Solal

) : Architecture fonctionnelle du système visuel. In M. Boucart, M. A. Hénaff, C. Belin (Éds), Vision : aspects perceptifs et cog- nitifs (pp. 11-38). Marseille, Solal, 1998. [4] GUERRAZ (M.) : Indices visuels et régulation posturale. In Y. Coello, J. Honoré (Éds), Percevoir, s’orienter et agir dans l’espace (pp. 65-76). Marseille, Solal, 2002. [5] LATASH (M.L.) : Le contrôle postural. In Bases neurophysiologiques du mouvement. Bruxelles, De Boeck Université, 2002. [6] LEDEPT (A.) : L’interdépendance

L'Assommoir, écrit par Émile Zola en 1883, il s'agit de l'incipit du roman où Gervaise attend le retour de Lantier son mari, qu'elle soupçonne de la trompe. Puis un deuxième extrait d'Albert Cohen qui écrivit Belle du seigneur en 1968 et où Ariane attend Solal dont elle est amoureuse et qu'elle a invité à venir prendre le thé. Les deux textes présentent des points communs et la description de leur environnement contribue aux portraits de ces deux personnages de femme. Tout d'abord, on peut remarquer

Radio suisse romande et que plusieurs articles lui sont consacrés dans les rubriques littéraires des grands quotidiens et hebdomadaires, l'audience d'Albert Cohen dans le monde en 1968 n'est en rien comparable à celle de 1930, lors de la parution de "Solal". La "consécration" ne viendra réellement qu'en décembre 1977, avec l'émission d'Apostrophes" que lui consacre Bernard Pivot et ce n'est que peu de temps avant sa mort, en 1981, qu'on finira par lui rendre justice (oublié des anthologies, il est enfin

femme, Ariane, amènent Solal à jouer la comédie, à « camoufler leur solitude ». La relation amoureuse est vécue comme une chaîne (les deux amants sont des « bannis », Solal est un « hors caste ») Les secrets d'Ariane sont détaillés mais trop précis, nous ne connaissons pas l'ambiguité de ses secrets, et ses défauts et ses qualités décrites sont inintéressants. Sa vie en devient monotone et profondément ennuyeuse, comme le traduit l’expression « rabâcher éternellement » Solal connaissait tous les

Chapitre 1: rencontrons-nous! Personnages: -Mikelangelo Loconte: guitariste -Florent Mothe: patron du café où se produit Mikelangelo & son groupe -Solal: client du café & ami de Michele -Dove Attia: producteur & ami de Michele et Solal Nous sommes le 5 décembre, à l’extérieur la neige tombe tranquillement, il est 15h35 et Mikelangelo se produit dans un café et vient de terminer sous les applaudissements du public: Michele: merci pour votre accueil, j’espère revenir l’année prochaine

d’intelligence perspicace ». On peut préciser que cette brutalité est un point fort de l’homme séducteur qui contraste avec sa douceur, puisque Solal dans Belle du Seigneur compare la violence à la vigueur passionnelle « Avec violence afin qu’elle sente qu’avec toi ce sera un paradis de charnelleries perpétuelles ». La voix est aussi essentielle, puisque Solal la recommande ainsi : « Veille à ta voix et à sa chaleur. Un timbre grave est utile ». Ces qualités sont reconnues de tous, hommes ou femmes

BIBLIOTHEQUE SISS APPEDIA Mise à jour juin 2008 ADRIEN JL., Autisme du jeune enfant, Expansion scientifique française, Paris, 1996 ALBARET J.M, SOPPELSA R., Précis de rééducation de la motricité manuelle, Solal, Marseille, 1999 ASSOCIATION FRANCAISE DU SYNDROME DE RETT., Le syndrome de Rett, une maladie génétique, AFSR, Laroque des Albères, 2004 ATTWOOD T., Le syndrome d'Asperger, Dunod, Paris 2003 BAKER B L., BRIGTMAN A J., L'autonomie pas à pas, AFD, Mougins 2006 – 3 exemplaires

d’une tranquillité fade. Dans le roman Belle du seigneur (1968) de Albert Cohen tiré, Ariane et Solal se rencontrent et se retrouvent embarqués dans une histoire d'amour qu'ils veulent contrôler mais ne contrôlent absolument pas, dans une passion absolue. Ils sont totalement dépassés par leur amour et ne voient rien d'autre autour d'eux. Ariane est l'archétype de la femme éperdument amoureuse, Solal reste l'amoureux parfait, l’amant « sublime » romantique et sensible aux désirs de sa dulcinée. Seulement

horizon lointain, bleutre, engendrait autour du centre que jtais une zone mobile dincertitude et de vague. Texte D Albert Cohen, Belle du Seigneur, chapitre LXXXVII, 1968. Ariane a quitt son mari, un homme mdiocre, pour vivre le grand amour avec Solal. Exclus de la bonne socit, les amants se sont retirs dans un luxueux htel de la Cte dAzur. Une nouvelle journe commence. Rest seul, il soupira. Il la voyait nue chaque jour, et elle croyait devoir le vouvoyer. La pauvre, elle se voulait une amante

petits pois »,  « coiffée d’un foulard », « grande ». Cette description passe en l’occurrence par le regard : « regarda », « distingua », « vu », « yeux ». Du côté de Belle du Seigneur, la rencontre se passe toujours par le regard. Seulement ici, c’est Solal qui décrit ce que voit Ariane Deume. Il se décrit comme un « vieillard », « faible », « blanc de barbe », « avec deux dents seulement ». Puis c’est Ariane qui décrit celui qu’elle reconnait comme étant « le haut cavalier aux noirs cheveux désordonnés »