Sonnet De Printemps

de l’histoire littéraire et culturelle ; réflexion sur l’intertextualité et la singularité des textes Axes d’étude et notions abordées : - La poésie du Moyen-Âge au XXIème siècle : formes et évolution - Les genres poétiques : rondeau, sonnet, poème en prose, vers libres, calligramme - Les registres (lyrique, élégiaque) - L’OuLiPo : le jeu avec les formes et les contraintes - Versification : strophe, vers, mètre, césure, hémistiche, diérèse, rimes (féminines, masculines

professeur au lycée Jules Ferry à Cannes (06) ghislaine.zaneboni@wanadoo.fr Monsieur Prudhomme Il est grave : il est maire et père de famille. Son faux-col engloutit son oreille. Ses yeux Dans un rêve sans fin flottent, insoucieux, Et le printemps en fleur sur ses pantoufles brille. Que lui fait l'astre d'or, que lui fait la charmille1 Où l'oiseau chante à l'ombre, et que lui font les cieux, Et les prés verts et les gazons silencieux ? Monsieur Prudhomme songe à marier sa fille Avec

du temps, car en plus des différentes phases de la lune les saisons modifient aussi son aspect en déplaçant les étoiles d'ailleurs François-René de Chateaubriand et Victor Hugo décrivent des nuits différents dans leurs poèmes respectifs « Nuit de printemps » et « Nuit d'été ». Ces aspects changeants et ces transformations et sont aussi un des côtés fascinants de la nuit qui m'ont amenée à choisir ce thème. Et, malgré mon âme peu poétesse, ces poèmes ont su attirer mon attention et c'est pourquoi je

réutilisation créatrice des formes, des genres, des structures métriques et grammaticales empruntés à Pétrarque. Mais ce fut Marot qui, en traduisant vers pour vers Six sonnets de Pétrarque, choisis de manière à rendre l’opposition « in vita / in morte » du Canzoniere, associa l’expression pétrarquienne de l’amour à une forme privilégiée, le sonnet, qu’il adapta au français en lui donnant une marque spécifique, la disposition des rimes dite marotique dans les tercets. Le Chant des Visions de Marot, qui traduit

 Sonnet, Louise Labé « Je vis, je meurs… » Peu de femmes avant le XXème siècle ont eu l’audace, comme Louise Labé, d’évoquer avec cette sincérité et cette intimité la passion amoureuse. « Je vis, je meurs… » Louise Labé Femme de lettre du XIVe siècle Étudiât à l’école de Lyon Ecrivit des sonnets amoureux Sonnet S’inscrit dans le mouvement Humaniste « Je vis, je meurs… » S’inscrit dans la tradition Pétrarque de la poésie amoureuse : sonnet en décasyllabe à rimes embrasées Lyrique Sujet : l’amour

La Fontaine 24 V.Hugo 14 Apollinaire 9 Prévert 8 Rimbaud 5 Baudelaire 1. Cite le nom de trois poètes que tu connais 6ème 16 Le corbeau et le renard 2. Cite le titre de trois poèmes 10 La cigale et la que tu connais. fourmi 7 La pluie 7 Le printemps 32 Toutes les fables de La Fontaine confondues 5ème 25 Le corbeau et le renard 23 La cigale et la fourmi 18 Heureux qui comme Ulysse… 12 Le voyage 5 Le lièvre et la tortue 66 Toutes les fables de La Fontaine confondues 4ème 30 Le corbeau et

Introduction 1. L'éloge de la beauté : 1.1. la comparaison Marie // la rose 1.1.1. la structure du poème : séquence 1 texte 3 1 comparaison (comparé = Marie, Comparant = la rose, terme générique) "Comme" et "Ainsi", rôle de la volta, vers 9. Sonnet 2 quatrains (éloge de la rose et mort), 2 tercets (éloge de Marie, mort et obsèques). rendre hommage à la jeune femme à travers l'image de la rose et tout ce dont cette fleur est chargée (connotations) 1.1.2. le jeu des personnes : 2 quatrains

du tps révolu, le 1e c’est sur le printemps de l’amour, le 2e sur l’été de l’aube avec sa passion et ces déchirures. Les tercets eux se rapporte au présent dans le 1e on a la représentation d’un amour insaisissable avec une atmosphère d’automne et le dernier tercet représente la vieillesse à l’approche de la mort. CE poème reste en tout cas un poème élégiaque car on a la présence de la 1e personne et le poème nous parle sans aucune crainte. Nous avons un sonnet à l’italienne dans sa gde conformité

Dowling, Coco Explication de Texte #1 « Antiquités de Rome, Sonnet XXX », par Joachim Du Bellay, examine la montée et la chute de la Rome antique avec un ton de réprimandes. Comme la nature est née pendent le printemps, le champ lexical du printemps représente la Renaissance. Les personnifications, qui sont trouvées partout, permettent Du Bellay d’amener le blé à la vie, soulignant son état naturel. Il amène finalement la ville à la vie aussi, ce qui rend sa disparition éventuelle plus tragique

source d'inquiétude et d'angoisse-chute de l'homme-, monstre qui nous ronge l'essentiel de notre vigueur intérieure(force poétique) Sonnet en alexandrins présentant le temps en lui donnant une présence envahissante à travers une allégorie qui renforce la notion de nuisance (Cf l'horloge > poème 85) Forme brève du sonnet : intensité tragique. Forme habituelle du sonnet change un peu > rimes des quatrains. Titre énigmatique et général qui trouve son explication dans la dernière strophe ( ver 13 )