Sommes Nous Prisonniers De Notre Passé

Question 1 : En quoi les arts sont-ils efficaces pour surmonter des traumatismes ? Introduction : Nous nous sommes longtemps interrogés sur la manière de dire l’indicible, exprimer ce qui nous parait insurmontable et qui nous plonge dans le silence.Le langage parlé devient restreint et condamne l’homme à mourir de l’intérieur et à faire mourir en lui ce qui le préoccupe. Ainsi, au travers de divers exemples je vais tenter d’apporter des réponses à la question suivante : En quoi les arts sont-ils

Suis-je ce que mon passé a fait de moi ? On passe son enfance entouré des mêmes personnes qui ont chacune leur propre manière de s'exprimer, des façons différentes de voir les choses et une pensée qui leur est propre. En tant qu'enfant on se construit en prenant en compte inconsciemment les comportements de toutes ces personnes. On cherche à imiter une personne que l'on aime ou que l'on admire et l'on refuse de ressembler à celles qui nous déplaisent. Notre enfance nous façonne afin de devenir

il aurait fallu que l'Homme et son inconscient soient deux personnes étrangères l'une à l'autre. Mais mon inconscient c'est moi ou plutôt une partie de moi. Donc l'inconscient d'un homme est une partie de lui-même. On peut ainsi déduire que nous sommes dominés par notre inconscient alors même qu'il fait partie de notre personne. Ainsi, la liberté est de devenir totalement maître de soi même en sortant de l’esclavage et du rôle d'esclave, afin de disposer librement de sa personne. On peut alors

politique ne fait que transformer la réalité 2. Les plus grands font de la langue leur allié pour tromper les plus faibles. La langue à l'origine est un outil qui permet de nous exprimer et de se comprendre entre homme. Mais aujourd'hui les années passées ont fait qu'elle est devenue un outil servant à manipuler les plus faibles, et qu'à travers elle il nous est impossible d'être libre. La langue permet-elle encore aujourd'hui la liberté d'expression ? Les documents étudiés sont tout d'abord un

: la séance de déshabillage ; II : la séance de tonte et de rasage ; III la douche ; IV : l'habit des déportés ; V : séance de tatouage et fin de la première journée au camp. Description et règlement du camp ; les différentes catégories de prisonniers ; les conditions de travail: après quelques jours passés au camp, Primo Levi découvre toute l'horreur de la déshumanisation, de la violence des privations et des conditions de vie, dans un décor sordide sans repères temporels possibles si ce n'est

surmonter cette ignorance. Le point commun entre ces deux motifs humain, c’est la liberté. Les hommes ont besoin de vérité parce qu’elle rend libre. En revanche, l’ignorant n’est pas libre, il est prisonnier de son ignorance dont on peut très facilement abuser. De la même façon, le menteur est prisonnier de son mensonge « puisque personne n’a suffisamment de mémoire pour vivre dans le mensonge perpétuel » et parce que la réalité peut donner la preuve du fait que nous avons menti. La vérité concerne

sincèrement progresser ne doit pas se tromper de cible. Durant l’Initiation templière, le néophyte était enfermé dans une prison sombre, froide et humide comme l’étaient tous les cachots de l’époque. Pendant de longs mois, l’apprenti écuyer restait ainsi prisonnier au cœur de la forteresse. Un jour le gardien en lui remettant le pain et l’eau, lui chuchotait à l’oreille en lui montrant les raies de lumière : « De l’autre côté de la porte, il y a un soleil chaud et lumineux. » Bien souvent, l’initiable hochait

pénitentiaires accueillaient plus de détenus qu’ils n’y avaient de places. La peine de mort serait une autre forme de sanction qui permettrait de décharger les prisons. 2) La société Deuxièmement, pour une question d’humanité, à notre époque nous sommes capables de trouver une place pour chacun dans la société même si cette personne a fait des choses mal elle a le droit à la vie comme tout le monde. De plus, aujourd’hui, cela serai très mal vu d’exécuter une personne car nous avons appris à vivre

déterminant. Je suis le prisonnier de l'image que je renvois. Autrui me force à être le spectateur de moi-même. La honte est reconnaissance: je reconnais que je suis comme autrui me voit. Le regarde de l'autre est un verdict qui signale une certaine vérité puisque j'ai honte. Et si j'ai honte c'est que je reconnais son verdict. Autrui fait de moi un objet parmi les autres. Pendant que l'autre me juge, en même temps moi aussi je le juge, et j'en fait mon objet. Nous sommes donc simultanément sujet

conditions de l’enfermement ?Introduction Œuvre majeure : A la santé – Guillaume Apollinaire -introduction -étude du poème -interprétation -conclusionŒuvres secondaires : - The Cell Door – Nelson Mandela - La ronde des prisonniers – Vincent Van Gogh - Les Evadés – Frank Darabont - Betty – Bernard LavilliersIntroduction :L’enferment, qu’il ait lieu à court terme ou à long terme créer un choc traumatique chez ceux qui le subisse. Il marque à vie et laisse des traces dans la