Sire

Duc, à savoir Sire Maurice et le Cardinal Cibo semblent considérer Lorenzo comme un danger pour Alexandre : « On sait qu'il dirige vos plaisirs et cela suffit ». Cependant le Duc a totalement confiance en Lorenzo. Il se complait à dégrader Lorenzo aux yeux du Cardinal Cibo et de Sire Maurice, le traitant du « plus fieffé poltron ! une femmelette, l'ombre d'un ruffian énervé !». Il s'ensuit la fameuse scène de l'épée où Lorenzo, après avoir dominé ses adversaires le Cardinal et Sire Maurice par la

poète français Pierre de Ronsard. Machiavelo- Bonjour mon roi, Nicolas Machiavel a reçu un appel de haute importance par l'un de vos garde et m'a ordonné d'aller à vos côté ,indiquand que vous vouliez discuter avec moi, je suis à votre disposition mon sire. Ronsardo- Bonjour Monseigneur, j'ai été de même ordonné par monsieur Pierre de Ronsard, de venir à vos côté ce qui est pour moi un très grand honneur de vous servir. SOUVERAIN-Messieurs, vous êtes les bienvenus. J'aurai aimé voir monsieur Nicolas

Insensé ! SAVERNY, tirant son épée et la présentant à Laffemas La voici. LE MARQUIS DE NANGIS, l'arrêtant Un instant ! Devant moi nul n'est seigneur ici. Seul j'ai dans ce château justice basse et haute ; Notre sire le roi n'y serait que mon hôte. À Saverny. Ne remettez qu'à moi votre épée. Saverny lui remet son épée et le serre dans ses bras. LAFFEMAS En honneur, C'est un droit féodal fort déchu, monseigneur. Monsieur le cardinal

Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le Mâtin était de taille À se défendre hardiment. Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. « Il ne tiendra qu'à vous beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables

totalement confiance en Lorenzo. Il se complait à dégrader Lorenzo aux yeux du Cardinal Cibo et de Sire Maurice, le traitant du « plus fieffé poltron ! une femmelette, l'ombre d'un ruffian énervé ! ».p59 l68 opposition avec le surnom affectueux « renzo » et la fin de la réplique « j'aime lorenzo moi » Il s'ensuit la fameuse scène de l'épée où Lorenzo, après avoir dominé ses adversaires le Cardinal et Sire Maurice par la parole, semble se retrouver démuni lorsqu'on le pousse à la violence et finit par

enchaîne alors avec une description très dégradante de Lorenzo.   Pourtant l'entourage du Duc, (Sire Maurice et le Cardinal Cibo) semblent considérer Lorenzo comme un danger pour Alexandre : « On sait qu'il dirige vos plaisirs et cela suffit ». Pourtant, et ce malgré les conseils de ces proches, le Duc a totalement confiance en Lorenzo. Il aime dégrader Lorenzo aux yeux du Cardinal Cibo et de Sire Maurice, le traitant du « plus fieffé poltron ! une femmelette, l'ombre d'un ruffian énervé ! ».

beau titre d'honneur. Sois désormais le Cid; qu'à ce grand nom tout cède; Qu'il comble d'épouvante et Grenade et Tolède, Et qu'il marque à tous ceux qui vivent sous mes lois Et ce que tu me vaux, et ce que je te dois.  DON RODRIGUE Que votre majesté, sire, épargne ma honte. D'un si faible service elle fait trop de conte, Et me force à rougir devant un si grand roi De mériter si peu l'honneur que j'en reçoi. Je sais trop que je dois au bien de votre empire Et le sang qui m'anime, et l'air que je respire

grâce à Lorenzaccio, Sire Maurice et Valori viennent avertir le Duc que Lorenzo leur semble louche et qu'ils pensent qu'il cache des choses, le Duc va prendre la défense de son cousin. Lorenzo tout au long de cette scène va jouer un double jeu, il va mentir, faire semblant d'être un homme naïf et ne pas comprendre ce qu'on lui reproche « Pour qui dangereux, Éminence !, pour les filles de joie, ou les saints du paradis ? ». Il va également se moquer de Sire Maurice et de Valori « Sire Maurice, je ne vous

paysans comprirent qu’il était attaqué. Il rentrére dans le château Martn retrouva sa mère et la bataille fut sanglante mais, Le château résiste et l’armée sans alla et sire Ghuilem pria. chapitre 7 : Martin rentre au village et trouva à mangé et il appris que le fauconnier était blessé et il essaya de sauver son ami. Chapitre 8 : Sire Ghuilem avait compris qu’il était il ordonna la recherche de Martin les gardes vinrent mais le jeune serf attendis la nuit pour revenir au village et il alla se réfugier

Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers. Mais il fallait livrer bataille, Et le Mâtin était de taille À se défendre hardiment. Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. Il ne tiendra qu'à vous, beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables