Sommes Nous Responsable De Nos Actes

sur l’homme. Il est alors paradoxale car il nous invite à dépasser l’idée que Dieu nous crée. Ainsi, la thèse que Sartre soutient est que l’homme se façonne seul, avec aucune force ou aide extérieur à lui-même. En effet, l’homme est libre mais responsable de lui-même, il ne peut tenir un autre pour coupable de son sort ou de son destin. Ainsi, il est seul face à sa conscience et à sa raison. C’est alors à juste titre que l’on peut envisager le problème qui aurait pu être imposé à Sartre ; qu’est-ce

par l'apprentissage ou l'expérience. - Comme verbe, avoir appris quelque chose, et pouvoir le dire, le connaître, le répéter. Cependant, pour savoir ce que l’on fait, nous devons savoir qui sommes-nous nous-mêmes. Mais qui sommes-nous nous-mêmes ? Faire : Ce qui est ou ce qui arrive, et qui se donne ou même s'impose à nous dans l'expérience. On distingue souvent le fait brut, qui s'offre immédiatement à l'observation dans

hommes et de nombreuses femmes se sont battus. Aujourd’hui, nous la revendiquons tous au nom de la dictature du bonheur. Mais à quel prix pouvons-nous exercer notre liberté ? Nous en sommes fiers sans pour autant nous en montrer responsable. La fierté de pouvoir s’exprimer pleinement libre et responsable de ses actes est personnifiée par Oreste, héros du mythe grec de l’Orestie. « Je suis ma liberté ! » ainsi affirme Oreste qui, sous le blâme de Jupiter, assume jusqu’au bout le parricide et le matricide

refoulé hors du champ de la conscience. L'inconscient est une instance du psychisme humain (le ça), lieu des pulsions, dominé par le principe de plaisir. Le sujet ne contrôle pas son inconscient, et pourtant certains de ses actes sont l'effet de mobiles inconscients. De tels actes sont-ils toujours imputables au sujet ? Ainsi, le terme d'inconscient renvoie d'une part à tout ce qui n'est pas conscient (le non-conscient en général) et d'autre part à une réalité psychique possédant une structure et un

soumet au principe de plaisir. Il est injurieux de traiter quelqu’un d’inconscient car cela signifie que les personnes ne sont pas responsables de leurs actes. Ainsi, sont déclarés inconscients par la justice, les hommes qui aux moments de leurs faits, n'avaient pas la faculté de discerner ce qu'ils faisaient et de se rendre compte de la réalité de leurs actes. Le monde extérieur n’est plus présent pour eux. Dès lors, traiter quelqu'un d'inconscient, c'est lui reprocher de ne pas se servir de

liberté au sens morale suppose la responsabilité de ses actes et la possibilité de choisir entre le bien et le mal. Ce texte est un texte polémique car Sartre expose une thèse qui va a l'encontre de l'opinion publique et qui à pour problème de quoi sommes nous responsable. Pour Sartre , l'homme est libre , il a donc toujours le choix de ses actes , rien ne peux nous être imposé. Sommes nous vraiment toujours responsable et libre de nos actes ? L'enjeu de ce texte est donc de savoir si la thèse

Sur quoi se fonde notre responsabilité morale ? Etres responsable, c’est être en état de répondre. Mais répondre de quoi, et à qui, et pourquoi aurions-nous à répondre ? Devenir majeur, entrer dans la société civile, c’est être immédiatement posé comme « personne » par un réseau de responsabilités définies par la loi. Mais au-delà de ces obligations juridiques, dans quoi s’enracine notre responsabilité ? NOS RESPONSABILITÉS POSITIVES Les limites de nos responsabilités sont d’abord définies

conscient de notre existence, nous sommes des êtres dotés d'une conscience, cette partie est appelée le Moi. Mais depuis quelques années, l'hypothèse de l'inconscient est née et semble imaginable car il nous était impossible d'expliquer certains comportements observés avec seulement les outils et le rôle de la conscience Cette partie serait bien plus étendue et aurait bien plus d’impacts sur nous que notre conscience n'en a déjà et remettrait donc en question les actes la capacité réflexive du sujet

Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ? Le sujet peut parfois faire une chose qu'il ne veut pas, il peut agir, faire des actions sans pour autant être totalement conscient de se qu'il fait. Cependant,nous sommes des sujets capable de savoir ce que nous faisons et ainsi en être responsable. Peut-on alors ne pas savoir ce que l'on fait ? L'homme ne cesse de s'interroger sur se qu'il fait ou lui semble avoir fait, mais il a acquis des connaissances qui lui sont utile et ainsi peut faire des choses

dans la forêt par exemple, mais aussi perdre une personne, perdre un objet. Mais qu’elle est le sens philosophique de « se perdre soi-même » ? Se perdre soi-même peut signifier, être dans un état physique ou mental qui ne nous rend plus responsable de nos actes. Cela peut vouloir dire, est ce que c’est possible de ne plus se reconnaitre ... d’être tellement hors de soi qu’on n’est plus la personne qu’on est depuis toujours ; ou est ce que cet état n’existe pas et n’est qu’un moyen d’exprimé notre