Sonnet De Printemps

abritait la veuve et l'orphelin,     Quand l'étude de la prière était suivie,     Quand poète et docteur, simplement, bonnement,     Communiaient avec des ferveurs de novices,     Humbles servaient la Messe et chantaient aux offices     Et, le printemps venu, prenaient un soin charmant     D'aller dans les Auteuils cueillir lilas et roses     En louant Dieu, comme Garo, de toutes choses ! Paul Verlaine A une Dame créole Au pays parfumé que le soleil caresse

Elle arrangeait les plats, près de moi, pour m’aiser ; - Puis, comme ça, - bien sûr, pour avoir un baiser, - Tout bas : ” Sens donc, j’ai pris ‘une’ froid sur la joue… “ La Maline est le 19e poème des premières poésies de Rimbaud. C'est un sonnet qui relate la fugue de Rimbaud en 1870. Rimbaud utilise enormement ses sens dans ses poèmes notamment celui de l'odorat dans celui-ci. Nous sommes stupéfaits de la description peux avantageuse de la serveuse 'petit doigt' 'fichu moitié defait'.

| |Les fleuves de charbon monter au firmament | |Et la lune verser son pâle enchantement. | |Je verrai les printemps, les étés, les automnes ; | |Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones, | |Je fermerai partout portières et volets

« Les Contemplations » et « Les Feuilles d'automne ». Poésies Remords Posthume Remords Posthume, écrit par Charles Baudelaire, parut dans Les Fleurs du Mal, le principal recueil de Baudelaire, dans la partie « Spleen et Idéal », est un sonnet, sur le thème de la mort, souligné par le champs lexical de la mort, dédié à Jeanne Duval, sa maîtresse. Dans ce poème, il situe tout d'abord la femme dans un tombeau, on comprends qu'elle est morte. C'est en quelque sorte un poème d’au revoir

que les émotions suscitées par l’expérience amoureuse de celle-ci en arrivent à se mélanger puis à se succéder, créant ainsi une dynamique très singulière. Tout d’abord, le sentiment amoureux ne connaît aucune trève. Dès le premier vers du sonnet, la poétesse exprime à quel point la passion amoureuse la rend instable et chancelante.  D’ailleurs, la passion vécue par la poétesse est telle que ses sentiments varient incessamment : « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie » (v. 1). Ces deux

je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être en haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur. Sonnets ____________________________________________________________ _______________ Rainer Maria Rilke Un cygne avance sur l’eau tout entouré de lui-même, comme un glissant tableau ; ainsi à certains instants

faux-amour . Adieux faux amour confondu Avec la femme qui s’éloigne Avec celle que j’ai perdue L’année dernière en Allemagne Et que je ne reverrai plus La chanson du mal aimé L’autre élément féminin, c’est les mères filles de leurs filles : au printemps, le colchique donne des fruits et des fleurs en automne, il y a inversion du temps et de la logique par un retour paradoxal. Les yeux sont comme des fleurs, les fleurs sont des mères filles de leurs filles. Les vers 10-11-12 sont des vers libres

s'arrêta à l'île Bourbon (la Réunion)-, ancra profondément chez lui le goût de l'exotisme, thème très présent dans son œuvre. De ce voyage, Baudelaire rapporta également les premiers poèmes de son principal recueil, les Fleurs du mal, notamment le sonnet «!À une dame créole!». Peu après son retour en France, en 1842, Baudelaire rencontra Jeanne Duval, dont il fit la «!Vénus noire!» de son œuvre, l'incarnation de la femme exotique, sensuelle et dangereuse, et qu'il aima durablement malgré leurs relations

5 Texte A – Joachim Du Bellay (1522-1560) – Les Regrets (1558) – Sonnet XII, [En 1553, Joachim Du Bellay accompagne à Rome son cousin, le cardinal Jean Du Bellay, parti négocier avec le pape Jules III au nom du roi de France Henri II.] Vu le soin ménager dont travaillé je suis, Vu l'importun souci qui sans fin me tourmente, Et vu tant de regrets desquels je me lamente, Tu t'ébahis souvent comment chanter je puis. Je ne chante, Magny(1), je pleure mes ennuis, Ou, pour le dire mieux, en pleurant

religieux et un vieux pays chrétien. Mais aussi « la Sorbonne », l’Université parisienne la plus ancienne qui n'a jamais changée, la métaphore «Il n'y a plus que les pierres ponces de la Sorbonne qui ne sont jamais fleuries » exprime l'impossibilité de printemps, donc de renouveau. ○ Cendrars défend la nouvelle vie moderne, « Changement de propriétaire » indique que le monde moderne remplace la religion. « Le Saint Esprit