Sonnet Au Lecteur De Musset

 Rêveries  du   Promeneur  Solitaire  et  Jacques  le  Fataliste   -­‐  Auteurs:     •  Victor  Hugo  (1802  –  1885):  Hernani,  Les   Contempla&ons  («  Pauca  Meae  »)   •  Alfred  Musset  (1810  –  1847):  «  Le   Pélican  »   •  Gérard  de  Nerval  (1808  –  1855):  «  Une   Allée  du  Luxembourg  »   •  Chateaubriand  (1768  –  1848):  Mémoires   d’outre-­‐tombe

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Alfred de MUSSET (France) (1810-1857) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Lorenzaccio’’, ‘’Le chandelier’’ et ‘’La confession d’un enfant du siècle’’ qui sont étudiés dans des fichiers à part). Bonne lecture ! Louis Charles Alfred de Musset-Pathay naquit le 11 décembre 1810 à Paris, au seuil du quartier Latin, 33 rue des Noyers (aujourd’hui, 57 boulevard Saint-Germain)

C’est cette quête du naturel, de l’expressivité, de la richesse qui conduit les romantiques à redécouvrir toutes els formes fixes : rondeau, odelette, ballade, sonnet. Tout cela n’exclut pas un certain classicisme, la recherche de la régularité, d’une certaine sobriété, de plus de concordance entre la phrase et le vers. Chez Musset c’est la volonté d’un minimalisme formel pour une expression naturelle des sentiments, chez Vigny la forme classique est adéquate à la concentration poétique

sentiments. Les poètes y privilégient l'expression du moi et non le jeu formel de la langue. Alfred de Musset définit le poète comme étant un être "tourmenté et sensible" et il affirme que "les chants les plus désespérés sont les chants les plus beaux". C'est ainsi que la poésie amoureuse, comme son nom l'indique, évoque les déceptions de passionnés ou les unions impossibles. Dans le Madrigal, Sonnets pour Hélène I, Ronsard, poète du XVIème siècle, définit le verbe "aimer" en évoquant ses sentiments

; – Michaux : « La Cordillera de los Andes », p. 230. • Un groupement sur « l’inspiration poétique » : – Boileau : « Art poétique », p. 195 ; – Fourcade : « Cache-toi objet », p. 237. • Un groupement sur « la femme dans le poème » : – Malherbe : « Sonnet à Caliste », p. 194 ; – Baudelaire : « L’Invitation au voyage », p. 208 ; – Apollinaire : « Poèmes à Lou », p. 220 ; – Aragon : « Cantique à Elsa », p. 247 ; – Senghor : « Il a plu… », p. 234 ; – Bonnefoy : « Le Myrte », p. 235. 2. Une séquence

pléiade : La Pléiade est un groupe (d'abord nommé « la Brigade ») de sept poètes français du XVIe siècle. Ils défendent en même temps l'imitation des auteurs gréco-latins et la valeur culturelle de la langue française. Ils imposent l'alexandrin et le sonnet comme des formes poétiques majeures. Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur

remèdes aux maux de la vie. • La poésie suggère plus qu'elle ne dit explicitement, comme les sentiments qui prennent souvent des détours pour s'exprimer. • Pour l'amour, plus spécialement : o l'amour implique la folie, la poésie aussi... : cf. Musset : « Amour, fléau du monde, exécrable folie » ; o poésie et amour transportent dans un autre monde ; o une citation intéressante : « Tant qu'il y aura des yeux reflétant les yeux qui les regardent ; tant qu'une lèvre répondra en soupirant à la lèvre

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Alfred de MUSSET (France) (1810-1857) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Lorenzaccio’’, ‘’Le chandelier’’ et ‘’La confession d’un enfant du siècle’’ qui sont étudiés dans des fichiers à part). Puis est tentée une synthèse finale. Bonne lecture ! Louis Charles Alfred de Musset-Pathay naquit le 11 décembre 1810 à Paris, au seuil du quartier Latin, 33 rue des Noyers (aujourd’hui, 57

différentes parties entre elles. Le développement doit apparaître comme un enchaînement logique d'arguments, et surtout pas comme un catalogue d'idées. Conclusion : - Reprise de l'essentiel de la dissertation - Invitation à aller plus loin (proposer au lecteur un élargissement de la réflexion, sans pour autant aborder un tout autre sujet.) Le but de la conclusion est de clore le devoir. Elle doit donner des réponses aux questions soulevées en introduction et développées dans la dissertation.  Exemple

qui permettent d’exprimer souffrance, rêve ou encore amour. Le poète n’est plus seul face à ce qu’il ressent, les mots partagent ses émotions car il peut les faire parler de part son art. Le langage poétique fait appel aux sens, à l’imagination du lecteur et à ceux du poète lui-même : le poète se sent réconforté par son art qui le soutient. La poésie permet aussi de se transcender car elle offre un véritable défi au poète : comment exprimer des émotions complexes par des mots aussi riches soient-ils