Somoza

2011 au Nicaragua a été marquée par la réélection du Président Daniel Ortega, l’ex-commandant révolutionnaire, leader incontestable du Front sandiniste de libération nationale (FSLN), qui mit fin par les armes en 1979 à la dictature de la famille Somoza. Ayant remporté le Parlement avec une majorité qualifiée, le Président Ortega exercera son troisième mandat avec les pleins pouvoirs, qui lui manquaient jusque-là. Le Nicaragua dispose de ressources forestières, minérales, agricoles, mais est extrêmement

dans sa sphère d’influence, les Etats-Unis sont toujours ternis par la guerre du Vietnam et tentent de sortir de cette impasse. Ainsi, le président Carter reste passif lorsque la guérilla sandiniste l’emporte en 1979 sur le régime dictatorial des Somoza au Nicaragua. Voulant rompre avec les deux années du président Ford, Jimmy Carter énonce une nouvelle doctrine qui consiste à restaurer l’image des Etats-Unis. Pour cela, il rompt avec l’échec du Vietnam, la diplomatie secrète. De plus, la politique

militaires des États-Unis d'Amérique qui y voyaient la possibilité d'y creuser un canal entre Atlantique et le Pacifique. Le pays est troublé par des périodes prolongées de dictature militaire, la plus dure étant sans doute le règne de la famille Somoza au début du XXe siècle. Entre 1927 et 1933, le général Augusto Sandino d'obédience libérale mena une guérilla, d'abord contre le gouvernement conservateur, puis contre les forces américaines. Il fit la déclaration devenue célèbre : Si cent hommes

contrôle la mer Rouge).- En Amérique latineLe désengagement américain laisse le champ libre aux forces révolutionnaires qui parviennent parfois à prendre le pouvoir : c’est le cas en 1979 dans l’île de la Grenade, mais aussi au Nicaragua où le dictateur Somoza abandonné par les E-U est renversé par une révolution de type marxiste mené par les sandinistes de Daniel Ortega. Conclusion partielle : De 1962 à 1975, les relations soviéto-américaines connaissent donc une embellie, jusqu’à ce que les limites de

traduisait cette nouvelle orientation basée sur le multilatéralisme et la non-intervention. Il privilégie également les relations avec les pays du tiers monde. Il tend la main à Fidel Castro sans résultat. Il suspend également l'aide militaire au régime de Somoza au Nicaragua et, à la chute de ce dernier, favorise la formation d'un gouvernement comprenant les sandinistes. Mais la prise de la totalité du pouvoir par ces derniers et leur rapprochement avec Cuba est une humiliation pour la diplomatie américaine

accords Salt 2 - Peu de rencontre au sommet entre Usa et Urss L’Urss boycottera à leurs tours les Jo de Los Angeles. Sous Carter « le recul diplomatique » d’où les Usa recule en Amérique centrale, aux Niagara chute du régime pro-américains sous Somoza, en Iran le Chah Khomeiny pro-américains part faire la révolution Islamique. 3 – Sous Reagan, la contre offensive 1) « Ameria is back » L’interventionnisme Américain (Doc 3 p101) La 2eme élection de Reagan provoque l’endiguement contre

la mer Rouge). - En Amérique latine Le désengagement américain laisse le champ libre aux forces révolutionnaires qui parviennent parfois à prendre le pouvoir : c’est le cas en 1979 dans l’île de la Grenade, mais aussi au Nicaragua où le dictateur Somoza abandonné par les E-U est renversé par une révolution de type marxiste mené par les sandinistes de Daniel Ortega. Conclusion partielle : De 1962 à 1975, les relations soviéto-américaines connaissent donc une embellie, jusqu’à ce que les limites de

communalistes, asiatiques en particulier. S’ajoute une caractéristique majeure : la force ou la faiblesse des insurgés est moins une question de niveau militaire que de solidité et de légitimité de l’État concerné. C’est Batista qui a fait Castro, et Somoza les sandinistes, l’un et l’autre ayant corrompu et dégradé l’État, au point de faciliter grandement la victoire de leurs ennemis . Leurs cas restent particuliers : car, en dehors du Sentier lumineux péruvien, toujours actif, malgré l’arrestation de

parfaitement informée à ce sujet qu'elle pourrait le désirer, la Cour considère comme établi que certaines incursions transfrontières sont en fait imputables au Nicaragua. 3. L'arrêt rappelle certains faits survenus au moment de la chute du président Somoza car ils ont été invoqués par les Etats-Unis pour démontrer que l'actuel Gouvernement du Nicaragua viole certainesassurances données par son prédécesseur immédiat. II évoque en particulier le «plan pour la paix» adressé par la junte gouvernementale

désormais au camp socialiste. Cette proximité d’un pays “ami de l’URSS” avec le territoire américain est intolérable pour Washington. Dès lors, les Etats-Unis pour ne pas intervenir directement, arment des anti-castristes partisans de l’ancien dictateur Somoza et organisent un débarquement le 17 avril 1961 dans “la baie des cochons”. C’est une déroute pour les assaillants et Kennedy nouvellement élu est contraint d’endosser toute la responsabilité de l’échec. Mais Washington prend deux mesures de rétorsion