Soleils Couchants Verlaine

inspire. Masochisme – le plasir et la douleur sont inséparables; Rêve d’un curieux Le sang – la douleur, le vice, culpabilité, le sang s’écoule de son propre corps; Le mort joyeux; Une Martyre; L’ennemi; Le Vampire; Le jeu; La fuite du temps – le soleil couchant, L’Horloge; L’ennemi; Chant d’automne; L’examen de minuit La mort – deuil, cimetière, tombeau, cadaver; La mort joyeux; Le Rêve d’un curieux, Le Voyage Le sommeil – Le goufre; Rêve parisien Le vide – néant, l’abime; L’albatros; Le gouffre; le

mal’’ (1857) Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir Au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés De ces ciels brouillés Pour mon esprit ont les charmes 10 Si mystérieux De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté.

poète est-il un doux rêveur qui nous éloigne ou nous console de la triste réalité ? I. Le poète, un rêveur qui nous permet de nous évader d’une réalité traumatisante ou décevante. L’invitation au voyage Baudelaire 19ème siècle Malines Verlaine 19ème siècle Le Conte de Lisle l’orbe d’or 19ème siècle Pères et Mères Grand Corps Malade 21ème siècle Petite épître au roi Clément Marot 16ème siècle Paysage Guillaume Apollinaire 20ème siècle Un hémisphère dans une chevelure Baudelaire

jour à travers les vitraux ; Ou, parcourant ma chambre, elle y cherchait encore La trace, l’ombre au moins du maître qu’elle adore, Le dernier vêtement dont je m’étais couvert, Et, l’oreille dressée au vent pour mieux l’entendre, Se couchant à côté, passait l’heure à m’attendre. Le rêve du jaguar « Lisle » Sous les noirs acaous, les lianes en fleurs, Dans l’air lourd, immobile et saturé de mouches, Pendent, et, s’enroulant en

pour défendre l’humanité souffrante ; Enfin, elle revendique la liberté de la création La poésie romantique : LAMARTINE, MUSSET, VIGNY… - formes anciennes modernisées : sonnets, odes, ballades… - thèmes lyriques de la nature : la mer, les soleils couchants, les paysages d’automne, les oiseaux, le rêve, la solitude, l’incompréhension… - formes : lyrisme douloureux (élégie) - thèmes sociaux : défense du peuple, des enfants (ex : HUGO « Mélancholia »), satire des bourgeois. - thèmes de la création

sans endommager quelqu'une de mes impressions étagées, rien en enlever …". Cette lettre est fort utile pour le commentaire de la seconde version d'un texte "parlant de lui-même et sans voix d'auteur", selon les termes de Mallarmé dans sa lettre à Verlaine de 1887. L' étude sur la parole projetée par Mallarmé sera formalisée et développée plus tard dans "Crise de vers", "Divagations" et divers autres écrits: "L'œuvre pure implique la disparition élocutoire du poète qui cède l'initiative aux mots

XVI 20 Alphonse de Lamartine, Le Lac 9-11 Jacques Prévert, Le Temps perdu 12 Pierre de Ronsard, Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle 19 Rutebeuf, a complainte de Rutebeuf 21-22 Emile Verhaeren, Vers le futur 14-15 Paul Verlaine, Chanson d’automne 18 François Villon, Ballade des Dames du temps jadis 5 Zhu Ziqing, La fuite du temps 6 3 Les grands thèmes de cette poésie sont la fuite du temps et l’amour perdu. Suite à une rupture amoureuse la peine de l’auteur semble

Les illuminations1Les illuminations Arthur Rimbaud Oeuvre du domaine public. En lecture libre sur Atramenta.net 2Préface de Paul Verlaine Le livre que nous offrons au public fut écrit de 1873 à 1875, parmi des   voyages   tant   en   Belgique   qu’en   Angleterre   et   dans   toute l’Allemagne. Le mot Illuminations est anglais et veut dire gravures coloriées, – colored  plates :   c’est  même  le   sous­titre  que  M.  Rimbaud  avait donné à son manuscrit. Comme on va voir, celui­ci se compose de courtes pièces

Un air très-vieux, languissant et funèbre, Qui pour moi seul a des charmes secrets. Or, chaque fois que je viens à l'entendre, De deux cents ans mon âme rajeunit : C'est sous Louis treize; et je crois voir s'étendre Un coteau vert, que le couchant jaunit, Puis un château de brique à coins de pierre, Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs, Ceint de grands parcs, avec une rivière Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ; Puis une dame, à sa haute fenêtre, Blonde aux yeux

oiseaux chantant soir et matin,Et tout ce que l'Idylle a de plus enfantin.L'Émeute, tempêtant vainement à ma vitre,Ne fera pas lever mon front de mon pupitre ;Car je serai plongé dans cette voluptéD'évoquer le Printemps avec ma volonté,De tirer un soleil de mon cœur, et de faireDe mes pensers brûlants une tiède atmosphère. Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857), Paysage Le paysage dans le cadre des portières Court furieusement, et des plaines entières Avec de l'eau, des blés, des arbres