Socrate Je Sais Que Je Ne Sais Pas

I­ Les auteurs.    Socrate → Maïeutique / Dialogue socratique. Il n’a jamais rien écrit, c’est son élève  Platon qui, sous forme de dialogue. La mort injuste (exécuté pas démocratie Athénienne  pour impiété) motive Platon à écrire.    Maïeutique → Façon de trouver et expliquer une thèse sans la donner. Art  d’accoucher les esprits. Pour que les esprits se délivrent de ce qu’ils portent en eux.    II­ Les notions.    1/ Notions et concept.    Notion plus abstraite que le concept.  Pas spécifiquem

Nessecité: est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être ni être autrement qu'il est. Choix ?? Contourner la nécessité naturelle ?   Ame gde par sa sagesse, Gds esprits, Attitude d'abandon. Ignorante savante. "Je sais que je ne sais pas "Socrate Quitte une prétention a savoir. Je ne sais pas j'écoute!!! Ouverture d'esprit. Dialogue, mode de vie Spirale du monde qui fait grandir (enfant) dépendance. Indifférence= abandon = relativisme = tt ce vaux Vérité relative a chacun= acceptation de ce qui

par l'exigence éthique à la persistance du scandale, tel sera alors le chemin problématique que nous nous proposons d'emprunter. I. De la contradiction des désirs en nous au conflit avec soi-même Lorsque, dans le Gorgias, Calliclès reproche à Socrate de « toujours dire la même chose », celui-ci renchérit : il ne dit pas simplement la même chose, il dit toujours « le même du même » ; c'est Calliclès au contraire qui « ne dit jamais la même chose », c'est-à-dire qui ne cesse de se contredire. Ce

sécurisant que suspect. Socrate acculait les sophistes, ses « confrères » (rémunérés eux !) se présentant comme « experts » de tel ou tel champ de connaissances, à partir de sa formule célèbre : « La seule chose que je sais est que je ne sais rien ». Cette expression, galvaudée, risée de 2 ceux qui disent « Voilà qui est bien d’un philosophe ! », est pourtant grave : grammaticalement, la proposition principale est « Je sais » et la proposition subordonnée « que je ne sais rien ». Mais savoir

d’instruire et celui d’éduquer se rejoignent en profondeur. I : Deux rapports au savoir à première vue différents. A : Chez Platon et Socrate: distinction entre deux rapports au savoir. Un rapport au savoir sous le signe de l’instruction, dont la finalité selon les Sophistes est d’acquérir des connaissances, d’accroître ses connaissances, de devenir savant. Cependant Socrate d’abord, puis Platon ensuite, se sont toujours opposés à cette vision ainsi qu’à cette finalité de l’instruction. Non qu’ils soient

sens; je crois que le corps, la figure, l'étendue, le mouvement et le lieu ne sont que des fictions de mon esprit. Qu'est-ce donc qui pourra être estimé véritable? Peut-être rien autre chose, sinon qu'il n'y a rien au monde de certain. Mais que sais-je s'il n'y a point quelque autre chose différente de celles que je viens de juger incertaines, de laquelle on ne puisse avoir le moindre doute? N'y a-t-il point quelque Dieu ou quelque autre puissance qui me met en esprit ces pensées? Cela n'est pas

celui de Socrate. Sa philosophie est fondée sur ce que nous appelons la maïeutique, c'est-à-dire l’art d’accoucher les esprits simples et naïfs qui croient ne rien savoir. « Ma mère était sage femme, moi j’accouche les esprits. » Le modèle de réflexion de Socrate s’appuie également sur l’ironie et il l’utilisait de façon méthodique à l’égard des sophistes qui croient tout savoir. Socrate est resté célèbre dans l’histoire de la pensée philosophique par l’expression suivante : «  Je ne sais qu’une

d’autrui. Ainsi, l’humain se remet en question et purifie de ses erreurs. Socrate est dans l’aporie, car ses conversations n’aboutirent pas à une conclusion. Les conversations du philosophe ont le but de nettoyer aux humains leur erreurs. Donc, à la fin d’une discussion, il n’y a pas de réponse, mais une remise en question. Céphale est passé par les effets bienfaiteurs de l’aporie. Après la réfutation que Socrate a donnée, Céphale donne raison au philosophe : « Tu as raison, dit-il » (p.79 p

Socrate : ( il est rationnel par la raison , son moyen pour mener une bonne vie est de recherche la vérité grâce à la raison) La vie bonne selon Socrate : Socrate répondrait que c’est d’être authentique et chercher la vérité profonde de l’individu.. c’est ainsi de découvrir le véritable moi au-delà des habitudes , des apparences ou des conventions. C’est ainsi vivre en accord avec la conscience à chaque moment de la vie , il faut savoir comment bien vivre. Rejeter le relativisme et choisir la vérité

individu se doit d'être le plus sincère possible avec lui-même. L'homme est le témoin permanent de lui-même. En effet il est son propre juge tout en étant son propre observateur. b) Se connaître soi-même, c'est pouvoir se représenter. Pour socrate se connaitre soi même est le commencement de toute philosophie "connais toi toi même" se connaître soi-même reviendrait surtout à connaître les facteurs extérieurs qui nous déterminent en nous laissant l'illusion d'être une conscience individuelle