Sophie Volland

dans le théâtre (drame bourgeois) avec Le Fils naturel (1757) et Le Père de famille (1760). À cette époque, Diderot est également critique d’art : il écrit des comptes rendus sur les tableaux du salon de l’Académie de Paris. En 1755, il rencontre Sophie Volland, qui sera son amante pour le reste de ses jours. Quatre ans plus tard, le décès de son père lui inspire de nouveaux écrits: Voyage à Langres...

Dans une lettre à Sophie Volland (18 juillet 1762), Diderot écrit : "Presque toujours ce qui nuit à la beauté morale redouble la beauté poétique. On ne fait guère que des tableaux tranquilles et froids avec la vertu ; c'est la passion et le vice qui animent les compositions du peintre, du poète et du musicien." Analyse de la citation : Il y a une dissociation de la beauté morale et de la beauté poétique. Ce qui nuit à la beauté morale redouble la beauté poétique, cela signifie que ce qui porte

qui l'incitera par la suite à être prudent : il ne publiera pas toujours la totalité de ses ouvrages. En 1753, nait sa fille Marie-Angélique, la seule de ses quatre enfants qui parviendra à l'âge adulte. En 1756, Diderot débute sa liaison avec Sophie Volland, qui restera très proche de lui jusqu'à la fin de sa vie. En 1757, il publie le Fils naturel, et en 1758, il publie le Père de famille. Ces deux œuvres rompent avec la tragédie classique pour ouvrir la voie du drame bourgeois contemporain. En

fait la connaissance de Sophie Volland, dont il s’éprend aussitôt. Les deux amants entretiendront une relation jusqu’à la fin de leur vie. Diderot quitte Paris pour un long voyage vers Saint-Pétersbourg le 11 juin 1773. Il passera cinq mois en compagnie de Catherine II. En 1765, l’impératrice lui avait acheté sa bibliothèque, lui permettant ainsi d’offrir une dot importante pour sa fille. À 70 ans, et seulement quelques mois après la mort de sa maîtresse, Sophie Volland, Diderot s’éteint paisiblement

Emilie du CHATELET, Discours sur le bonheur Denis DIDEROT, Extrait de la Lettre à Sophie Volland Question : Quels points de vue les deux auteurs adoptent-ils au sujet de la passion ? Texte A Discours sur le bonheur Texte B Lettre à Sophie Volland Réfutation l’idée des moralistes sur la passion présentée comme un danger. L’auteur récuse les conseils des « moralistes qui disent aux hommes : réprimez vos passions » L’auteur dit qu’il « ferme l’oreille aux conseils des philosophes » Les deux auteurs

mettant de coté son œuvre personnelle. Il mène alors une vie éclectique et tumultueuse. Ses romans, critiques, essais philosophiques seront en grande partie publiés après sa mort. (également leçon de son emprisonnement) 1756 : Rencontre avec Sophie Volland, dont il s’éprend aussitôt. Les deux amants entretiendront une relation jusqu’à la fin de leur vie. 1757 : Composition de la pièce "le Fils naturel" une comédie en cinq actes et en prose. La pièce sera jouée en 1771 seulement et ne remportera

bien cet homme, auquel il fera assez confiance pour le charger d'éditer ses manuscrits après sa mort. Diderot fait la connaissance de la famille Volland et plus particulièrement de Sophie avec qui il entretient une liaison pendant 25 années. C'est elle qui le persuade d'écrire l'histoire de sa vie et de tenir son journal. Diderot pensera plus à Sophie, comme son premier critique que comme à une amante. Comme on l'a si souvent entendu " Cette relation fut la source d'une des plus admirables correspondances

la montagne Sainte-Geneviève. Il consacrera 20 ans de sa vie à ce projet qu'il n'achève qu'en juillet 1765. En 1750, il est nommé à l'Académie de Berlin. En 1753 naît Marie-Angélique, seul de ses enfants qui lui survivra. En 1755 il rencontre Sophie Volland amante pour la vie. En 1759, son père décède. Le voyage nécessaire à Langres pour régler la succession donne l'occasion à Diderot de retrouver sa terre natale et de repenser à l'intégrité de son père. Il en sortira des textes importants, comme

trop dangereux pour sa sécurité. Prudence toute relative car, dès 1751, il recommence à publier en offrant au public sa Lettre sur les sourds et muets. C’est vers 1756 qu’il fait la connaissance de Sophie Volland. De toutes ses maîtresses, c’est celle qui marque le plus sa vie. Ses Lettres à Sophie Volland, publiées après sa mort, sont d’ailleurs considérées comme un de ses chefs-d’œuvre, tant par leur esprit que par leur finesse. 6 L’AUTEUR DRAMATIQUE ET LE CRITIQUE D’ART À partir de 1757, Diderot

XVIIIème siècle serait imparfaitement connue. (Diderot écrivit à S. Vollant, épistolière) * Diderot correspond avec Sophie Volland, dont il est admiratif et amoureux, qui est une épistolière française mais dont nous n’avons aucunes lettres. Cette correspondance est recueillie dans « les lettres à Sophie Volland ». Ce recueil permet de mieux comprendre son dévouement à l’égard de l’encyclopédie. * En 1848, le premier timbre poste est crée. Au XIXème siècle