Soubrette

fait naufrage, débarquent sur une île fondée, il y a une centaine d’années, par des esclaves révoltés. Dans cette île, les maîtres deviennent des valets et les valets des maîtres. Ainsi, Iphicrate et son laquais Arlequin, ainsi que Euphrosine et sa soubrette Cléanthis échangent leur condition, leurs vêtements et aussi leurs noms. Nous avons étudié cette œuvre pour éclairer l’objet d’étude le théâtre en s’interrogeant plus particulièrement à la relation entre le texte et sa représentation. Notre problématique

de Rosimond ; ce faquin croit apparemment m'épouser aussi, et se donne, à cause de cela, les airs d'en agir cavalièrement, et de soupirer tout bas ; car de son côté il m'aime. HORTENSE. Mais il te parle quelquefois ? MARTON. Oui, comme à une soubrette de campagne : mais n'importe, le voici qui vient à nous, laissez-nous ensemble, je travaillerai à le faire causer. HORTENSE. Surtout conduis-toi si adroitement, qu'il ne puisse soupçonner nos intentions. MARTON. Ne craignez rien, ce sera tout

assure à Lélio de ne pas le tromper, qu’elle le sert loyalement (« elle », car Lélio sait déjà que le Chevalier est une femme, mais pas encore qu’elle soit la Demoiselle et non sa servante), et si cela n’est pas le cas alors elle n’est pas une « soubrette ». Cela annonce l’humour de l’extrait. Puis, le Chevalier rassure Lélio en lui disant que la Comtesse l’aime lui, et non Lélio, mais ce dernier se retrouve embarrassé par l’accord de mariage de la Comtesse, mais c’est là que le Chevalier va jouer

« Le mariage de figaro » De Beaumarchais Résumé : Figaro, qui fut barbier et a repris du service auprès du Comte Almaviva (cf. Le Barbier de Séville) est devenu le concierge du château. Il doit épouser Suzanne, la soubrette de la Comtesse, mais, le jour même de leurs noces, des obstacles surgissent et semblent compromettre leur bonheur. Le Comte, dont l’autorisation est nécessaire pour célébrer le mariage, poursuit Suzanne de ses assiduités et menace de refuser son accord si elle ne cède pas à

regardés sont dans l'ignorance, ils se jugent entre eux en prenant d'abord en considération la classe sociale. En e�et, il était extrêmement mal vu (voire impensable) pour une "personne de condition" au XVIII-ème siècle d'épouser un valet ou une soubrette. C'est pourquoi Silvia rejette directement les avances de Dorante: � [J]e ne suis point faite aux cajoleries de ceux dont la garde-robe ressemble à la tienne. � (I, 7). Silvia utilise ici sa raison et étou�e ses émotions: à cause des conventions

alors quitter la scène (Acte I,scéne 7), elle ressent une indignation qui va jusqu'aux larmes dans l'acte II, scène 7, elle "frissonne" ( Acte II, scène 8). D'autre part, la seconde femme de l'intrigue se nomme Lisette, cette dernière est une soubrette,elle est vive et spontanée, plus simple que sa maîtresse et aussi plus traditionnelle. En effet,Lisette est la dame de compagnie de Silvia, voire confidente avant le déguisement, la "coiffeuse de Madame", elle se nomme ainsi dans l'acte III, scène

Scaramouche (Scaramuccia) est vantard, fanfaron et peureux. Tout de noir vêtu, à la mode espagnole, il porte une longue rapière et se présente comme étant prince ou duc, même s’il est un valet. • Colombine (Colombina) est une humble servante ou une soubrette hardie à l’esprit vif. Elle est tour à tour fille, femme ou maîtresse de Cassandre, de Pantalon, compagne de Pierrot ou amoureuse d’Arlequin. 

 Il y a également dans la commedia dell'arte des amoureux autour desquels l’action de noue : Lelio

homme c'est comme un jeune enfant dont il faut prendre soin. Petit et menu de préférence. Elle va le nourrir, le vêtir et le dorloter.  La femme-miroir: Elle veut un homme beau, séduisant qui doit être son reflet version testostérones. La femme-soubrette: A la recherche d'un homme fort, dominant pour la protéger/ asservir. La femme-hystérique: Un homme c'est un prétexte perpétuel a hurler, qu'importe le sujet tout est dans le cri. Elle peut y trouver une forme de plaisir. (Souvent associé à la femme-castratrice)

pense qu'il plait, mais est ridicule. 2 ) Dorante Dorante va dans le même sens que Silvia. Il vouvoie Arlequin, l'appelle « Monsieur » Mais son autorité reparaît, il semble arrogant. Il se trahit presque. Il donne raison à une soubrette sous les yeux de son maître Il ne multiplie pas ses intervention de peur de se trahir Dans sa troisième réplique, il est agacé face à l'image qu'Arlequin donne de lui. Impératif, « donc ». Le comportement d'Arlequin sera source de reproches

de son appartenance pour notre classe sociale. Mais avoue que tu t’étais absolument écarter de ton objectif dés notre première discussion oubliant par là la raison pour laquelle tu étais venu. DORANTE : Je ne peux pas nier cela. C’est vrai qu’en soubrette t’étais plus resplendissante et que je n’ai même plus songé aux différences de classe qui nous séparait, repoussant tout préjugé social .Et si ma mémoire est bonne, tu n’avais cessé de me repousser ne t’écartant pas de ton idée qui était l’impossibilité