Sisyphe Heureux

L'étranger ( L’Étranger, Albert Camus, les éditions Gallimard, 1942) L’Étranger est un roman d’Albert Camus, paru en 1942. Le roman se consiste en/se compose de deux parties, et met en scène un personnage-narrateur, Meursault. La première partie commence par la mort de sa mère. Après l'enterrement, Meursault rencontre Marie et Raymond Sintès. Un jour, ils se promènent sur la plage, et croisent un groupe d'Arabes, dont l’un est le frère de la jeune femme que Raymond a insultée. Plus tard

premier roman d' Albert Camus. Son écriture est sobre et relativement classique. Mais le livre s'inscrit dans le contexte de la guerre et véhicule un sentiment de l'absurde. L'absence de sens de l'existence est également à l'œuvre dans  Le Mythe de Sisyphe, un ouvrage de Camus publié en même temps que L'Etranger. Le personnage principal de L'Etranger : Il s'agit de Meursault, le narrateur, un employé de bureau algérois. Le roman s'ouvre sur son indifférence face au deuil de sa mère qui vient de mourir

être, et pourquoi pas ?Non que je haïsse les acteurs, ou que je déteste les metteurs en scène,mais je trouve leur intervention, par essence, limitée par le temps, l’espace,les choix qu’ils sont obligés d’opérer. TEXTE COMPLEMENTAIRE Le Mythe de Sisyphe de Camus Albert, 1942 Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment sérieux : c'est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d'être vécue, c'est répondre à la question fondamentale de la philosophie. Le reste, si le monde a trois

pièce de théâtre qui sera alors censuré par le maire d’Alger. Il devient journaliste et part à Paris où il est engagé dans Paris-soir. En 1942, alors qu'il publie des articles du mouvement de la résistance, il publie L’Étranger et le mythe de Sisyphe. Les deux premières œuvres de la trilogie de l'absurde et accède à sa notoriété. En 1944, il devient ami avec Jean-Paul Sartre, un autre écrivain engagé avec lequel il met en scène Huit clos. En 1945, il écrit La Peste et quitte le journal Combat

monde qui n’en a pas. Cette confrontation entre le besoin de chaque homme de trouver un sens à la vie avec le monde qui n’en présent point a été une grande inspiration pour Albert Camus. Il a consacré quelques œuvres à ce thème tel que le Mythe de Sisyphe, l’Etranger et Caligula. A cette absurdité Camus cherche une réponse que l’on peut découvrir à travers La Peste. La Peste fut publié en 1947. Dès la première partie le ton est donné : « Les fléaux, en effet, sont une chose commune, mais on croit

dramaturge, est né en 1913 en Algérie, et est mort en France à l'âge de 46 ans. Il fait parti des auteur contemporains. Le roman laisse place au sentiment de l'absurde, et l'absence de sens dans l'existence est également à l'œuvre dans l'essai Le Mythe de Sisyphe, un de ses ouvrages, publié en même temps que L'étranger, ainsi que les pièces de théâtre Caligula et Le Malentendu. Meursault, le narrateur, s'ouvre sur son indifférence face au deuil de sa mère qui vient de mourir. Silencieux, mélancolique, Meursault

maladie correspondraient à des actes de Résistance. Le mythe de Sisyphe : Pourquoi une telle punition ? Camus cite plusieurs versions du mythe, la plupart expliquant la punition de Sisyphe par une insulte faite aux dieux Ainsi Sisyphe est condamné à rouler un énorme rocher en haut d’une montagne, qui retombait à chaque fois de l’autre côté et que Sisyphe devait ramener de nouveau au sommet. Ainsi le traite, le malin, le rusé Sisyphe roula son rocher jusqu’à la fin des temps. Absurde : La littérature

Malraux, alors lecteur chez Gallimard, entre en correspondance avec Camus et « se révèle lecteur méticuleux, bienveillant, passionné de L'Étranger28 » et il en recommande la publication. Le livre paraît en 1942, en même temps que l'essai Le Mythe de Sisyphe (1942), dans lequel Camus expose sa philosophie. Selon sa propre classification, ces œuvres appartiennent au cycle de l'absurde — cycle qu'il complétera par les pièces de théâtre Le Malentendu et Caligula (1944). Il est à noter qu'Albert Camus vint

En 1944, "Le malentendu" qui a été écrit en 1941 en France occupé, va être représenté pour la première fois dans une mise en scène de Marcel Herrand. La pièce fait partie du "cycle de l'absurde" qui contient "L'étranger" (1942) et "Le mythe de Sisyphe" (1942). Jan, jeune homme riche et amoureux décide de renouer le lien avec sa famille qu'il a quitté les années auparavant. Il retourne dans son village natal ne pas sachant comment informer sa vraie identité. Il séjourne dans l'auberge tenue par

défendue : l’infidélité * homme libertin * Le nom Don juan est une antonomase, puisque c’est devenu un nom commun souvent associé à l’infidélité * personnage esthète, qui accorde beaucoup d’importance à la beauté * comparaison avec le mythe de Sisyphe (condamné a pousser un rocher jusqu’en haut d’une montagne, puis recommence quand le rocher tombe) * comparaison avec le mythe de Prométhée ( il a fait croire qu’il a volé le feu à Dieu pour le donner aux Hommes.) = le feu ( passion) DJ pervertit