Socialisme libertaire

Le temps des démocraties populaires (1945-1989) Comment naissent les démocraties populaires ? Comment l’ordre stalinien s’y impose-t-il ? Quelles contestations et réformes l’Europe de l’Est connaît-elle après la mort de Staline ? Comment et pourquoi le communisme s’effondre-t-il en Europe de l’Est ? I. 1945-1953 : la naissance des démocraties populaires et l’imposition de l’ordre stalinien A. La prise de pouvoir par les communistes 1. Le prestige des communistes et de l’URSS en 1945

prolétaires étrangers. Le Gosplan, comité d’Etat, fixe des objectifs à atteindre pour cinq ans (plan quinquennal).    * Ensuite, il veut que l’ensemble des exploités   (troisième classe sociale : ouvriers, chômeurs..) participent à l’avènement du socialisme afin qu’ils affirment leur volonté de mettre fin à cette société capitaliste.   * Enfin, Staline a pour but d’abolir les classes sociales.  http://www.rabac.com/demo/Relinter/AnnMnd/stalnism.htm http://fr.wikipedia.org/wiki/Stalinisme http://fr

articles et lettres. Correspondance avec son traducteur René-Noël Raimbault : correspondance inédite, 1934-1935, Paris, Éd. Jean-Michel Place, 2006. À ma guise : chroniques (1943-1947), Marseille, Agone, 2008. Écrits politiques (1928-1949) : sur le socialisme, les intellectuels et la démocratie, Marseille, Agone, 2009

Iche L'URSS de Staline Les déburs de l'URSS: Union des Républiques Socialistes et soviétique. L'URSS est un Etat fédéral et multinational. Un parti unique, le parti communiste gouverne. En 1924, Staline écarte ses rivaux et installe une dictature dès 1928. L'économie collectivisée et contrôlée par l'Etat Les plans Staline nationalise tous les secteurs de l'économie : l'Etat contrôle tout (agriculture, industrie et commerce). Pour modernisé le pays, il développe l'industrie

rassemble de façon hétéroclite des hommes de toutes convictions et de tous horizons et est dépourvu de fichiers d'adhérents ou de démocratie interne. Enfin, peut-on changer la vie politique en quatre années seulement, aussi intenses soient-elles ? Le socialisme, le radicalisme, le communisme, etc. existent alors depuis des décennies et veulent dire quelque chose pour la nette majorité des Français. Les résistants ne sont que 2 ou 3 % de la population, et leurs formations ne signifient pas grand chose en

de l'histoire et ces contradictions conduisent à l'étape suivante. C'est ce que l'on retrouve chez Marx quand il nous dit que ce sont les contradictions même du capitalisme qui vont conduire à des forces de changements. Cela amènera à passer du socialisme au capitalisme. Chez Marx, chaque mode de production prend sens dans le mode de production qui va le succéder. Par exemple, le mode de production capitaliste prend sens par rapport au mode de production communiste. D'après Marx, nous serions actuellement

influence l’Europe avec le printemps des peuples. A ce titre, Maurice Agulhon montre que la génération des 48ards est particulière en ce qu’elle est baignée d’idéaux révolutionnaires et romantiques. L’esprit 48ards est emprunt de libéralisme, de socialisme et de religiosité aussi, ms surtout contre la monarchie. Une révolution dépréciée : Quelques mois de bouleversements, une année de révolution. 1848 nous parait être une révolution oubliée ou dépréciée par rapport à 1789, 1871 ou encore 1917. Quarante-huitards

existence par le travail. Le droit au travail conduit à la nécessité de l’organisation du travail, celle-ci, de fait entraîne une transformation économique de la société. «  Le droit au travail ne mène-t-il pas fatalement au socialisme, c'est-à-dire à la main mise de l’Etat sur le système économique ? » : telle est la question que nous soumet Serge Paugam*, à l’issue de son analyse de l’évolution du traitement de la pauvreté. Après 1948, une parenthèse sera mise

fort, capable d'imposer une règlementation afin de protéger la propriété privée[2]. À gauche, si certains préconisent la promulgation d'une règlementation du contrat de travail par un État gouverné par un parti de gauche, un courant, proche du « socialisme anti-autoritaire », s'y oppose dans tous les pays industriels, craignant que celle-ci conduise à la démobilisation du mouvement ouvrier[2]. Références[modifier] 1. ↑ Loi du 19 mai 1874 sur le travail des enfants et filles mineures dans l'industrie

L’insurrection de juin 1848 vue par A. de Tocqueville Exposant : HUET Alexis, BASTIAN Jack Intro : « Ce n’est pas une émeute ,c’est la plus terrible de toutes les guerres civiles », voilà comment Alexis de Tocqueville présente les journées de juin 1848 dans sa « Lettre à Paul Clamorgan», homme politique de renom, il a écrit de nombreux ouvrages comme De le démocratie en Amérique, ainsi que Souvenirs, ouvrage qu’il a écrit à la fin de sa vie, dans lequel il revient sur les grands évènements