Somme

disparus) est évalué à 379 000 et du côté allemand, à 335 000. ➢ Bataille de la Somme Le 14 février 1916, le général Joffre et le général Haig décident pour le 1er juillet une grande offensive sur la Somme. L'objectif de base est de reprendre les territoires du Nord occupés par les Allemands. Après l’attaque de Verdun, les plans de Joffre sont gênés. Il maintient l'offensive sur la Somme, où il ne s'agira plus de «percée» mais d'«usure». A cause de Verdun, on n'engage, côté français

d'établissement de connexion. o FIN : si ce drapeau est à 1 la connexion s'interrompt. Fenêtre (16 bits) : Champ permettant de connaître le nombre d'octets que le récepteur souhaite recevoir sans accusé de réception Somme de contrôle (Checksum ou CRC) : La somme de contrôle est réalisée en faisant la somme des champs de données de l'en-tête, afin de pouvoir vérifier l'intégrité de l'en-tête Pointeur d'urgence (16 bits) : Indique le numéro d'ordre à partir duquel l'information devient urgente Options (Taille

comme le gaz de combat nécessite de la mobilisation des industries ainsi que des troupes coloniales. La guerre devient alors totale. Les offensives alliées pour rompre le front Ouest sont inefficaces et meurtrières puisque lors de la bataille de la Somme en 1916, les Britanniques laissent périr derrière eux 500 000 de leurs hommes. D e leur côté, les allemands tentent d’épuiser l’armée française en l’obligeant à une résistance acharnée à Verdun. C’est une guerre d’usure car il n’y a aucun vainqueur

espaces d'un K – espace vectoriel V, on définit leur somme W1 + W2 par: W1 + W2 = {w1 + w2| w1 ∈ W1, w2 ∈ W2} Si W1, W2 sont des sous – espaces de V, alors W1 + W2 et W1 ∩ W2 sont des sous – espaces de V. Remarques: W1 ∩ W2 est le plus grand sous – espace contenu à la fois dans W1 et dans W2 W1 + W2 est le plus petit sous – espace contenant à la fois W1 et W2 Soient W1, W2 des sous – espaces d'un K – espace vectoriel V. On dit que V est la somme directe de W1 et W2,et on note V = W1 ⊕ W2, si les deux

liaison II : Espace de dimension finie 1) Théorème fondamental 2) Théorème de la dimension des bases 3) Théorème de la base incomplète 4) Dimension d'un sous–espace vectoriel 5) Rang d'un système de vecteurs III : Somme de sous–espaces vectoriels 1) Somme de deux sous–espaces vectoriels 2) Somme directe de deux sous–espaces vectoriels 3) Supplémentaires 4) Cas de la dimension finie IV : Espaces affines 1) Définition 2) Barycentres 3) Sous-espaces affines 4) Parties convexes Annexe : un exemple de changement

Espaces vectoriels K d´signe le corps R ou C e I. Structure d’espace vectoriel 1. D´finition d’un espace vectoriel e 2. D´finition d’une alg`bre e e II. Sous-espace vectoriel 1. D´finition e 2. L’intersection de sev est un sev III. Somme de deux sev 1. D´finition e 2. Somme directe 3. Sous-espaces suppl´mentaires e IV. Sous-espace engendr´ par une partie e V. Espace vectoriel produit VI. Applications lin´aires e 1. D´finition e 2. La compos´e de deux application lin´aires est une application lin´aire

ker(v). Prenons y ∈ Im(u). Alors y = u(x) pour un x dans E. Nécessairement, on a v(x) = f (u(x)) = f (y) et donc f doit être définie sur Im(u) par f (y) = v(x) pour y = u(x). On considère donc un supplémentaire S de Im(u) dans F et on définit f sur la somme directe Im(u) ⊕ S par f (y) = 0 si y ∈ S f (y) = v(x) si y ∈ Im(u) et y = u(x). Cette définition a bien un sens. En effet, si y = u(x1 ) = u(x2 ), alors x1 − x2 ∈ ker(u) ⊂ ker(v) et donc v(x1 ) = v(x2 ). De plus, f ainsi défini est bien linéaire. Il suffit

mitrailleuses, gaz. 2. Conduit à des victimes et des destructions de masse Boucherie sans précédent Tués par jour : 900, France 1300, Allemagne 1400, Russie La bataille de la Somme ne fut jamais égalée : 20.000 tués et 40000 blessés britanniques Guerre de position, défensive, des batailles qui durent + de 5 mois pour la Somme, 10 mois pour Verdun : traumatismes durables chez les blessés. La solitude au combat et la durée de la guerre. LA GURRE TOTALE MODÈLE L’EXPÉRIENCE

armées souffrent. Ils veulent en finir rapidement avec cette guerre. Pour cela, l'état major français dirigé par le général Joffre décide de préparer une offensive importante sur la Somme. Il retire l'artillerie lourde des forts proches de la ville de Verdun parce qu'il en a besoin pour préparer son offensive dans la Somme. L'état major allemand dirigé par Falkenhayn décide d'attaquer la ville de Verdun et ses forts. Falkenhayn savait que les Français étaient résolus à se battre jusqu'au bout pour garder

met en place une liaison entre Bar-le-Duc et Verdun, appelée plus tard "Voie Sacrée". Celle-ci permet d'approvisionner le front en matériel, nourriture et d'assurer la relève des soldats 6. Qu’est-ce qui a motivé la bataille de la Somme ? l'offensive sur la Somme est lancée pour soulager le front de Verdun 7. A combien s’élèvent les pertes en hommes ? plus de 700 000 victimes : 306 000 tués et disparus et environ 400 000 blessés 3 III. Verdun, une bataille symbole de la Première Guerre