Sonnet De Printemps

« Jadis » (1884) Yves Bonnefoy, Hier régnant désert, « le Chant de sauvegarde » (1958) Lamartine, « l’Automne » Victor Hugo, Les Contemplations, livre 4, « Pauca meae », 14 (1856) William Cliff, Atobiographie, « Enfance » (1993) Louise Labé, Sonnets, 14 (1555) Elie Ehrenbourg, Madrid Anonyme, (xx), le Chant des marais Anne- Marie Bauer, Fusillé Robert Desnos, Le Legs Edith Thomas, Terre Eugène Guillevic, Le Goût de la paix Paul Verlaine, Jadis et naguère, « Jadis » (1884) Art poétique

Cette théorie est juste chez certains auteurs. Dès le Moyen-Age, trouvères et troubadours chantent leurs amours et leur joie de voir le printemps revenir. On retrouve ce lyrisme, c'est à dire cette expression puissante des sentiments intimes du poète, à la Renaissance, comme par exemple chez Pierre de Ronsard, qui exacerbe sa souffrance liée à son amour dans ses Sonnets pour Hélène. Plus récemment, à l'époque du Romantisme, Victor Hugo nous livre son cœur dans son recueil Les Contemplations, faisant

cette perspective, cela peut signifier que l'on se trouve en présence d'un poème de 14 alexandrins : Or une autre forme de 14 vers bien connue est la forme très codifiée du sonnet. Un sonnet est un poème de 14 vers, bien souvent des alexandrins car sont l'excellence de l'équilibre en métrique. En ce qui concerne sa structure, un sonnet est un poème composé de 4 strophes, soit 2 quatrains et 2 tercets. Nous n'avons ici que 3 strophes, dont un tercet final. Mais l'absence de ponctuation pourrait permettre

protecteurs de son temps. Mais on trouve dans ses odes bien d'autres influences. Celle d'Horace est perceptible quand il célèbre la nature et son vendômois natal ou lorsqu'il professe un épicurisme très proche de ses sentiments profonds. 7 Sonnet à Marie Je vous envoie un bouquet, que ma main Vient de trier de ces fleurs épanies, Qui ne les eut à ces vêpres cueillies, Tombées à terre elles fussent demain. Cela vous soit un exemple certain, Que vos beautés, bien qu'elles soient fleuries

effarée». On peut conclure que le poète trouve le vrai amour dans la nature et non dans la civilisation car la nature se confond entre eux : cette nature est la source de l'amour. « Comme un chevreuil » de Pierre de Ronsard : Ce poème est un sonnet autobiographique extrait de Amours de Cassandre. Ce poème exprime un rencontre qui se transforme en un coup de foudre mais pour cela l'auteur se compare à un chevreuil. L'auteur commence d'abord par décrire le chevreuil comme étant un être libre

font les hommes. » (Melancholia, les Contemplations). Telle une arme, la poésie permet d’exprimer des idées avec plus de force et d’intensité. Maniable, elle allie la variété et la multiplicité des formes : poème en vers réguliers, en vers libres, sonnet, ballade, poème en proses, calligramme. De plus, c’est un genre protéiforme qui joue de tous les registres : poésie lyrique, bien-entendu, mais aussi pathétique comme dans « la nuit du 4 » de Victor Hugo ou satirique et l’on pense aux « Assis » de

naissance de l’amour et du désir : Et la vieillesse arrive à partir de la 12iem strophe au vers (45)*Montrer sur l’image**Revenir sur le slide un cycle de vie*Et donc on voit que le cycle de la vie est lié au cycle naturel des saisons Pour l’hiver, le printemps et l’été on peut observer cela : *Montrer slide hiver et été*On peut aussi observer qu’à la fin du poème l’idée de cycle est suggéré par la renaissance du poète grâce à la poésie : au vers 53 et 54 « et par

générale de la vieillesse et de la mort. Enfin, après ces deux vers, on note que Ronsard s’adresse directement aux hommes en général, perdant ainsi tout le côté intimiste du poème : « Que l’homme n’est sinon le subject de malheur. L’un meurt en son printemps, l’autre attend la vieillesse ». Par la suite, Ronsard continue sur la voie générale en prononçant des recommandations à l’intention de tous les hommes : « Ne force ta nature, ains ensuy la raison, Fuy l’amour et le vin, des vices la matière ». On

présent : il n'imite pas le passé, il s'en nourrit. Ainsi la Pléiade reprend certaines formes poétiques antiques, mais pour les revivifier. De même, les poètes modernes (Aragon, Éluard, Jaccottet) reviennent à la poésie en vers, au sonnet, tout en innovant. En peinture, Le Printemps de Botticelli a les traits de Vénus, mais elle ressemble fort à une jeune femme de la Renaissance. Des peintres modernes (Fernand Léger, Braque, Modigliani, Andy Warhol...) ont imité La Joconde, mais comme point de départ d'une

dioxygène (et donc d'ozone). À la fin des années 1970, des recherches scientifiques en Antarctique ont mis en évidence une diminution périodique de l'ozone dans cette région polaire. Ce que l'on a appelé le « trou de la couche d'ozone » se forme au printemps dans l'Antarctique (à la fin de la nuit polaire) et s'agrandit pendant plusieurs mois avant de se réduire. Si la vie existe sur Terre, c'est bien grâce à la couche d'ozone qui se trouve dans la stratosphère. Le rôle de la couche d'ozone est de