Soekarno

soit pour défendre une position ou pour le renforcer encore davantage (point de vue des Occidentaux lors de la crise de Berlin, traités d'alliancè, nationali. sation du canal de Suez par Nasser, recours au principe de I'autodétermination par Soekarno contre la Malaisie...) soit pour ïestaurer Le statu quo ante (préoccupation des Occidentaux lors du blocus de Berlin, stratégie de Kennedy lors de la crise de Cuba, tentatives des puissances européennes pendant la première phase de la crise de

Code de l’honneur et respect de la parole donnée. - Rôle du collectif. - Respect des hiérarchies. - Consensus et harmonie. - Importance des réseaux : réseaux familiaux, réseaux claniques. - Présence de l’Etat : traditionnellement autoritaire. Ex : Soekarno en Indonésie, parlait de la « démocratie dirigée », Suharto, lui, a mise en place en 1966 « l’ordre nouveau » fondée sur une dictature clanique. Il y a une volonté des différents Etats de pérenniser les valeurs de l’Asie. Ce sont ces valeurs qui

qui crée l'Armée nationale indienne. Aux Indes orientales néerlandaises occupées, qui leur fournissent de très importantes réserves de pétrole, les Japonais ne créent pas de gouvernement, mais se ménagent l'appui des leaders indépendantistes comme Soekarno (futur président de l'Indonésie). Camps de prisonniers et esclavage Des prisonniers de guerre australiens et néerlandais à Tarsau, en Thaïlande en 1943. Disséminés sur tout le territoire de la Sphère, les camps de prisonniers japonais connurent

expression forgée par l'économiste français Alfred Sauvy pour désigner ces nouveaux venus sur la scène internationale.  Réunion de vingt-neuf pays d'Asie, du Proche-Orient et d'Afrique  Une conférence dominée par Nehru, Nasser, Haïlé Sélassié, Soekarno ; Tito est là aussi en tant qu’observateur b) Unanimité autour de quelques grands principes dont l’anticolonialisme  Condamnation du colonialisme sous toutes ses formes  La France étant particulièrement visée pour sa politique en Afrique du

blocs, existe le Mouvement des Non Alignés, créé à Belgrade en 1961 par les pays qui voulaient mener une politique indépendante des blocs. La plupart, sauf la Yougoslavie de Tito, étaient des pays du tiers-monde tels l’Inde de Nehru et l’Indonésie de Soekarno en Asie, l’Égypte de Nasser en Afrique. L’adhésion de la Chine fut provisoire. La carte indique aussi les crises qui marquèrent les années de Guerre froide. On voit que c’est surtout l’Allemagne et l’Asie qui furent le théâtre de confrontations Est-Ouest

qui crée l'Armée nationale indienne. Aux Indes orientales néerlandaises occupées, qui leur fournissent de très importantes réserves de pétrole, les Japonais ne créent pas de gouvernement, mais se ménagent l'appui des leaders indépendantistes comme Soekarno (futur président de l'Indonésie). Camps de prisonniers et esclavage[modifier | modifier le code] Des prisonniers de guerre australiens et néerlandais à Tarsau, en Thaïlande en 1943. Disséminés sur tout le territoire de la Sphère, les

Le processus de décolonisation dure principalement de 1945 à 1975. La tentative d’Union se fait à l’ONU, essayant de se regrouper en tant que troisième groupe entre l’Est et l’Ouest, se fait à Bandung sous la conduite du président indonésien Soekarno. Bandung regroupe 29 pays d’Afrique et d’Asie. On y a dénoncé la colonisation, condamné l’exploitation économique des pays pauvres, pris l’engagement de promouvoir une coopération nationale. L. Sedar Senghor avait présenté cette conférence comme

ce pays. Ils s’évertuèrent à détruire tous les stigmates de la colonisation néerlandaise, en particulier la langue. Ils libèrent aussi les chefs nationalistes dont Ahmed Soekarno. Dans la foulée, une force armée indonésienne fut constituée. CCXXXIII- Profitant de la déroute militaire du Japon, prélude à la capitulation, Soekarno proclame unilatéralement, le 17 août 1945, l’indépendance de son pays que les Pays-Bas refusent de reconnaître. CCXXXIV- En 1947, les Pays-Bas tentent de restaurer, par

Indonésie, le Parti communiste indonésien participe à la révolution nationale indonésienne pour empêcher le retour des colonisateurs néerlandais, mais échoue ensuite en 1948 en voulant lancer une insurrection à Java contre le leader nationaliste Soekarno : les communistes sont écrasés lors de l'« affaire de Madiun ». Aux Philippines, les Hukbalahap refusent de rendre leurs armes après la défaite des Japonais et lancent un soulèvement en 1946423. En Malaisie britannique, l'Armée de Libération des

des concessions européenne à Shanghai. Les Japonais ont bénéficié aussi de l’appui du gouvernement thailandais et de certains nationalistes locaux, tels Shandra Böse en Inde, et qui sont parfois demeurés au pouvoir après la guerre, comme Ahmed Soekarno dans la future Indonésie. Camps de prisonniers et esclavage Disséminés sur tout le territoire de la Sphère, les camps de prisonniers japonais connurent un taux important de décès car la majorité d’entre eux impliquaient le travail forcé des prisonniers