Socialisme libertaire

entraînèrent abus et dérives (à l’origine =suppression de la pauvreté, mais on n’a vu dans le capitalisme que le PROFIT) à l’origine d’une contestation grandissante sur le plan idéologique. Ainsi le capitalisme entraîne le marxisme (communisme). II] Le socialisme, ou l’opposition directe au libéralisme Les dérives d’un capitalisme presque exclusivement préoccupé par la recherche du profit, entraîna une vive critique tant sur le fond que sur la forme. Quelques bourgeois en rupture avec leur classe d’origine

Fidel Castro représenté sur un panneau de propagande à Cuba. Manifestation du Parti de la refondation communiste italien en 2007. Le communisme (du Latin communis – commun, universel) est un ensemble de doctrines politiques issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, opposées au capitalisme - plus précisément à la propriété privée des moyens de production - et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales. Plus largement, ce terme est associé à un mouvement politique

du moralisme bourgeois du XIXème siècle, démontrant par-là que le premier principe, le principe ultime du monde bourgeois auquel il est capable de sacrifier tous les autres, c’est le saint profit. Un libéralisme qui fut puritain pour devenir libertaire, après et grâce à mai 68, et qui a encore muté depuis l’élection de Sarkozy en libéralisme sécuritaire. Libéralisme sécuritaire… soit un régime libéral envers la bourgeoisie mondialiste et tout ce qui favorise l’affaiblissement de la Nation, mais

disparaître aussi rapidement ? Le point du vue théorique du communisme est la conception d'une société sans classe avec une organisation sociale sans État fondée sur la mise en commun des moyens de production. Le communisme est une branche du socialisme, dont l'objectif est de résoudre la question sociale née du développement du système capitaliste. Les premières conceptions communistes apparaissent chez Platon (avec notamment l'éducation collective des enfants et la soumission de toute propriété

contrairement aux anarchistes, que l'État doit néanmoins jouer un rôle important. Pour Marx, les classes dominantes n'abandonneront pas leurs privilèges et leurs propriétés aisément. De ce point de vue, l'État doit continuer, pendant la phase transitoire du socialisme, de jouer un rôle important, aussi longtemps que les antagonismes de classes ne seront pas disparus avec les classes elles-mêmes. Pour Marx, les transformations sociales sont le résultat de luttes longues et difficiles; le contrôle de l'État est

cadres sociaux de la connaissance, PUF (1966) Table des matières : - Introduction……………………………………….4 - Biographie...………………………………………5 - Œuvres principales et bibliographie……..………10 - Georges Gurvitch et l'à-venir de la sociologie…...13 - Le socialisme de Gurvitch ……………...……….18 - Georges Gurvitch et le droit social...………….….21 - La sociologie de Georges Gurvitch………….……23 - La critique de Georges Gurvitch …………………32 - Conclusion……………………………...…………35 INTRODUCTION : Ce travail entre dans

différents partis socialistes. Socialisme et syndicats D’abord divisés dans les années 1880-1890 entre différentes mouvances marxiste, réformiste, libertaire et entre différents chefs (Jules Guesde, Jean Jaurès), les partis socialistes vont s’unifier avec la formation en avril 1905 de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) sous l’égide de Jean Jaurès. Le journal l’Humanité (fondée en 1804), en est l’organe officiel. Les progrès électoraux du socialisme vont de pair avec ceux du

Les utopistes: Fourier, Cabet. Buchez et le socialisme chrétien. Louis Blanc: sa vie. Sa perception de la Révolution. Les ateliers sociaux. Un socialisme réformiste. Proudhon: sa vie. Critique de l’individualisme; "la propriété c’est le vol"; critique de l’État. Anarchie et économisme; le coopérativisme de Proudhon. Postérité de Proudhon. 5) Blanqui, un personnage inclassable. Sa vie. La tradition du jacobinisme putschiste, sa rencontre avec le socialisme, sa postérité (Lénine). II. Économie et société

d’expériences intellectuelles postérieures aux événements de 1789-1799 : le romantisme et le socialisme. Le romantisme a profondément marqué son temps : il a imprégné la plupart des écoles politiques, sociales, religieuses et aucun courant politique n’a entièrement échappé à son influence. Sa présence se devine dans la flambée révolutionnaire qui secoue l’Europe en 1830-1831. Il a inspiré une forme de socialisme, plus fiche de sentiment que de pensée : romantisme de la pitié et du remords social qui

idées rivales se combattent et s'opposent suivant les courants On distingue trois grands courants: - Le Libéralisme: donne son impulsion initiale à la Révolution et qui va dominer pendant toute la 1ere partie de la période Révolutionnaire - Le socialisme: prend corps au cours de la Révolution et va dominer dans la pratique à l'époque de la Montagne et au travers la Constitution de 1793. - Le conservatisme: rejet total ou partiel de la Révolution ou rejet catégorique ou relatif de l'héritage révolutionnaire