Soliste

touches d’ocre, elles sont très présentes. La danseuse est habillée en blanc, elle se démarque des autres car le publique a été peint avec un rouge orangé. Seul un homme est en noir et quelques danseuses en blanc mais d'un blanc moins prononcé que la soliste. Il y a un flou permanent dans cette peinture, c'est l'une des caractéristiques de l'impressionnisme. La lumière provient du bas gauche du tableau et se reflète sur la danseuse pour l'illuminer. Les seules zones d'ombres se trouvent au niveau des

chorégraphies et la mise en scène par Arthur Laurents. L’œuvre aura 732 représentations avant de partir en tournée dans le monde entier. La musique devient alors très populaire. L’œuvre est composée d’un orchestre symphonique, d’un chœur et de voix solistes. Cette comédie musicale nécessite des acteurs qui soient également chanteurs et danseurs. Leonard BERNSTEIN : Leonard BERNSTEIN (1918/1990) est pianiste, compositeur, pédagogue et chef d’orchestre. Il dirige de nombreux orchestre philarmonique

que Jean Ferrat se sentira, pendant toute sa vie, proche des idées communistes. Présentation de l’œuvre : -Auteur : Jean Ferrat - Style : chanson populaire engagée - Epoque : 1963 - Caractère : triste, émouvant, mélancolique - Formation : voix soliste, guitare, timbale, basse, cuivre DESCRIPTION ET ANALYSE : Il s’agit d’une chanson triste qui exprime un message de révolte mêlé de désespoir. La chanson est composée de neuf couples. Il n’y a pas de refrain. Dans le 1er couplet : Jean Ferrat

Description et analyse Sur le plan musical, le tempo est lent, les nuances mezzo forte. Sur le plan instrumental on identifie un piano, une contrebasse, une trompette, et plus discrètement une batterie et une guitare. La formation est constituée d’un soliste. Le texte est écrit sous forme de rimes embrassées (ABBA). La chanson « Le déserteur » est composée de 3 strophes qui délimitent 3 parties distinctes. La première partie évoque la situation, on apprend la mobilisation pour la guerre de l’auteur

la mélodie principale est joué par le violon, il remplace la flûte de l’œuvre originale. Celui ci est accompagné, d'une contrebasse, de percussion, et l'apparition du piano par moments, on a alors une sorte d'orchestre accompagnant un instrument soliste. La mélodie est toujours, gaie et entrainante avec un rythme souple et a la fois saccadé. Cette œuvre fait penser au musique Brésilienne, sur lesquelles on pourrait danser la samba (l'orchestre) ou le tango (le violon). Donc maintenant on va vous

reçoit gratuitement les cours de théorie et de composition de Eduard Marxsen. Il donne son premier concert en 1843 où il joue une étude d'Henri Herz et participe à un quartet de Mozart et un quintette à vent de Beethoven.Il donne ses premiers concert solistes le 21 septembre 1848 et en 1849 à Hambourg. Peu de temps après, il compose ses deux premières sonates pour piano. Après avoir quitté l'école, il contribue à l'économie de la famille en donnant leçons de piano, en jouant dans des restaurants ou

tonalités Bop et Swing. Le Cool jazz s’est développé à l’échelle nationale à la fin des années 50, avec une plus forte implication des musiciens et compositeurs de la côte Est. Hard bop : Néo Bop : M'base : Free jazz : Fusion : Les grands solistes :

se dérouler du 15 au 17 août 1969 et accueillir 50 000 spectateurs, il en accueillit finalement environ un demi-million, et se poursuivit un jour de plus, soit jusqu'au 18 août 1969 au matin[]. Le festival accueillit les concerts de 32 groupes et solistes de musiques folk, rock, soul et blues. Le budget de rémunération des artistes atteignit au total 200 000 dollars. C'est un des plus grands moments de l'histoire de la musique populaire, classé par le magazine Rolling Stone parmi les 50 moments qui

Titre : La complainte du progrèsGenre : chanson /complainteAuteur : Boris VianDate/période : 1956 /‘‘les trente glorieuses’’ (1945-1975Dimension :Lieu : FranceTechnique : complainte | La description de l’œuvre | Formation vocale : Une voix masculine soliste chantée, parfois proche de la voix parlée. * Formation instrumentale : Jazz band avec section rythmique (batterie, piano, contrebasse) et section mélodique (flûte traversière, trompette, clarinette, saxophone, xylophone.) * Rythme  de danse latino-américaine

la colonne d’harmonie et du Vénérable Maître. Il s’agit des suites de Bach, interprétées au violoncelle par Alexander Kniazev. Ce choix m’a semblé judicieux car le soliste par son interprétation très sobre illustre bien la recherche de l’essentiel, du vrai, tout comme celui qui taille la Pierre Brute. Pour moi le travail de ce soliste symbolise l’introspection, alors que la symphonie symbolise plus la construction collective.