Socrate

 INTRODUCTION Le MENON est u ne dialogue de Platon, dans lequel MENON et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, afin de savoir si la vertu s’enseigne ou, sinon de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l’essence de la vertu. Néanmoins, âpres plusieurs vaines tentatives de réponses, Socrate et MENON examinent la question plus générale encore: la connaissance est-elle seulement possible? Et comment? L’interrogation

Socrate, par sa vie et son enseignement a contribué de manière décisive à définir l'attitude philosophique. L’objectif de ce travail est de démontrer premièrement pourquoi Socrate peut être considéré comme le premier véritable philosophe, tout en le distinguant des sophistes. Le deuxième objectif et d’expliquer en quoi consiste la méthode socratique. Cette synthèse sera réalisée en utilisant Philosophie, raison, vérité, connaissance de Michel Larocque , des pages 97 à 110 (1). L’objet du

couleur dans le fait « Socrate est blanc » ? Est-ce que Socrate peut être blanc sans qu’il soit nécessairement une autre couleur ? Pour répondre à cette question, nous devons avoir les pieds sur terre, regardons ce qu’il en est dans le réel et dans l’existence lorsque « Socrate est blanc ». Hé ben la chose est simple, lorsque « Socrate est blanc » on a toujours « Socrate n’est pas noir », « Socrate n’est pas rouge », « Socrate n’est pas vert », « Socrate n’est pas bleu », « Socrate n’est pas jaune »,

d'entre ceux-ci est bien sûr Socrate. Il est connu par des phrases tels que : «Connais-toi toi- même» ou «Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien.» Sa renommée vient du fait que sa philosophie est si influente qu'elle divise l'histoire de la philosophie en deux ères distinctes: présocratique et socratique. Parmi les citations de Socrate plusieurs peuvent être interprétée de diverses façons d'une personne à une autre. Ce texte expliquera la fameuse citation de Socrate : «une vie sans examen ne

libre. Aller à : Navigation, rechercher Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et

Ménon Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et comment ? L'interrogation sur la vertu

l'appelait; il tient à justifier sa résolution, et c'est à ce dessein que répond le Gorgias . Situation: Socrate et Khairéphon se rendent chez Calliclés pour y entendre Gorgias. Ils arrivent après la séance (leçon de Gorgias). Néanmoins Calliclés les introduit auprès de Gorgias, à qui Socrate souhaite poser une question. Ce dialogue se compose de quatre parties : 1° partie : Socrate / Gorgias Définition de la rhétorique : ouvrière de la persuasion. (Nous reprendrons dans cette première

PLATON Le Banquet - Préambule sur la transmission du récit - Arrivée de Socrate o Proposition d'Eryximaque § Discours de Phèdre § Discours de Pausinias (et intermède : Le hoquet d'Aristophane) § Discours d'Eryximaque § Discours d'Aristophane § Discours d'Agathon o Intervention de Socrate o Discours de Diotime - Irruption d'Alcibiade - Eloge de Socrate par Alcibiade Le Banquet (ou De l'Amour) APOLLODORE Je crois que je suis assez bien préparé à vous faire le récit que

des artistes de son temps. « J’ai examiné, dit-il, les poètes, et je les regarde comme des gens dont le talent en impose à eux-mêmes et aux autres, qui se donnent pour sages, qu’on prend pour tels et qui ne sont rien moins. Des poètes, continue Socrate, j’ai passé aux artistes. Personne n’ignorait plus les arts que moi; personne n’était plus convaincu que les artistes possédaient de fort beaux secrets. Cependant, je me suis aperçu que leur condition n’est pas meilleure que celle des poètes et qu’ils

Menon affirme qu'il « existe une multitude de définitions de vertus et que Socrate et ce premier ne sont donc pas embarrassé pour définir la vertu. Menon répond à Socrate qu’il y a une vertu des enfants, des hommes libres, propres aux femmes et aux vieillards. Socrate lui reproche à cette première définition de ne pas donner la forme caractéristique de la vertu qui est identique à toutes les personnes sans exception. Pour Socrate l’idée de la vertu, tous les êtres humains qui sont des êtres bons, sont