main chasse tous ceux qui protégeaient l’hérésie. L’auteur d’une manière précise raconte qu’en 1213, la bataille de

l’appui de Foulque IV le Réchin, comte d’Anjou et de Robert le Frison, comte de Flandre qui se sentent aussi menacés par ce trop puissant voisin. Afin de consolider son alliance avec la Flandre, il épouse Berthe de Hollande (v. 1055-† 1094), fille de Florent Ier comte de Hollande et de Gertrude de Saxe. En 1076, Philippe inflige une grave défaite à Guillaume au pied de Dol, en Bretagne. L’année suivante, fort de sa victoire, Philippe Ier s’empare du Vexin français, possession de Simon de Vexin (fils

politique pontificale en faveur des Normands dont Grégoire VII approuve l’intervention en Grèce. Reprise de négociations en 1089 entre le pape Urbain II et Alexis Ier Comnène qui veulent s’assurer un appui réciproque respectivement contre l’empereur Henri IV et les Normands. Le pape affermit son pouvoir, rentre dans Rome et convoque un concile à Plaisance (1095) → une ambassade byzantine vient chercher l’aide de guerriers occidentaux pr défendre l’Eglise d’Orient. Byzance n’appelle pas à la Croisade