Sommes Nous Responsable De Nos Désirs

Dissertation : Suis-je responsable ou non de mes faits et gestes? Introduction : Les notions de responsabilité et de conscience sont ici présentées. Se dire responsable c'est reconnaître que l'on est la cause et l'auteur de ses actions, c'est aussi être l'auteur d'un acte issu d'une décision libre. Avoir conscience signifie que nous sommes un être présent dans le monde, un sujet pensant et clairvoyant. Lorsque je suis conscient, je deviens responsable de chacun de mes actes. En tant qu’être

qu’elles sont bonnes mais nous les estimons bonnes car nous les désirons ». On place la raison avant la volonté, elle intervient en premier. Spinoza inverse le schéma de délibération de l’action. Pour Spinoza, nos désirs sont dictés nécessairement par une volonté déterminée. Les désirs sont premiers par rapport à la raison qui donne ensuite des arguments pour aimer tel ou tel objet. C’est la rationalisation. Rationalisation : raison qui est de mauvaise foi, qui se trouve des justifications à ce

liberté : la théorie du libre arbitre a) Tout homme se juge spontanément libre Dans le langage courant, la liberté renvoie au pouvoir que possède tout homme de n’obéir qu’à lui-même, qu’à sa propre volonté, et d’agir uniquement en fonction de ses désirs, indépendamment de toute contrainte ou de toute pression extérieure. Tout homme se sent donc spontanément libre, tout simplement parce qu’il se croit capable de faire des choix de petite ou de grande importance, de prendre des décisions, de petite

qu’une seule règle : trouver la satisfaction, le plaisir. Ces pulsions sont censurées par le surmoi et refoulées par le moi qui les maintient dans le ça. Dans ces pulsions, ces désirs nous pouvons prendre l’exemple du complexe d’Œdipe. Le complexe d’Œdipe est en effet un moment crucial de l’enfance où se manifestent deux désirs contraires et ambivalents : le désir d’inceste et le désir de parricide. Avec l’hypothèse freudienne, un sujet souffrant du complexe d’Œdipe et ne parvenant pas à surmonter cette

Freud Preuves de l'existence de l'inconscient Actes manqués Rêves Symptômes névrotiques Interprétation d'après Freud Actes qui manquent leur but, qui révèlent les désirs refoulés (ex : lapsus) Sens caché, expression déformée d'un désir refoulé Symbolisme des rêves « Le rêve est la voie royale vers l'inconscient » Freud Satisfactions de désirs sexuels refoulés Signification symbolique C. Psychanalyse = science de l'inconscient ? - « Les vérites de la psychanalyse » (Freud) sont-elles des vérités scientifiques 

ne nous disons pas « J’ai conscience de voir un arbre ». Nous nous contentons de sentir, de percevoir le monde, de vivre sans y réfléchir. L’Homme n’est pas toujours conscient et accompagné de savoir. Si, nous sommes conscients, car nous pouvons nous demander « Où suis-je ». Nous sommes donc conscients au sens de la conscience spontanée qui accompagne toute notre vie. Nous pouvons toujours nous poser la question « Que suis-je en train de vivre » ? La conscience spontanée nous accompagne tout le

actions, nous sommes tous responsable d’une manière ou d’une autre de ce qui se passe à l’autre bout du monde ? L’intervention militaire américaine en Irak , l’ouragan Katrina qui a frappé les États-Unis en 2005, les grandes inondations en Chine un peut plus tard, les problèmes de sécheresse au Niger , tout ces événements catastrophiques ont-ils un lien avec nos comportements et nos actions quotidiennes ? D’une part, est-ce bien nos comportements qui pourraient nous rendre responsable de ces événements

tout à fait subjectif qui peut être trompeur. L'identité que tout homme se donne est instable car elle change au gré de ses désirs. Il est donc compliqué de prendre conscience de soi lorsque que celle ci repose sur la prise de conscience d'un autre tandis que nous agissons comme autrui nous voit. Est-ce que l'Autre pourrait donc me permettre d'être certaine de ce que nous sommes ? Pour démontrer sa thèse, Hegel utilise un mode de raisonnement déductif. Il déplace son analyse de la conscience en général

que la volonté, ou liberté de décision, que j’expérimente si grande en moi que je n’ai idée d’aucune autre plus grande; si bien que c’est elle principalement qui me fait reconnaître que je porte une sorte d’image et de ressemblance de Dieu“ Nous ne sommes pas pour autant aussi libres que Dieu. A quoi cela tient-il ? Au fait que notre entendement, c’est-à-dire notre pouvoir de connaître est tout à fait limité, et, aussi, au fait que notre puissance est limitée : je ne peux vouloir ce que je ne peux

inaperçues de la conscience. Alors elle ne pense pas, ne raisonne pas mais est esclave de ses pulsions. On ne peut que reconnaître que nous sommes incapable de saisir toute la signification de nos paroles. C'est donc une réalité de notre esprit qui entraîne notre inconscient à faire sortir des désirs ou des fantasmes qui contiennent elle même des désirs refoulés. Ces désirs ne peuvent pas arriver jusqu'à la conscience à cause de la force du refoulement. Le conscient ne percevra pas ces idées tant elles sont