Sonnet 13 Du Bellay

temps, inversement, les ambassadeurs étrangers, ou les hommes qui accompagnent leurs souverains en Italie, ne manquent pas de décrire ce qu’ils y voient (ex. Commynes), et se joignent sur place aux groupes humanistes (ex Lazare de Baï f, ou Jean du Bellay, qui emmène avec lui à Rome Rabelais et son neveu Joachim, le poète). La pratique, traditionnelle, des « cadeaux diplomatiques » joue au XVIe siècle son rôle dans la diffusion d’objets italiens réputés, tels que armes, armures, médailles, livres

l’histoire ? 6. Comment étudier le temps du récit ? 7. Comment étudier l’espace du récit ? 8. Comment étudier un texte littéraire lors de l’épreuve écrite ? 9. La poésie 10. Notions élémentaires de versification 11. Les figures de style 12. Le théâtre 13. Le champ lexical 14. Le registre 15. L’étude de l’ironie 16. L’implicite 17. Les formes de l’argumentation 18. Les liens logiques ou connecteurs 19. De la structure du paragraphe au schéma analytique du texte argumentatif 20. Étayer, réfuter une thèse

roman, poésie, théâtre, essai, même si ce dernier a été cette année le moins exploité. La longueur des textes ne peut se satisfaire de normes contraignantes et obéit à un principe naturel de cohérence. Paraît-il plus facile d’expliquer un sonnet de Du Bellay que trois pages de Queneau, une courte scène de Racine qu’un long extrait de Beaumarchais ? Que les candidats se rassurent : l’examinateur a quelque conscience de la relative accessibilité de tel texte, de tel style, voire de tel auteur, et

[Amorce] Les définitions de la poésie, de ses fonctions, et plus précisément de ses rapports avec le monde, sont souvent contradictoires et les poètes manifestent à l’égard du réel un mélange d’attirance et de répulsion. Ainsi, Charles Cros, dans « Sonnet », se décrit comme un individu décalé : « Moi, je vis la vie à côté,/ Pleurant alors que c’est la fête. » Pour Balzac au contraire, seul le poète est capable d’« exprimer la réalité ». [Problématique] Pourquoi peut-on dire que la poésie est particulièrement

mythologiques Ecrivez brièvement tout au long de votre lecture qui sont les personnages suivants, et leurs liens avec les autres personnages : Orphée (Orphée, p. 13) : _____________________________________________________________________ Jason (Orphée, p. 13) : __________________________________________________________________ _____ AEson (Orphée, p.13) : ______________________________________________________________________ OEagre(Orphée, p.14), roi : ___________________________________________________________________

procurent du plaisir. Tout se passe comme si la poésie maintenait le souvenir de cet ancien plaisir du corps (cf. A. Spire, Plaisir poétique, plaisir musculaire, qui souligne la parenté des rythmes corporels et des rythmes langagiers dans la poésie). 13. La poésie et le rêve La suspicion jetée sur les poètes a parfois conduit à accentuer l’antinomie entre poésie et réalité : les poètes fabriqueraient des chimères, s’enfermeraient dans leurs prétentions à vivre leur rêve. Le rêve et la poésie manifestent

littérature est devenue une haute valeur culturelle depuis le milieu du xixe siècle, entre 1830 et 1850. C'est la thèse de Paul Bénichou, qui, dans Le Sacre de l'écrivain, 1750-1830, fait l'histoire de la « dignification de la littérature profane » (p. 13), c'est-à-dire l'émancipation de la littérature par rapport à l'autorité de la religion, et même la substitution de l'autorité de la littérature à celle de la religion. Les écrivains devinrent les héros et les saints du xixe siècle. Sartre, dans Qu'est-ce

| | | |Objet d’étude : |13 – Marivaux, L’Ile des esclaves, scène 6 : du début à « [...] vous |Œuvres intégrales : | |Un mouvement littéraire : les Lumières |gâtez tout » , 1725

délibérer, persuader Le théâtre : texte et représentation Problématique : Une littérature qui se masque pour mieux démasquer Etudes transversales et thématiques : - Une littérature de combat - Le libertinage : la face sombre des Lumières 13 – Marivaux, L’Ile des esclaves, scène 6 : du début à « [...] vous gâtez tout » , 1725 14 – Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, II, « Les adieux du vieillard tahitien » : « C’est un vieillard [

dits ‘français’ révèlent une diversité, une variance, une graphie erratique (même à l’intérieur du même manuscrit) qui empêche toute désignation monolithique ou générique de l’ensemble. 1.3 La ‘littérature’ ‘française’ Cf. [Real, 2002:12-13] LR: [Zink, 1990:13-16] La plupart des textes médiévaux nous sont parvenus dans de pénibles conditions de conservation, dans peu de manuscrits que le temps a gravement abîmés et mutilés. La portion de textes conservés reste donc une partie minimale de la production