Sonderkommando

moment où l’horreur et la mort ont été présentes pour des personnes qui n’avaient comme seuls « défauts » que d’être juif. Mais il n’y a pas que la musique qui a été un témoin de l’Holocauste. Par exemple les dessins de David Olère, un membre des Sonderkommandos montre l’atrocité des nazis dans les camps d’extermination avec la Solution Finale. . Opérette de Germaine Tillon Ravensbrück http://pedagogie2.ac-reunion.fr/lettres/TL/Levi-DP_musique.htm

Pourquoi peut-on parler d’une extermination industrielle ? Les nazis organisent l’extermination des juifs et des tsiganes en utilisant des procédés industriels : train pour acheminer plus rapidement les victimes, tri des affaires et recyclage les Sonderkommandos (commandos spéciaux juifs). Le travail est minuté et se fait à la chaine pour accélérer la productivité. b) Une organisation planifiée à l’échelle européenne. Les camps d’extermination et de concentration sont reliés par une réseau ferré

arrivants des trains à se déshabiller, puis ils classent les vêtements et objets en tas correspondants : les chapeaux, les manteaux, les lunettes, … Certains jours, ils chargent tous ces objets dans les trains vides, qui repartaient avec. Les Sonderkommandos doivent aussi ramasser les cadavres qui ont été gazés dans les chambres à gaz, et les mettent dans les fosses creusées par l’excavatrice. Les prisonniers reçoivent une fois par jour une gamelle d’eau avec quelques pommes de terre et sont logés

ancré dans le réel, qui naît de la confrontation entre la mémoire des hommes et ce qui reste matériellement du passé : les traces  C’est un film d’interviews :  Mémoire des victimes avec des interviews des survivants : échappés d’Auschwitz, sonderkommandos, survivants d’autres centres d’extermination sans véritable camp (Chelmno : camions à gaz) : il s’agit de les faire témoigner avant qu’ils ne disparaissent.  Mémoire de bourreaux avec les interviews d’anciens SS responsables de camps  C’est

de mise à mort que des camps de concentration. Dans ces deux camps, les déportés sont triés à leur arrivée et l’assassinat des personnes jugées inaptes au travail se fait dans des chambres à gaz maquillées en douches. Des commandos spéciaux (Sonderkommandos) de prisonniers sont chargés de faire disparaître toute trace des corps des victimes dans les fours crématoires. Les déportés les plus robustes sont soumis au travail forcé jusqu’à la mort. •Les défaites allemandes successives conduisent les

de Juifs ont déjà été gazés (dans des chambres à gaz fonctionnant au monoxyde de carbone, ou avec de l’acide cyanhydrique plus connu sous le nom de Zyklon B). Une extérmination à Auschwitz une des rares photographies prises par un membre du sonderkommando juif charge de bruler les corps des victimes gazées venant d’être sorties des chambre a gaz Plan du centre d'extermination de Treblinka Les dimensions de ce camp sont très réduites par rapport à celles d'Auschwitz D’autres camps plus connus

lorsqu'ils sont venus pour la première fois dans les camps. Les SS considéraient toutes ces manœuvres secrètes c'est pourquoi ils faisaient disparaître toutes preuves : comme les traces de gazages. Les prisonniers, plus précisément les « Sonderkommandos » étaient obligés d'enlever les corps morts des chambre à gaz pour ensuite les incinérer. Ainsi, toutes traces de leurs crimes étaient effacés. C) Les opposants Il y eut une certaine opposition allemande contre l’État nazi. Les opposants

hommes et les femmes avec les enfants. Les « docteurs » les sélection (le plus connu est Mengele)-> ce qui vont travailler et ceux qui sont déterminés à l´extermination immédiate et en plus les gens pour les expériments pseudo-médicaux - « sonderkommando » - ceux qui s´occupent des chambres à gaz-> ils sont isolés et bien tôt tués - les nazis veulent déshumaniser les prisonniers - il y a une hièrarchie dans les baraques- les chefs dans chaque baraque, ils sont appelés Kapo 4. Le bilan

esclaves dans les camps de concentration et leurs satellites, tous les autres sont tués. Les corps sont ensuite brûlés dans des fours crématoires après avoir été dépouillés. Ce processus est connu grâce aux témoignages courageux des déportés des Sonderkommandos chargés de ce « travail ». Il y a aussi parfois des révoltes comme celle du ghetto de Varsovie en avril 1943. • 20 à 25 % des tsiganes ont également été tués pendant la guerre (200 000 personnes environ : les estimations sont difficiles à faire)

esclaves dans les camps de concentration et leurs satellites, tous les autres sont tués. Les corps sont ensuite brûlés dans des fours crématoires après avoir été dépouillés. Ce processus est connu grâce aux témoignages courageux des déportés des Sonderkommandos chargés de ce « travail ». Il y a aussi parfois des révoltes comme celle du ghetto de Varsovie en avril 1943. • 20 à 25 % des tsiganes ont également été tués pendant la guerre (200 000 personnes environ : les estimations sont difficiles à faire)