Sœurs de la Lumière

Essénéens, Moines bouddhistes, Taoïstes….Pythagorisme SECRET D’APPARTENANCE : * L’engagement en maçonnerie est une démarche d’ordre privé. Seule l’intéressée peut annoncer ou non son appartenance. Nul Sœur n’a à dévoiler l’identité d’autres Sœurs Maç. Ce serait d’ailleurs à considérer comme parjure à notre serment maç. Elle pourrait d’ailleurs lui nuire dans sa condition sociale, professionnelle. Qui plus est, en Afrique selon les régions, la F.M. est taxée de pouvoirs « occultes »ou imaginaires

maîtres. Ses filles étaient très belles, mais la cadette surtout se faisait admirer, et on ne l’appelait, quand elle était petite, que la BELLE ENFANT, en sorte que le nom lui en resta, ce qui donna beaucoup de jalousie à ses sœurs. Cette cadette, qui était plus belle que ses sœurs, était aussi meilleure qu’elles. Les deux aînées avaient beaucoup d’orgueil, parce qu’elles étaient riches : elles faisaient les dames, et ne voulaient pas recevoir les visites des autres filles de marchands ; il leur fallait

cardinal-légat Caprara, l’architrésorier Lebrun, Eugène de Beauharnais ou encore la famille de Bonaparte comme Joseph ou Louis Bonaparte et les belles sœurs de Napoléon. Le jeu de lumière organise et rythme la composition ainsi que l’accord vert-rouge des velours. David distribue les masses grâce à un éclairage contrasté, une fine orientation de la lumière, concentrée sur les premiers rôles, s’atténuant jusqu’à la pénombre à gauche. La courbe ouverte, achevée à droite par les figures, vues de dos, de

A la gloire du G.A.D.L.U., mon VM\, mes TCF\ et S\ en vos degrés et qualités... Devenir Franc-Magon... rejoindre cette famille de frères et soeurs, qui à travers le monde et les âges, défendent les valeurs qui me sont chères : fraternité, humanisme, justice, spiritualité et ouverture d’esprit... un rêve qui grandissait en moi de jour en jour. Et ce rêve devint réalité, le 24 Mars de l’an 2010, date de ma renaissance, marquant le début de ma nouvelle vie de Maçon. Une soirée inoubliable, remplie

de savoir sur la société qui l’a produit. Comment s’est constituée peu à peu une science des mythes ? De la Renaissance jusqu’au Lumières (18ème), on a considéré les mythes comme des fantaisies, créées par des âges ignorants, et étaient le «recueil des erreurs de l’esprit humain». Mythes étaient un répertoire d’images pour ceux qui voulaient se divertir. Fin Lumières, début XIXème: approche historique, on collecte les mythes. On les analyse dans leurs ancrages locaux en les considérant comme spécifiques

maîtres. Ses filles étaient très belles ; mais la cadette surtout se faisait admirer et on ne l'appelait, quand elle était petite, que la Belle Enfant ; en sorte que le nom lui en resta, ce qui donna beaucoup de jalousie à ses sœurs. Cette cadette, qui était plus belle que ses sœurs, était aussi meilleure qu'elles. Les deux aînées avaient beaucoup d'orgueil parce qu'elles étaient riches : elles faisaient les dames, et ne voulaient pas recevoir les visites des autres filles de marchands. Elles allaient

c’est travailler dans la loge sans faire état de sa situation ou de ses intérêts à l’extérieur. Pour son initiation donc, le postulant est dépouillé des « objets métalliques « qui brillent d’un état trompeur. A l’ouverture des travaux, les frères et sœurs abandonnent leurs métaux à la porte du temple. Je me souviens alors de cet instant passé dans le cabinet de réflexion et de cet intense recueillement sur moi-même qui m’amenait à penser qu’il faut être « sain de corps et d’esprit » pour accèder au

maîtres. Ses filles étaient très belles ; mais la cadette surtout se faisait admirer et on ne l’appelait, quand elle était petite, que la Belle Enfant ; en sorte que le nom lui en resta, ce qui donna beaucoup de jalousie à ses sœurs. Cette cadette, qui était plus belle que ses sœurs, était aussi meilleure qu’elles. Les deux aînées avaient beaucoup d’orgueil parce qu’elles étaient riches : elles faisaient les dames, et ne voulaient pas recevoir les visites des autres filles de marchands. Elles allaient

8h du matin, cent-cinquante élèves trépignent en attendant le feu de départ pour Port-Royal. C’est parti. 1h de transport et le dépaysement les saisissent. La division de première de Notre-Dame-des-Oiseaux se retrouve dans les Lumières de Blaise Pascal, le chemin des sœurs cisterciennes et les tragiques empreintes de Jean Racine. S’aérer, apprendre et rencontrer, voici les mots d’ordre de ce vendredi. Car si la journée d’intégration se passe loin des murs de cette école parisienne, on n’échappe

l'exercice héroïque de toutes les vertus. Le Jeudi Saint de 1441, pendant une extase, Rita fut miraculeusement blessée au front par une épine du Christ devant lequel elle priait. Le 22 mai 1457, comblée de mérites, Dieu l'appela à Lui. A sa mort, une lumière merveilleuse inonda sa cellule, une odeur ineffable se répandit dans le couvent, et son âme fut vue, auréolée de gloire, monter au Ciel. Elle fut proclamée Bienheureuse en 1737, et canonisée au mois de mai 1900. Aujourd'hui, la dévotion à Sainte Rita