Sorcière rouge

Monsieur Monet, Depuis quelques temps il semble que vos belles toiles aient vu leurs couleurs se modifier ainsi que les détails s'estomper. En effet j'ai remarqué cela depuis votre séjour à Venise en 1908 dans les toiles du Palais du Grand Canal ou du Palais des Doges mais aussi à travers les séries que vous avez peint, notamment celles du Pont Japonais et du bassin aux nymphéas. Comme vous me l'avez dit lors de votre dernière visite, vous voyez comme "au travers d'un brouillard". Les couleurs

Cours de français.. Lecture d'image L'autoportrait pour se raconter et se définir. Objectif : Lecture et réalisation d'image. I. Composition Quelle place occupe le portrait dans l'image ? Le portrait occupe la place principal dans l'image, elle est au premier plan : personnage principal. Quels sont les différents plans ? Le premier plan est Frida, le second plan est le désert et le le troisième plan est le ciel bleu. Le second et troisième plan rappel les temps chaud du Mexique

reflètent quelque chose de détruit. La "bouche ouverte" est une caractérisation de la mort du soldat ; sa tête est nue car son casque a roulé par terre ; "la nuque baignant" vers 6 signifie qu'elle baignait dans le sang, c'est à dire le sang sur l'herbe : rouge du sang + vert de l'herbe = cresson bleu.     "Etendu" signifie un corps sans vie et le "lit" du vers 8 devient un lit de mort. Les glaïeuls évoquent les fleurs que l'on posent sur une tombe => il a les pieds dans les glaïeuls. Plus rien ne bouge

L’Antiquité Trois mille ans avant Jésus Christ, les Égyptiens connaissent déjà le maquillage : rouge à lèvres, maquillage du visage avec du blanc de céruse, du plâtre ou de la craie qui blanchissent la peau, lui donnant éclat et luminosité, yeux et sourcils rehaussés de noir (maquillage pour les yeux à base de minerai de plomb, d'antimoine et de malachite, tel le khôl), joues rosies par du fard rouge végétal (obtenu par de la figue d'Égypte, des pétales de rose ou de coquelicot), animal (larve de

village qui s’ouvre sur la baie. Nous entrons dans un monde jaune et bleu où nous accueille le soupir odorant et acre de la terre d’été en Algérie. Partout, des bougainvillées rosant dépassent les murs des villes ; dans les jardins, des hibiscus au rouge encore pale, une profusion de roses thé épaisses comme de la crème et de délicates bordures. A l’heure où nous descendons de l’autobus. Couleur de bouton d’or, les bouchers dans leurs voitures rouges font leur tournée matinale et les sonneries de leurs

violence de la guerre. LES COULEURS : elles sont très sombres, elles sont froides, noir, gris, chaudes, beaucoup de tons rouges mais toutes sont liées à la mort et à la destruction. Les couleurs les plus utilisées sont le gris, le marron et le rouge. Elle évoque la pluie, la boue et le sang dont témoignent les poilus. Conclusion : Cette œuvre est dure mais aussi très riche. Elle sert à dénoncer les monstruosités de la guerre. Otto Dix dresse un portait à la fois très crue et réaliste de ce

Notre envoyé spécial poursuit sa série dans le sud profond des Etats-Unis, plus précisément dans la région d’Alabama, pour y faire le portrait de ces habitants. C’est ainsi que notre journaliste à rencontrer Alain Robinson, jeune noir étudiant le droit, et qui a vécu une histoire tragique lors de sa jeunesse, qu’il nous a raconté. [The New York Times] : Vous avez vécu à Maycomb, pouvez-vous nous en dire d’avantage sur cette ville ? [Alain Robinson] : Bien sûr ! Maycomb est une petite ville d’Alabama

de guerre « mitraille », « sifflent » (v.1-2). L’odorat avec « le tas fumant » (v.6). Le toucher avec « le feu », « broie », « cendre » (v.4-5). L’horreur du conflit est aussi marquée par une antithèse, « crachats rouges » et « ciel bleu », dont le rouge fait référence à la haine, la douleur, le sang, la mort, l’enfer, et le bleu signifie la douceur, le paradis, le calme. Elle est aussi montrée avec le champ lexical de la destruction « mort, tas fumant, broie » (v.5-6-7). La dénonciation de la guerre

guerre, la mort, les difficultés des soldats pour survivre et leur courage en tentant de sauver des alliés blessés (panneau de droite). Otto Dix a utilisé des couleurs froides : le noir, le marron pour représenter la mort et un mélange d'orange et de rouge pour représenter le feu (panneau de droite) et aussi le blanc pour représenter certains soldats. b) Comparaison : Félix Vallotton,« Verdun » Otto Dix, « La Guerre » Format 114 par 146 cm Panneau central : 204 par 204 cm, Panneaux latéraux :

1er plan à droite : la répression des français Elle est figurée par des soldats français (peloton d'exécution) faisant dos au spectateur. Alignés, immobiles, unis dans leur geste et leur posture (avec le même profil et le même uniforme), leurs visages sont invisibles, ils sont anonymes et représentent une machine à tuer. La brutalité aveugle de la guerre et la répression des soldats contraste avec les visages des condamnés. 1er plan à gauche : le massacre des espagnols Les futures victimes assistent