Sorcière rouge

LA RONDE SOUS LA CLOCHE C’était un bâtiment lourd, presque carré, entouré de ruines, et dont la tour principale, qui possédait encore son horloge, dominait tout le quartier. Fenimore Cooper. Douze magiciens dansaient une ronde sous la grosse cloche de Saint-Jean. Ils évoquèrent l’orage l’un après l’autre, et du fond de mon lit je comptai avec épouvante douze voix qui traversèrent processionnellement les ténèbres. Aussitôt la lune courut se cacher derrière les nuées, et une

L’évolution de la télévision Introduction : Nous allons vous parler de l’évolution de la télévision à travers les âges jusqu’à aujourd’hui. L’invention de la télévision ne peut être attribuée à un seul homme : beaucoup de scientifiques ont contribué à son élaboration. Chapitre 1 : Les premiers essais et les découvertes qui ont servies à cette invention. Les scientifiques ayant principalement élaboré le système de la télévision sont : • L'abbé florentin Giovani Caselli transmet une

L’AFFICHE ROUGE Biographie de l’artiste : On ne parlera pas ici d’artiste mais du commanditaire de cette affiche. Il s’agit d’une affiche de propagande nazie largement diffusé en France au début de l’année 1944. Cette affiche fut réalisée par le CEA (comité d’étude anti-bolchévique), un organisme de propagande franco-allemande à la demande des Allemands qui souhaitaient frapper un grand coup après le retentissement de l’assassinat de général Ritter (chef du STO en France) par le réseau

Feuilles d'automne J'ai regardé les feuilles rouges Elles tombaient. J'ai regardé les feuilles jaunes Elles volaient. J'ai regardé les feuilles brunes Que le vent poussait. Rouges, jaunes, brunes, Chacune dansait. Isabelle Jaccard Automne L’été se fait tirer l’oreille Dans l’antichambre de septembre, Et la forêt déjà s’honore, D’un long tapis de haute feuille, Frangé de pourpre Et tissé d’or, Pour pas feutrés en corridor. Henri Philibert Le bel automne

On voit que ce poème a des réminiscences scolaires : c’est un sonnet de la forme abab-cdcd-eef-ggf. Notons que l’auteur avait alors 16 ans lorsqu’il l’a écrit … Le premier quatrain : C’est une description idyllique, imagée de la nature. Une vue d’ensemble du paysage. On pose le décor. S’il s’agissait d’un tableau, le regard monterait, puis redescendrait (vallée / soleil / vallée). Il y a de la vie : la rivière « chante », « accroche follement », la montagne est « fière ». L’eau et l’air se mélangent

est remplie de couleur blanche qui symboliserait la pureté, l'innocence de ces enfants mais en même temps des couleurs grise et noire représentant une atmosphère sinistre qui les basculeraient dans le chaos et le désespoir sans oublier la couleur rouge qui signalerait un danger. Finalement, nous tenons à souligner que le photographe n'a représenté que des individus fragiles: des femmes, des enfants et un bébé dans un environnement démuni: un milieu qui n'est certainement pas apte à un bon développement;

Un jour alors que j´étais allé acheter du pain pour ma maman comme j´avais l´habitude de le faire, j´ai vu un bonhomme tout bizarre. Il était vieux et blanc de peau et avait l´air de méchamment crier après quelqu´un. Ce monsieur blanc avait l´air très riche. Il hurlait après un garçon non-blanc de peau et un peu noir aussi qui avait lui l´air très pauvre et qui était en train de cirer les chaussures d´un autre blanc riche et vieux pour se faire un peu d´argent. En effet, il avait 15 copains noirs

. Les aventures d’Aladdin et de la lampe magique Un magicien noir a affirmé au jeune Aladdin qu’il était son oncle et lui a promis de faire sa fortune. Il l’amène devant la porte d’une cave et lui ordonne de descendre pour aller chercher une lampe d’un genre particulier. Le magicien africain tira un anneau qu’il avait au doigt, et il le mit à l’un de des doigts d’ Aladdin, en lui disant […] : « Allez, mon enfant, […] descendez hardiment; nous allons être riches l’un et l’autre, pour toute

Je m'appelle Emma, j'ai 5 ans, dans une semaine et 4 jours j'aurais 6 ans, je ne sais pas encore très bien compter mais maman me l'a dit ! Aujourd'hui comme tous les jours je rentre chez moi, il parait que c'est dangereux de rentrer seul chez soi à seulement 5 ans, mais personne ne vient me chercher alors je fais croire à la maîtresse que ma maman m'attend au coin de la rue. Comme toujours mes camarades m'ont demandé d'où venaient les bleus sur mes bras, et comme toujours j'ai fait croire à des chutes

Une pluie diluvienne s’abattit sur la ville de Marseille. La nuit s’était installée et seule la lueur blanchâtre de la lune éclairait la ville endormie. Un homme vêtu de noir de pied en cape se dirigeait vers la basilique de Notre-Dame de la Garde, plus communément appelée « La Bonne Mère », sainte patronne des Marseillais et des pêcheurs. Il se déplaçait avec furtivité dans l’obscurité, invisible aux yeux des rares passants qui subsistaient encore dans les rues. Après quelques minutes, l’homme atteignit